La désintoxication est un système et une façon de vivre selon les lois organiques, et non un traitement à court terme. Comme nous sommes généralement ciblés à distance par des ondes nocives, il devient de plus en plus difficile de maintenir un bon niveau de santé. La désintoxication ne traite pas les symptômes. Si elle traite quelque chose, c’est la cause profonde des symptômes : l’acidité. La désintoxication prend en compte l’alcalinisation, l’amélioration de l’homéostasie, la revitalisation, la régénération et le nettoyage. C’est un processus qui prend des années, voire des décennies, d’efforts constants et répétés. Il est naturel pour toute entreprise de développer des slogans sur ses produits pour aider à les vendre. Cependant, lorsque ces industries franchissent la ligne et commencent à faire de la publicité pour des demi-vérités ou des contre-vérités, elles sont compromises et participent à la dégradation de la santé de millions de personnes chaque année. Tout déchet est destiné à être vendu à la population et à ce que la population paie pour ce genre d’empoisonnement. L’intention est également de maintenir une fréquence très basse à travers ce que nous ingérons. Est-ce vraiment de la nourriture ?
L’importance d’une alchimie basique
Pourquoi mon corps a-t-il cette réaction ? Il y a une raison pour que la dégénérescence se produise. Les acides nous brûlent de l’intérieur. La symptomatologie est un outil qui indique où se trouve la cause profonde, quelle glande ou quel organe est en panne. Lorsque nous commençons une cure de désintoxication, il est normal de ressentir de légers effets de nettoyage tels que l’écoulement de mucus depuis la tête jusque dans la gorge ou la présence de mucus dans les selles et l’urine, des éruptions cutanées et des démangeaisons, la présence de dépôts autour des yeux et des oreilles.
L’alchimie basique reconstruit ce que les acides détruisent. Les réactions alcalines que certains aliments provoquent dans le corps ne sont pas liées au PH de l’aliment lui-même ; il s’agit plutôt d’une forme de chimie entre notre physiologie et ce que nous ingérons. L’alcalinité refroidit et apaise les tissus enflammés, guérit les ulcérations et améliore les fonctions cellulaires. Ces aliments laissent principalement des résidus de calcium, de magnésium, de sodium et de potassium après avoir été digérés. Les sucres des fruits sont puissants et renforcent la vitalité des cellules plus rapidement que tout autre aliment. Les fruits qui ne sont pas mûrs sont acides (c’est très facile à remarquer avec les ananas par exemple). Les tomates ont tendance à être acides, surtout lorsqu’elles sont cuites.
L’infrastructure du corps humain ressemble à une société : le système glandulaire est le système qui maintient l’ordre. Le système nerveux est l’autoroute de l’information, sans laquelle la communication n’est pas possible. Les cellules immunitaires sont chargées de faire attention à ce qui se passe. Pour une protection supplémentaire, nous avons d’autres cellules. Il y a des usines comme le foie ou les reins. Les déchets sont ramassés par le système lymphatique, qui traite principalement les acides ; c’est un système lipidique basé sur les muqueuses, le cholestérol étant l’un des principaux lipides de ce système. Une augmentation du cholestérol est une réponse à l’acidose. Les lipides sont des anti-inflammatoires. Lorsque nos reins ne parviennent pas à filtrer ce système, le mucus s’accumule autour des cellules dans les espaces interstitiels.
Les fruits frais et crus ont une fréquence élevée (mesurée par exemple par 8000 à 10 000 angströms, une fréquence supérieure à celle que l’on mesurait pour un humain moyen, environ 6500 points ; les malades du cancer perdent 2000 points). Les légumes cuits perdent déjà une partie de leur haute fréquence et les viandes cuites n’ont pratiquement plus de force vitale. La cuisson des aliments détruit leurs enzymes et fait peser sur l’organisme la charge totale de la digestion. Les aliments crus éliminent l’inflammation par l’alcalinisation et l’augmentation de la production de stéroïdes, ce qui permet de dissoudre les calculs et les lipides plaqués.
Les dégâts de l’acidose et de la consommation d’aliments stimulants
Toutes les défaillances tissulaires commencent par une acidose et une toxicité. Lorsque les tissus sont défaillants ou congestionnés, les symptômes de la maladie apparaissent. La plupart des gens consomment de grandes quantités d’irritants et de stimulants dans leur alimentation, qui contiennent des composés qui irritent et stimulent les tissus, provoquant une production excessive de mucus et une hyper ou hypoactivité des tissus, glandes et organes. Le poivre de Cayenne n’est pas aussi irritant que le poivre noir, mais il l’est tout de même, tout comme les oignons et l’ail. Cependant, les piments épicés risquent d’irrter les muqueuses du tube digestif et de la zone de tête. Le gingembre est plus doux.
Les régimes hyperprotéinés sont malheureusement dangereux pour la santé. 20 à 40 grammes de protéines par jour sont suffisants, mais la plupart des gens en consomment 150 à 200 grammes par jour. Les acides aminés sont une forme plus simple, les blocs de construction de base ou le matériel que le corps utilise pour construire ses propres structures protéiques. Toutes les protéines doivent être décomposées en acides aminés avant que l’organisme puisse les utiliser pour se construire et se réparer. Si l’organisme en a besoin, il convertit les acides aminés en glucose. Les aliments contenant des protéines animales sont irritants pour les muqueuses et les cellules de l’organisme et provoquent une réponse immunitaire. Après un certain temps de consommation de viande, les glandes surrénales s’affaiblissent et deviennent paresseuses à produire leurs propres neurotransmetteurs. Beaucoup de ceux qui veulent perdre du poids font l’erreur de faire en sorte que le corps brûle les protéines comme carburant. Lorsque le corps est privé de sucres, il se tourne vers les graisses stockées ou décompose ses propres tissus pour obtenir de l’énergie. Cela entraîne des lésions musculaires, hépatiques, pancréatiques et rénales. Lorsque les cétones sont produites en excès, soit par une oxydation incomplète, soit par une décomposition excessive des graisses corporelles lors d’un régime riche en protéines, une cétose se produit, ce qui entraîne une acidose. Cela entraîne des lésions tissulaires et un mauvais fonctionnement des cellules (organes et glandes). Lorsque l’on arrête de manger des aliments stimulants, on ressent de la fatigue. La grande quantité de neurotransmetteurs contenus dans la viande a un impact sur nos glandes surrénales. Je me suis sentie fatiguée après avoir arrêté le poisson, mais surtout parce que je suivais un régime végétalien. Je ne me suis pas sentie aussi fatiguée lorsque j’ai suivi un régime de transition et sans mucus et que j’ai abandonné les derniers stimulants encore présents dans mon alimentation. Les animaux, lorsqu’ils sont abattus, sont en mode survie car ils savent qu’ils vont mourir. Lorsque nous arrêtons de manger de la viande, notre système nerveux se révèle tel qu’il est car il n’y a plus de neurotransmetteurs apportés de l’extérieur. Cela montre l’état réel du corps où les glandes endocrines ont été endommagées et ont cessé de pouvoir produire et équilibrer comme elles étaient censées le faire. Les glandulaires sont une option pour démarrer la guérison d’un organe ou d’une glande spécifique ; elles ont leur propre fréquence avec laquelle nous pouvons travailler. Je me demande souvent si on les promeut pour nous garder connecter à des fréquences liées à la cruauté animale, c’est une possibilité. L’une des compagnies qui fournit ces produits porte aussi le nom douteux d’Ultra. Je n’ai pas encore de recul ni fait de test ni d’observations personnelles à apporter par rapport aux glandulaires.
Le lait de vache est riche en protéines, en minéraux et en graisses, car le bébé vache peut atteindre 25O kilos en un an. Les bébés humains ne grandissent pas aussi vite. Le lait de vache contient au moins 4 fois plus de protéines et plus de 6 fois plus de minéraux que le lait humain. Un lait aussi fortement concentré est difficile à digérer pour les nourrissons. La production d’enzymes de l’homme pour traiter les produits laitiers est bien inférieure à celle de la vache. Sans les enzymes appropriées en quantité suffisante, les bébés humains souffrent de problèmes digestifs et d’une congestion des mucus dans les cavités sinusales, les poumons, le cerveau et les oreilles. De nombreux types d’allergies sont également créés à partir de la congestion excessive qui a commencé avec la consommation de lait de vache. Entre 3 et 4 ans environ, la plupart des enfants perdent les enzymes qui digèrent le lait, en particulier la lactase, qui décompose le lactose, le principal sucre du lait. Cela s’explique par le fait que, biologiquement, nous sommes censés être sevrés après 3 ou 4 ans. Puisque nous n’avons pas les enzymes digestives appropriées pour décomposer le lait, nous avons une production accrue de mucus. Comme le lait et les produits laitiers sont les aliments qui forment le plus de mucus parmi tous ceux que nous consommons, et que le sucre raffiné arrive en deuxième position, ces deux aliments provoquent une congestion excessive de tous nos tissus. Qu’arrive-t-il à un veau si vous lui donnez du lait pasteurisé au lieu du lait frais et cru de sa mère ? Malheureusement, il meurt.
Les rôles de nos glandes
Les glandes surrénales sont toujours impliquées dans les problèmes de poids excessif ou de maigreur excessive. Elles affectent l’état émotionnel et contrôlent le métabolisme des sucres et le système nerveux autonome, y compris les rythmes respiratoire et cardiaque. De faibles fonctions surrénales s’accompagnent également de problèmes d’utilisation des minéraux (faible teneur en zinc, sélénium, fer) ou de vertiges. Les syndromes d’acouphènes constants (les autres formes d’acouphènes sont généralement liées au ciblage par fréquences à distance) et de faible énergie sont liés aux glandes surrénales. Des poches sous les yeux, des problèmes de vision et une faiblesse dans le bas du dos indiquent que nos reins souffrent.
Un symptôme de dépression peut être relatif à la parathyroïde, tout comme les affections qui touchent les os et tissus conjonctifs (varices), ou révèlent une peau affaiblie, un vieillissement rapide, des hémorroïdes, une déshydratation, une anémie et une utilisation impropre du calcium. Lorsque la peau commence à tomber ou à se rider rapidement, ce n’est pas la vieillesse, c’est une faiblesse de la peau. Quelle est la qualité de notre peau ? Quelle est la force des os, des cheveux et des ongles ? Un grand pourcentage de la population est en hypothyroïdie ; cela diminue le niveau de transpiration car la glande thyroïde affecte notre capacité à transpirer. Un métabolisme faible entraîne une digestion lente et médiocre et nous avons généralement une sensation de froid dans les extrémités avec une intolérance aux conditions plus froides. La perte de cheveux et la calvitie sont également liées à la thyroïde. Les faiblesses des os, des nerfs et des tissus conjonctifs peuvent être le résultat direct d’une mauvaise utilisation du calcium. Ceci peut être indiqué par la présence de : hémorroïdes, varices et varicosités, rides, hernies, anévrismes. Les faiblesses thyroïdiennes et parathyroïdiennes diminuent ou bloquent l’utilisation correcte du calcium. Le café, les thés du commerce, les boissons gazeuses, la marijuana lorsqu’elle est fumée (il est préférable de l’inhaler, d’en faire un thé ou de travailler avec des teintures), l’excès de sel et le sel isolé, les cigarettes, les sucres raffinés et l’alcool, tous inhibent ou retirent le calcium des os et des tissus. La thyroïde contrôle le rythme cardiaque. Il était intéressant pour moi d’apprendre cela car je me souviens avoir ressenti des palpitations cardiaques lorsque j’avais 28 ans.
La mélatonine est l’hormone de la glande pinéale. Une formule de teinture peut favoriser la circulation du haut du corps ou un glandulaire pour la glande pinéale. La prise d’un composé isolé de mélatonine aura tendance à affaiblir la glande pinéale.
Les six hormones sécrétées par l’antéhypophyse sont la prolactine, l’hormone de croissance, la corticotrophine, l’hormone folliculo-stimulante, l’hormone lutéinisante et la thyrotropine (une hormone stimulant la thyroïde). Les deux premières hormones ont une action directe qui leur est propre, tandis que les autres contrôlent l’activité d’autres glandes situées ailleurs dans l’organisme. L’hormone de croissance a un effet sur presque tous les tissus de l’organisme, en particulier les os et les muscles, et est l’une des principales hormones stimulant la croissance. La corticotropine stimule la sécrétion de glucocorticoïdes tels que la cortisone par le cortex surrénalien, et la thyrotropine stimule la production d’hormones par la glande thyroïde. Deux hormones produites par l’hypothalamus et stockées dans l’hypophyse postérieure qui développe une croissance descendante de la substance cérébrale sont la vasopressine et l’ocytocine, qui stimule la contraction des muscles lisses, notamment de l’utérus. L’ocytocine stimule également la contraction des cellules musculaires qui entourent les glandes productrices de lait en provenance du sein. La fonction normale de la prolactine est de stimuler la production de lait et elle est donc produite principalement pendant la lactation. La mère s’affaiblit à partir de la deuxième gestation. Le calcium a été absorbé et il y a moins de ressources disponibles. Le cycle menstruel est lié à l’hypophyse, de même qu’une ménopause précoce. L’hypophyse a un rôle à jouer avec les ovaires.
La sérotonine favorise la relaxation et est un stabilisateur d’humeur que nous pouvons expérimenter lorsque nous nous promenons dans la nature. Certaines herbes sont des boosters de sérotonine. La noradrénaline stimule l’éveil et la vigilance. La cortisone et l’adrénaline sont liées aux glandes surrénales. Les endorphines qui sont produites lorsque nous rions, par exemple, réduisent nos niveaux de douleur et stimulent les forces vitales. La dopamine est une substance chimique de récompense que nous pouvons ressentir après avoir accompli une tâche. L’occitocine est l’hormone de l’amour. L’insuline et le glucagon sont liés au pancréas ; les œstrogènes, les progestérones et les testostérones aux gonades. L’hypothalamus contrôle l’appétit (qui est à différencier des fringales).
À propos de l’absorption du calcium
La supplémentation de constituants séparés peut entraîner des déséquilibres dans la chimie du corps. Lorsque nous séparons la nutrition dans les aliments et que nous ne restituons que certains constituants, nous manquons les propriétés synergiques de l’ensemble. Une trop grande supplémentation en vitamines provoque une acidose et n’est pas la solution. La vitamine C est acide, elle tend à faire fuir le calcium et réduit le cholestérol bénéfique. Les vitamines artificielles s’accumulent dans les tissus, provoquant obstructions et toxicité. La vitamine C est antagoniste du calcium. Il n’est pas conseillé de la prendre sous forme d’isolat mais plutôt d’ingérer notre vitamine C sous forme de fruits et de baies. Lorsque nous n’utilisons pas le calcium, nous pouvons nous sentir déprimés. Pour l’absorption du calcium, la vitamine D3 est nécessaire car elle permet de s’assurer que le calcium est facilement absorbé. La vitamine K2 active la protéine ostéocalcine, qui intègre le calcium dans les os. Sans les rôles de la D3 et de la K2, le calcium n’est pas aussi efficace dans son travail. Ces sources peuvent être obtenues par voie végétale (à partir de lichens). Une carence en fer nous fera regarder du côté du foie et des glandes surrénales. Cela signifie que nous n’utilisons pas le fer contenu dans les aliments que nous absorbons. J’ai corrigé une carence chronique en fer ces dernières années en arrêtant le café et d’autres stimulants comme le matcha, le cacao et le kombucha.
