Aria Persei

A quest for Absolute
 

Culpabilité, honte et programmes de division dans le mouvement végan et la vision tunnel de la communauté détox

Le mouvement végétalien, comme celui du yoga, a en grande partie été formé par l’ingénierie sociale et infiltré depuis le sommet dans le but de mener vers plus de division et d’ancrer davantage de honte et de culpabilité dans nos veines.

Le chemin d’une personne avec son alimentation est une expérience complexe, multidimensionnelle et faite de plusieurs couches touchant à la vérité personnelle inaliénable de chacun et leur niveau de conditionnement mental. Au-delà du contenu du discours sur le régime alimentaire, il est surtout question des réactions qui découlent des débats autour des choix alimentaires et de la manière dont ces réactions et ces déclencheurs sont gérés. Il ne devrait jamais être question de tenter d’emmener quelqu’un sur le terrain pentu de la honte. Bien que mon alimentation va un pas plus loin que l’alimentation végane, je ne m’identifie pas à ce mouvement ni à son intention.

La fréquence du mouvement de véganisme ne sonne pas juste

Autour de moi, au fil des années, j’ai vu beaucoup de gens choisir le régime végétalien en partant de leurs blessures personnelles non résolues ou pour des motifs basés sur l’égo. Cela inclut les personnes qui choisissent d’être en compétition l’un avec l’autre par le biais de leur régime alimentaire et qui se vantent d’être végans comme s’il s’agissait d’un accomplissement dans la vie. Manger de la viande n’équivaut pas à manquer d’empathie. J’ai rencontré des végans très en colère autour de moi, incapables de s’engager dans un dialogue avec l’autre. Il est devenu nécessaire pour moi à un moment de prendre du recul par rapport aux communautés de désintoxication, en réalisant la quantité de visions de tunnel créées dans ces environnements de ruche. J’en savais désormais assez pour continuer mon chemin de guérison tout en continuant à apprendre et à me documenter, mais sans être impliquée au jour le jour car cette toxicité ambiante me drainait.

Il y a quelque temps, alors que je marchais sur un trottoir de Londres, je me suis sentie attaquée énergiquement alors que ma route croisait celle de végans en colère qui vibraient à une fréquence très chaotique, essayant d’attirer l’attention des gens en les manipulant via la culpabilité et la honte, exposant les passants à des images traumatisantes de cruauté envers les animaux. C’est un discours qui vise à créer encore plus de traumas chez les uns et les autres et qui n’a absolument aucun pouvoir de guérison profonde et ultime. Quand on regarde de plus près la fréquence qui anime ces initiatives, il s’agit de contrôler les décisions humaines via des parties blessées d’eux-mêmes et de créer une boucle dramatique dans les rapports sociaux au sein de ces communautés. Rien de tout cela n’aide la cause animale et rien de tout cela ne règle le problème de cruauté envers les animaux à la source. Que se passe-t-il lorsque les gens se sentent autorisés à dicter aux autres ce qu’ils devraient faire ou ne pas faire? On tombe dans un piège sournois de la matrice; l’énergie générée est récoltée et nourrit les contrôleurs cachés de ce monde.

Sur le plan éthique, les abattoirs sont des portails de basse énergie, de traumatisme et d’horreur. Il est certain qu’une viande élevée en plein air aura une fréquence différente d’une viande de basse qualité. Le véganisme toxique n’est pas une réponse non plus. Des films comme Gamechanger traitent du mauvais type de véganisme qui n’est pas, en soi, une alimentation saine. Le véganisme a été infiltré et des substituts à la viande ont été proposés; ils ne sont pas nécessaires et sont du côté des acides tout comme d’autres produits alimentaires végan transformés. Le soja et le maïs ne sont pas optimaux pour la santé humaine tout comme d’autres formes d’amidons (y compris les légumes à fécule) et de céréales qui créent beaucoup d’obstruction. De nombreuses histoires d’échec du véganisme sont parrainées et financées par les industries de la viande et des produits laitiers et proviennent de sources compromises, corrompues ou mal informées.

La conscience mise en esclavage

En outre, il existe d’innombrables agendas cachés dans l’industrie alimentaire, comme partout ailleurs. La nourriture est un outil de contrôle, d’asservissement et d’engourdissement des consciences à bien des égards. De nombreux mythes (tels que le lait pour le calcium) ont été mis en avant pour des raisons économiques, mais pas seulement. Notre régime alimentaire influence notre niveau de conscience et la promotion d’un régime préjudiciable à la santé humaine sert des objectifs de destruction et d’esclavage, et en particulier l’esclavage de la conscience lorsque nous sommes de plus en plus obstrués, de plus en plus denses et de moins en moins reliés aux êtres lumineux que nous sommes.

Il apparaît clairement maintenant comment le véganisme est lié à d’autres gros blocs programmant tels que le transhumanisme ou le changement climatique. Comme c’est le cas pour le discours sur le changement climatique, on peut remarquer l’utilisation de jeux de manipulation pour faire ressortir le justicier social qui dort en nous, déclencher une réaction bien particulière émanant de l’une des sous-couches de nos personnalités. L’ingénierie sociale nous façonne via des causes, des événements et la manière dont nous est présentée l’information. Des programmes cachés basés sur la propagande de la honte et de la culpabilité sont en train de pousser les humains à adopter un régime végétalien le plus synthétique et le plus toxique possible (les produits à base de soja, par exemple, sont très acides et forment du mucus dans le corps qui se défend en réaction de ce produit non prévu pour la biologie humaine). De nombreux membres de l’élite créent de toute pièce ces industries, sociétés et organisations et deviennent riches tout en emmenant les humains un pas plus loin des lois naturelles.

La plupart de ce que l’on trouve dans les rayons des magasins d’alimentation ne devrait pas être consommé (plus de 90% de ce que nous trouvons dans les magasins d’alimentation n’est pas fait pour la consommation humaine; notre corps l’adresse comme une réaction allergique). A présent, le programme de lutte contre le changement climatique est également utilisé pour pousser les humains à manger des aliments qu’ils ne consommeraient pas en d’autres circonstances, que ce soient des insectes ou de la chair humaine: le cannibalisme commence à être promu pour lutter contre le changement climatique et encourager l’idée de durabilité, insérant l’agenda satanique afin de récolter le consentement des masses. Jadis appelé le dernier tabou, il est maintenant devenu le ‘grand’ tabou. Avec ce genre de détails, les choses avancent pas à pas dans les consciences alors que le débat apparaît comme “ouvert”, il est en fait programmant. Des “artistes” tels que Marina Abramovic (occultiste dont l’art suinte le satanisme) font partie de cet agenda plus vaste. Netflix et ses séries embraient le pas en intégrant ces concepts ouvertement dans leurs programmes, rendant ces sujets de plus en plus acceptables aux yeux du public via désensibilisation.

Piégés dans la matrice

L’identification à un régime comme une religion entraînera éventuellement une division interne qui se projettera à l’extérieur. Il apparaît clairement aujourd’hui que le mouvement végan est poussé de manière sournoise (par le biais de célébrités Youtube, hollywoodiennes ou de la musique pop) au service de l’agenda 21 du Nouvel Ordre Mondial et est utilisé pour soutenir le discours canular selon lequel l’homme serait à l’origine du changement climatique, discours utilisé pour manipuler les masses dans une certaine direction et adopter certaines nouvelles lois pour faire avancer l’agenda du Nouvel Ordre Mondial. Dès qu’il y a des fréquences de culpabilité, de honte ou que les principes victime / sauveur sont appliqués, la matrice nous tient en son sein. Dès que nous méprisons le parcours de quelqu’un, pensant en savoir plus que lui, établissant une hiérarchie, en installant une dynamique de pouvoir, nous nous trouvons nous-mêmes dans un piège qui ne sert personne. Cet état d’acidité empêche aussi notre guérison profonde. Ce qui compte tout autant que ce que nous mangeons est la façon dont nous nous positionnons face aux choix alimentaires des autres.

Des agents de la matrice à la tête des mouvements végan

Le mouvement végétalien est sans aucun doute influencé par l’ingénierie sociale. Beaucoup de personnalités végétaliennes sur YouTube sont des pions, des acteurs et des gens qui nous trompent. Ils ne sont pas ce qu’ils prétendent être. Il existe un autre agenda: avoir la main mise davantage encore sur notre nourriture et sa qualité tout en infiltrant le débat (chaque domaine de la vie étant infiltré), créer plus de division et contrôler l’opposition. Le régime végétalien mis en avant concerne également les produits de fabrication végétalienne malsains, qui s’éloignent d’une alimentation proche de la terre, tendant vers la consommation la plus artificielle et la plus acide possible, jusqu’à des produits teintés de satanisme (le burger sans viande qui saigne, rappelant le sang adrénalisé qui maintient les humains très engagés dans leurs circuits de dopamine). Rappelons-nous comment ils ont même inventé un mot, une maladie, pour catégoriser les personnes considérées comme trop axées sur une alimentation saine: l’orthorexie. Elle fut étiquetée comme trouble mental, ce qui signifie que l’on était mentalement instable pour prêter une telle attention à manger le plus sain possible. C’est l’exemple flagrant d’une initiative purement basée sur la programmation via la honte et la culpabilité.

Il apparaît clairement que ce qui se passe est une infiltration et un moyen de contrôler l’opposition et d’éloigner les gens d’une alimentation naturelle nourrissante à base de fruits et légumes, une manière de s’alimenter proche de la connexion que les humains peuvent avoir avec le sol qui les nourrit. Le mode d’alimentation sans mucus, et en complément le jeûne, est un système de guérison qui arrête et inverse la dégénérescence. Après s’être engagé dans un tel parcours, toute personne essayant de manger de la viande ressentira (une fois que le corps aura recommencé à réagir et cessé d’être engourdi) ce que la viande fait vraiment au corps. Le corps humain n’est pas fait pour digérer la viande, elle y devient putréfiée et provoque de la dégénérescence. Les reins humains ne sont pas en mesure de traiter les déchets acides qui sont créés. La façon dont nous mangeons nous aide-t-elle à inverser des problèmes de santé tels que l’acné, la fatigue chronique ou les problèmes de thyroïde? Est-ce qu’elle nous aide à reconstruire notre trajet intestinal et à améliorer notre vitesse de digestion? Ou le régime que nous consommons ne fait-il que supprimer les symptômes (comme le font les régimes carnivores ou cétogène) ? Ce ne sont pas des systèmes de désintoxication et ils ne font qu’aggraver les problèmes.

Sommes-nous capables de remarquer la conséquence que chaque aliment a sur notre système ? Cela ressemble parfois à une sensation bizarre de densité dans les sinus (la création de mucus par les artichauts par exemple) ou il peut y avoir une réponse au niveau des poumons. J’ai trouvé beaucoup de compréhension dans la connexion avec la fréquence de chaque ingrédient et ce qu’il fait à mon corps avec des essais et erreurs (y compris quelques épisodes bouffis et nausées). Je trouve de l’autonomie en renouvelant ma confiance dans le plein potentiel de mon corps à se guérir lui-même. Je choisis le mode d’alimentation sans mucus parce qu’il est régénérateur, qu’il cause le moins de dommages au corps humain et qu’il est axé sur la physiologie humaine. Je reste ouverte à l’expérimentation, à la révision et à l’approfondissement de mes connaissances. La frontière est mince entre s’éduquer soi-même et tomber dans les pièges matriciels de la division créant des visions en tunnel. C’est un formidable terrain de jeu pour apprendre beaucoup de choses sur le corps humain. C’est incroyable tout ce que notre corps, une véritable technologie, est capable de faire.

La condition animale retrouvera un pan de dignité lorsque le voile sera levé sur la psychopathie qui anime ce monde et que nous nous serons réaligner à vivre bien ancrés dans notre corps, à partir de notre coeur et non de notre tête. La quête commence à l’intérieur de nous-mêmes, en observant où se trouvent les zones aveugles, en choisissant l’unité plutôt que la division, la création plutôt que la réaction et en continuant de travailler vers plus de discernement.