De nombreuses personnes publiques ne sont pas ce qu’elles prétendent être. Il est facile de créer une certaine image aux yeux du public, réceptacle des projections collectives. Ce dont nous sommes témoins à travers les médias de masse et même une grande partie des médias alternatifs est principalement, sinon presqu’entièrement, mis en scène, contrôlé ou corrompu. L’opposition contrôlée est un terme qui désigne les opérations psychologiques (psy-ops) qui visent à contrôler l’esprit du large public et à les manipuler psychologiquement et émotionnellement. Elle fonctionne comme un bluff à double versant. Les récits mis en place sont des crises qui sont conçues pour créer une distraction, parfois rejetant la responsabilité sur quelqu’un d’autre. Ces opérations menées par les gouvernements et les agences de renseignement donnent généralement lieu à des représailles (peu de personnes maîtrisent leur programmation réactive et beaucoup n’ont pas d’esprit).
De telles opérations, menées par des agences de renseignement secrètes et planifiées très longtemps à l’avance, sont conçues pour maintenir les masses en esclavage, les distraire et les détourner de la racine des problèmes, en façonnant l’opinion publique. En effet, il s’agit de projets de désinformation très sophistiqués s’appuyant sur des réponses psychologiques facilement prévisibles, utilisant la programmation prédictive et conçus pour diffuser de fausses informations afin d’influencer l’opinion publique. Ils reposent sur le principe que la meilleure façon de contrôler l’opposition est de la diriger de manière insidieuse. Ces opérations, faites pour syphoniser du temps, de l’énergie et de l’argent tout en concentrant l’attention du public sur des valeurs inversées et de la tromperie, se cachent souvent sous des déguisements humanitaires aux allures bien intentionnées. Les opérations psychologiques sont également un moyen parfait de diviser la communauté des chercheurs de vérité, de distraire les gens avec des arguments insolubles qui tournent en rond et de discréditer ceux qui font des recherches dans les domaines catalogués (par la CIA) comme “conspiration”. Un examen plus approfondi du fonctionnement du contrôle mental peut également aider à percevoir les récits construits de l’opposition contrôlée. C’est aussi très lié au dialecte hégélien (problème-réaction-solution) qui désire qu’une certaine solution soit votée et mise en place. Ceux qui veulent voir cette mesure appliquer sont alors à l’origine de la création du problème en premier lieu. Les réseaux de l’opposition contrôlée sont liés entre eux et ont tendance à se soutenir mutuellement. Ces réseaux sont faits pour détourner l’attention des éléments d’information les plus importants qui devraient être abordés. On trouve souvent des personnes au grand cœur et bien intentionnées qui ne sont pas conscientes qu’elles soutiennent et remplissent des objectifs sombres et qu’elles travaillent pour des entreprises au passé obscur.
“Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société constituent un gouvernement invisible qui est le véritable pouvoir dirigeant de notre pays. Nous sommes gouvernés, nos esprits sont modelés, nos goûts sont formés, nos idées sont suggérées, en grande partie par des hommes dont nous n’avons jamais entendu parler. Dans presque tous les actes de notre vie quotidienne, que ce soit dans le domaine de la politique ou des affaires, dans notre conduite sociale ou dans notre réflexion éthique, nous sommes dominés par un nombre relativement restreint de personnes qui comprennent les processus psychologiques et mentaux et les schémas sociaux du grand public. Ce sont eux qui tirent les ficelles et qui contrôlent la conscience collective”.
Des bribes de vérité mélangées au mensonge
Ce que la majorité des agents de ces opérations disent est en grande partie vrai, mais la nature des connaissances qu’ils transmettent sert des objectifs qui sont gardés secrets et qui ne servent pas les intérêts de l’humanité. Ils peuvent divulguer des informations pertinentes sur des crimes de guerre ou des fraudes politiques, mais ils continuent de fermer les yeux sur les véritables problèmes ou de grands évènements ayant modelé les consciences. En outre, de nombreux documents et contenus sont sélectionnés, délibérément révélés et utilisés comme appâts pour séduire le public et lui faire croire à la tromperie. La plupart de ces agents psychologiques ne révèlent que ce qu’ils sont autorisés à révéler en termes de secrets. Certains se font passer pour des fugitifs et obtiennent instantanément le soutien de la foule et des médias alternatifs. Les partisans seront souvent aveuglés par leur empathie pour un martyr ou leur désir de sauver le monde. Gardons à l’esprit que les vrais dénonciateurs ou les personnes qui sont les véritables vecteurs de changement dans ce monde sont persécutés, neutralisés et réduits au silence. Ils sont souvent menacés de mort ou, pire encore, on les supprime de la partie. Mais les trompeurs prétendent également qu’ils sont pris pour cible et harcelés. La prétention d’une telle infiltration peut également être utilisée à leur avantage pour mettre en place un système de hiérarchie, en le justifiant par la nécessité de protéger l’espace tout en prétendant que les gens ne peuvent pas gérer leur “ego négatif” – cela se produit de manière récurrente dans les communautés privées en ligne qui peuvent facilement devenir leur propre forme de culte. Dans ce qui semble être une communauté sûre, tout le monde se détend. C’est un espace de vulnérabilité qui entrent dans les foyers. Cependant, une dynamique hiérarchique maintient la polarisation des choses : ce n’est pas un espace où la vraie guérison peut prendre place. Il faut se méfier de ceux qui prétendent être une sorte d’avatar. Quelque chose d’autre pourrait bien être à l’œuvre derrière le voile.
La construction de lignes de narration fausses
De nombreux trompeurs conscients et habiles (avec des compétences certaines en magie noire) attendent aux endroits stratégiques, pour enfermer le chercheur de vérité dans la prochaine roue de hamster. Ces agents sont utilisés pour discréditer de véritables campagnes d’action en partageant des informations erronées et en veillant à garder le contrôle du discours officiel, empêchant ainsi la mise en action de mesures réellement efficaces et porteuses de changement. Cela se produit dans toutes les grandes campagnes (5G, ufologie, théories du complot, domaines politiques, victimes d’abus rituels, etc.). Notre désir d’apprendre vient-il d’un endroit sain à l’intérieur de nous-mêmes? Avons-nous vraiment besoin de personnes plus avancées, une sorte d’avatar, pour progresser sur le chemin ? Une fois le masque enlevé, il n’est souvent pas possible de continuer à suivre ces enseignements trompeurs. Car lorsque nous étudions la matière de quelqu’un, les énergies s’enchevêtrent. On peut toujours se demander pourquoi un événement se produit à ce moment précis. Pourquoi cette distraction ? Pourquoi y a-t-il une mise en scène de telle ou telle arrestation ? Pourquoi une telle agitation ? Ou bien quand est-ce qu’un nouveau joueur est inséré dans le jeu ? Ont-ils accès au statut de célébrité médiatique grâce à leur exposition en tant que martyr ? La figure du héros reçoit beaucoup de projections positives. Les projections positives sont tout aussi déformées que les négatives, elles sont de l’autre côté du spectre de la polarité. Lorsque nous avons des étoiles dans les yeux, nous sommes sous le charme de l’illusion. Cela peut être lié à des parties de la conscience de victime non résolue en nous-mêmes. Sommes-nous victimes de nos propres circuits de dopamine, en attendant le prochain fix? La quête de la connaissance peut être un contournement du processus de montée en conscience. Il y a toujours une nouvelle couche à laquelle accéder, une nouvelle roue de hamster pour nous rattraper lorsque nous nous libérons de la précédente, prête à nous encapsuler avec un nouveau rapport de vérité mélangée à des mensonges. Pourtant, les distorsions choisies causent suffisamment de dommages pour ralentir le chercheur, le faire dérailler de son chemin et lui faire perdre du temps et de l’énergie. Les trompeurs ne cessent de se réinventer avec de nouvelles astuces.
Se poser des questions et garder l’esprit ouvert
L’un des meilleurs moyens de détecter ces agents conscients ou inconscients est d’observer pendant une longue période (6 mois, un an ou plus) et de commencer à voir apparaître des schémas. Avec le temps, nous pouvons voir si une sorte de scénario bien ficelé est en train d’apparaître, avec de nouveaux éléments d’information qui s’ajoutent petit à petit à l’histoire et avec le sentiment général qu’une certaine programmation est en cours (fausse croyance implantée, création d’une ligne de distorsion). Des agents inconscients peuvent être utilisés à travers leurs zones aveugles, des implants et nano-technologies et le manque de mise à jour sur leur programmation intérieure (complexe du sauveur, déclencheurs émotionnels, absence de compréhension approfondie des lois ésotériques, susceptibilité au contrôle mental). Voici des questions à garder à l’esprit pour appliquer une pensée critique et garder son discernement tout en étant exposé à ce qui nous est vendu comme vérité. Une observation constante révélera au fil du temps si les personnes sont compromises ou non.
- Quelle a été ma première réaction corporelle lorsque j’ai vu/rencontré cette personne pour la première fois ?
- Combien de temps dois-je y consacrer chaque jour? Qu’est-ce que cela me demande en terme d’investissement en temps et énergie?
- Comment cette personne parle-t-elle de son histoire ? Comment se comporte-t-elle lorsqu’elle raconte son histoire ? Que dit son langage corporel ? En s’arrêtant un instant et en sortant de nos émotions, nous pouvons observer qui est vraiment la personne en dehors de nos projections.
- Leurs découvertes/théories sont-elles simplement une belle histoire que l’on nous sert sur un plateau?
- Y a-t-il des anomalies dans les données recueillies ? Y a-t-il une surcharge d’informations ?
- Est-ce que cela se fait vecteur de la programmation new age ?
- Y a-t-il de la compassion dans leurs yeux ? Ou une soif cachée de pouvoir ? Cette soif se nourrit-elle d’être le centre d’attention ? Cette personne cherche-t-elle à véhiculer une contrefaçon de sincérité, d’intégrité ? Est-ce que j’y adhère ? Y a-t-il un véritable sens de l’intégrité et du travail sincère ?
- Cette personne a-t-elle l’air naïve ? Est-elle exploitée par sa rage inconsciente et non résolue ? Cette personne fulmine t-elle avec un sentiment de suffisance ou une conscience de victime et de blâme, révélant des blessures narcissiques non résolues ? Est-elle prise au piège et incapable de s’en extraire ? N’y a-t-il pas de retour en arrière ?
- Comment interagit-elle avec ses interlocuteurs ? Est-ce que cela semble authentique ? Y a-t-il un véritable échange ? Ou une conversation mise en scène comme celle que nous voyons à Hollywood (fascinante mais sans authenticité ni valeur organique) ? Est-ce qu’ils s’écoutent vraiment les uns les autres ?
- Cette personne a-t-elle quelqu’un sous son charme, un sort ? Y a-t-il une fascination importante en jeu ?
- Son histoire a-t-elle un sens lorsqu’on fait appel à la pensée critique ?
- Y a-t-il des intentions cachées derrière ses paroles ?
- Y a-t-il un sentiment d’admiration ? Y a-t-il un signe de romantisme ? Un dessein de forger une nouvelle croyance, planter une graine sournoise et insidieuse?
- Quels sont les sentiments que je ressens lorsque je reçois ces informations ? Y a-t-il une manipulation émotionnelle ? Quel pourrait être le but caché d’une telle réponse ? Y a-t-il une manipulation dans la façon dont l’information est présentée ?
S’interroger sur la crédibilité, voir au travers
- Avec qui s’associent ces personnes? A quels canaux s’associent-ils ? Quelle est la crédibilité/fiabilité de ces chaînes ? Qui sont les autres personnes interviewées?
- Se ressentent-elles comme de nature organique ? Se ressentent-elles comme authentiques ou y a-t-il un caractère artificiel dans la création de leurs histoires et de leurs personnages ?
- Quelle est leur position par rapport à d’autres mouvements mondiaux d’ingénierie sociale (LGBT, agenda transgenre, transhumanisme, ingéniérie du changement climatique, etc.) ?
- Quelles sont les croyances de cette personne à propos d’événements clés importants (tels que le 11 septembre, un événement crucial qui façonne la société dans laquelle nous vivons aujourd’hui) ? Cette personne semble-t-elle faire preuve de discernement ? Quels sont les points qui ne sont pas abordés dans le débat ? Quels sont les points qui sont laissés de côté ?
- Y a-t-il une figure de mentor qui se cache derrière les rideaux ? Y a-t-il un controlleur dans les parages (même si ce n’est que très brièvement vu ou présenté – les controlleurs aiment souvent être visibles) ?
- Y a-t-il des signes que cette personne est sous programmation mentale active ou dirigée à l’intérieur par des sous-personnalités?
- Qui dans mon entourage, amis et famille, suit le travail de cette organisation ou de cette personne ? Puis-je voir un schéma se dessiner (par exemple, des schémas de codépendance forts qui agissent comme un aveuglement dans le discernement ou un traumatisme partagé ?
- Les enseignements sont-ils destinés à désincarner le public ? Est-ce que cela ressemble à une distraction du travail réel que l’on se sent appelé à faire ? Cela éloigne-t-il les gens de la connaissance qui sommeille en eux, attendant d’être réactivée ? Est-ce que cela ressemble à un trou sans fin ?
- Cette personne se ressent-elle comme animée par l’énergie humaine ou informatique ? Y a-t-il une signature robotique ? A-t-elle l’impression d’être plus artificielle que de nature organique ? Si c’est une femme, a-t-elle une forte énergie masculine ? Y a-t-il une signature extraterrestre de quelque chose de froid, d’intelligent (au sens artificiel) et de tranchant (la contrefaçon très avancée d’une signature organique) ?
- Peut-on interagir directement avec cette personne ? Y a-t-il un système hiérarchique mis en place ? Y a-t-il un sentiment de culte ? Cet agent est-il cité par des membres de la communauté comme une bible de laquelle boire la vérité?
- Est-ce que je me sens spécial et privilégié ? Suis-je manipulé pour me faire croire que j’ai accès à un grand secret ?
- Si je peux interagir avec elle, ai-je l’impression que je suis considéré(e) sur un pied d’égalité ? Sommes-nous vraiment invités à interagir et à nous connecter, à créer une communauté ?
- Comment était leur enfance ? Ont-ils grandi dans un environnement très manipulateur où il y a de fortes chances que leur esprit ait été contrôlé et fragmenté ?
- Est-ce que quelqu’un les finance derrière le rideau ? Semble-t-il y avoir des liens sombres et obscurs avec quelque chose mis en place secrètement ?
- Avez-vous l’impression d’être invité à revenir à votre propre connaissance interne?
- Qu’est-ce qui est dit et qu’est-ce qui n’est pas dit, qu’est-ce qui est ignoré ou nié ?
- Que puis-je savoir avec certitude ? Nous avons tendance à faire des suppositions et des interprétations basées sur ce qu’on nous a dit, mais tout cela s’avère être un château de cartes très fragile.
Et la question la plus importante pourrait bien être…
Y a-t-il une signature énergétique prédatrice, dans les yeux, dans le regard ? Cela peut ne pas être évident au début et peut se révéler avec le temps. Ces agents sont faits pour siphonner le temps, l’énergie et détourner l’attention même si certaines informations peuvent brièvement aider ou activer le chercheur. Beaucoup d’entre eux sont des agents inconscients en raison de leurs traumatismes non résolus et de leurs accords de vie parallèle. Puis-je me permettre de prendre de la distance et de respirer en dehors de l’espace restreint ? Puis-je me demander, et si ? Et si cette personne était un trompeur, qu’est-ce que cela activerait en moi ? Comment cela m’affecterait-il et pourquoi aurais-je du mal à y faire face ? C’est toujours une bonne chose d’accorder notre confiance avec une réserve pendant un certain temps avant d’avoir une solide idée de la personne réelle à laquelle nous avons affaire. La confiance peut être donnée progressivement au lieu de 100% d’un coup. Nos meilleurs outils sont l’observation constante, la patience et un questionnement et une réévaluation constants. N’oublions pas que si nous n’avons pas rencontré ces personnes, nous n’avons aucune idée de qui elles sont dans la vie réelle. Qui sont-ils vraiment ? Savons-nous ce que l’on ressent en présence directe de leur champ énergétique ? Tant que nous ne les avons pas rencontrés, ce n’est qu’une supposition. Il y a beaucoup d’escrocs qui sont de très bons acteurs.
Même si certains chercheurs ont une certaine connaissance dans le domaine du contrôle mental, ils sont désormais incapables de naviguer dans leurs propres relations interpersonnelles avec une maîtrise émotionnelle et sont devenus des agents matriciels inconscients.
Les faux tribunaux, les faux mouvements en faveur du droit animal et le faux humanitarisme
La plupart des associations qui prétendent servir l’humanité (climat, animaux, lanceurs de pétitions) sont financées par les familles de l’élite. Elles sont souvent une façade pour des bénéfices commerciaux lucratifs, récoltant non seulement l’énergie des militants tout en opérant des gains financiers. Avez-vous déjà eu l’impression que la fréquence de certaines organisations censées défendre les droits des animaux avait quelque chose de préoccupant? Ils font semblant de se battre pour de nobles causes pour récolter du consentement. Certaines organisations sont devenues des opérations récoltant beaucoup d’argent. Ont-elles résisté à la tentation de l’avidité ? Sont-elles animées par le désir de réussir, d’atteindre un public plus large, d’obtenir plus de clics ? Ont-elles le sens du discernement dans leurs collaborations ? Une fois que la corruption s’installe, il y aura de la désinformation, consciente et inconsciente. Cette organisation envoie-t-elle de façon répétitive des lettres d’information pour demander un soutien financier avec une fréquence de martyre associée à leur combat? Certaines instances semblent servir la justice (faux tribunaux) pour donner une satisfaction instantanée au public qui traverse des montagnes russes d’émotions. Sans parler du plan de l’invasion interdimensionnelle.
Que faire de tout cela?
N’oublions pas que nous pouvons apprendre beaucoup de choses en observant ce qui se passe et en tirant des enseignements des questions qui font surface. L’observation constante révélera des incongruités et nous permettra de remonter à la racine de certains de nos programmations mentales et de corriger ou d’adapter notre réaction émotionnelle aux informations extérieures. Comment pouvons-nous faire une alchimie en nous mêmes de ces enseignements et en tirer des enseignements, même et surtout de la partie trompeuse ? Sommes-nous capables de retrouver en nous-mêmes les parties qui ont été trompées et dupées ? Pouvons-nous fermer la porte pour que de telles choses ne se répètent pas à l’avenir ? Garder l’esprit ouvert, être prêt à lâcher prise de cet attachement mis à jour. Lorsque la structure mentale fait signe de vaciller, pouvons-nous ralentir et dormir dessus pendant quelques nuits/semaines ? Tout cela finira par s’intégrer sans forcer et deviendra la nouvelle norme sans qu’il n’y ait besoin de forcer brutalement le passage à une nouvelle compréhension. Il est nécessaire que nous nous reconnections à notre propre radar, que nous nous remettions des manipulations émotionnelles qui ont fait rage tout au long de notre vie, sans parler des hypnotismes et des sorts infinis de notre vie quotidienne. Ce que nous pouvons faire, c’est surveiller nos propres réactions émotionnelles et les observer. Ainsi, nous pouvons apprendre quelque chose de nouveau sur nous-mêmes et sur le monde, sans être attachés à un certain résultat. Il faut également reconnaître que nous avons été dupés et trompés. Il peut y avoir une certaine honte à le reconnaître, qui vient de la pression de ne pas avoir le droit à l’erreur et de la peur de se tromper.
La dissonance cognitive
Les convictions fondamentales mentales sont très fortes. Lorsqu’on nous présente des preuves qui vont à l’encontre de certaines croyances, certains mécanismes sont en place pour que les preuves soient rejetées. Un sentiment de malaise s’installe et les processus de dissonance cognitive, de rationalisation et de déni s’enclenchent. Le contrôle mental installe des couloirs labyrinthes dans notre esprit pour protéger certains secrets bien gardés et restreindre l’accès à certains endroits de l’esprit encore sous la coupe de sous-personnalités non ré-intégrées.
Pour comprendre l’étendue de ces opérations psychologiques, il faut mentionner la dissonance cognitive. Beaucoup se nourrissent de l’adoration et s’épanouissent en créant une dynamique de pouvoir. Les rencontres dans la vie réelle peuvent être un retour brutal à la réalité des choses: manque de respect, séduction, manipulation, narcissisme, manque d’empathie et fracture profonde de l’esprit. La dissonance cognitive est un phénomène qui nécessite notre compréhension. Il faut parfois un délai entre l’observation des événements et l’acceptation de ce qui a été réellement vécu, au-delà du voile des apparences. L’expérience du corps peut être surpassée par le mental: il est difficile de voir les choses telles qu’elles sont vraiment. Le mental trouve un moyen d’ignorer certaines parties de l’information (les signaux d’alarme) et de les justifier. La dissonance cognitive peut se produire parce que d’autres choses sont en jeu si quelqu’un s’avoue la vérité à lui-même : on peut perdre son emploi, cela peut menacer ses relations avec les membres de sa famille. Les choses sont souvent imbriquées les unes dans les autres, ce qui rend la réalité complexe à affronter. Si quelqu’un nous présente une information qui vient briser une croyance solidifiée qui est au cœur d’autres croyances, comme un château de cartes, la dissonance cognitive entrera en action comme une réponse mécanique émotionnelle qui protège l’esprit de devoir faire face à l’effondrement des cartes en une seule fois, et retardera le choc pour l’esprit. Certaines personnes réagiront en attaquant le messager, en essayant de le faire taire, en tentant de lui faire honte ou en le culpabilisant. En effet, affronter la vérité peut être assez inconfortable, surtout lorsque la carrière d’une personne est basée sur un mensonge ou une tromperie (hôpitaux, systèmes judiciaires, éducation, etc.). Combien de temps peut-on vivre sans intégrité en se mentant à soi-même ? Combien de temps peut-on se conformer et faire ce que l’on attend de nous si cela va à l’encontre de nos vraies valeurs ?
Le mot de la fin
En fin de compte, moins nous donnons d’énergie à des gens que nous ne connaissons pas en nous concentrant sur eux ou en empêchant nos formes de pensée de se mêler à leurs énergies, plus nous progresserons et moins le système de contrôle aura de prise sur nous. Comme nous ne pouvons pas toujours ou souvent être sûrs que quelqu’un est un agent conscient ou inconscient de la matrice, la compassion est un bon rappel. Rester connecté à notre cœur nous semble fondamental, non pas de manière faible et horizontale, mais dans une verticalité forte et ferme. La plupart de ces agents sont utilisés par le grand système comme des marionnettes et leurs parcours de vie ont été altérés et manipulés, généralement bien au-delà de leur libre arbitre. En laissant place à des valeurs de pardon inconditionnel, l’espace est tenu pour s’ouvrir à la Magie Alchimique dans un monde faisant face à beaucoup de souffrance et de distorsion.
