Tout autour, nous avons été entraînés à laisser nos réactions émotionnelles préprogrammées prendre le dessus. Le débat sur le changement climatique en est un bon exemple. Les consciences humaines sont prévisibles et facilement manipulables. Les déclencheurs émotionnels sont très souvent liés aux syndromes du martyre, à la conscience de la victimisation et à la programmation de la culpabilité et de la honte. De nos jours, il est nécessaire d’être attentif à ces déclencheurs émotionnels présents en nous qui nous révèlent souvent nombreuses informations sur la façon dont nos esprits ont été programmés et sont contrôlés, et d’observer à distance ce qui se passe dans nos propres pensées et dans les comportements qui s’ensuivent. Cette mascarade écologique est destinée à nous imposer un mode de vie précis et prédéfini.
C’est une bonne chose que le sujet du bien-être de l’environnement qui nous entoure et l’amour pour tous les êtres qui y vivent nous touche profondément. Cependant, notre émotivité est constamment utilisée contre nous. Pourquoi monter de toute pièce ce genre de scénario autour du changement climatique ? Sommes-nous dupés dans d’autres domaines de la vie ? Il est nécessaire d’y réfléchir plus en profondeur, car nous sommes confrontés à la propagande et au contrôle mental de masse. Tant que nous tournons en boucle dans ces filets, il n’y a pas de porte de sortie. Cet agenda joue également sur le thème lié à la réactivation de la mission que nous portons en nous et à notre désir de faire quelque chose pour changer la nature de cette réalité, de servir et de contribuer à un monde meilleur : il est temps d’agir. C’est sûr, mais cela n’a d’impact que si cela vient d’un endroit intégré et non d’un endroit blessé en nous. De plus, ce discours nous est servi à travers la lentille de la peur et de l’urgence, une basse fréquence qui est particulièrement savoureuse pour ceux qui se cachent derrière le voile.
Ingénierie d’un débat hautement toxique
Quand on contredit ou questionne le discours général qui nous est servi sur le changement climatique, les autres ont tendance à avoir divers types de réactions fortes. Chacun peut constater que le climat est bel et bien en train de changer. Le fait est que la déformation détourne la responsabilité de ce changement sur les épaules des citoyens. Chacun doit faire face à leur propre dissonance cognitive une fois confronté à des mascarades mises en place pour nous tromper. Des attaques personnelles seront lancées sur les sonneurs d’alerte. La dissonance cognitive est une scission entre les signaux du corps qui sont alertés que quelque chose ne tourne pas rond et la façon dont l’esprit traite les informations, les rationalise ou les justifie. Ce type de phénomène psychologique se produit en une seconde ; c’est un processus d’enchevêtrement et de complexité profonde à travers les structures mentales de l’esprit humain. Lorsque la dissonance cognitive est en jeu, il y a un délai entre l’observation des événements et l’acceptation de ce qui a été réellement vécu, au-delà du voile des apparences. L’expérience du corps est dominée par le mental: c’est un instant dans lequel il est difficile de faire face à la vision des choses telles qu’elles sont vraiment. L’esprit trouve un moyen d’ignorer certaines parties de l’information (les signaux d’alarme) et de les justifier. La dissonance cognitive se produit parce que d’autres choses sont en jeu si quelqu’un s’avoue la vérité à lui-même : elle menace d’autres domaines de la vie qui nécessiteront la prise de nouvelles décisions.
Lorsque l’on remet en question la ligne narrative générale servie publiquement, on est très vite accusé d’être conspirationniste. L’idée préconçue selon laquelle vous ne vous souciez pas de l’environnement peut être très vite émise ou mentionnée. Tout le discours est manipulé. Les données doivent être examinées de manière objective, sans préjugés personnels, sans conviction politique et sans émotions impulsives. Nous confondons souvent les symptômes pour les causes, car toutes nos façons de penser ont été inversées. C’est ainsi que notre pensée a été éduquée et modelée.
Un petit exemple qui révèle l’ampleur de la manipulation est le fait que le terme de réchauffement climatique a été remplacé par celui de changement climatique : tout événement climatique mondial peut désormais être utilisé comme carburant pour mettre du feu sur le débat. Cela ne veut pas dire que les menaces ne sont pas réelles et que nous ne devrions pas nous soucier de ce qui se joue dans notre réalité. Cependant, toute action doit venir d’un esprit perspicace afin de ne pas adopter des comportements qui sont attendus de nous et motivés par des basses fréquences telles que la honte purement réactive qui nous fait penser que les humains sont des ennemis de la Terre, incapables d’en prendre soin et qu’ils sont mauvais.
Activation intérieure du guerrier de la justice sociale
Si nous n’y prêtons pas attention, notre avenir est construit par des gens qui sont très conscients du fonctionnement de la psychologie humaine. Le discernement peut être appliqué afin de reconnaître si un discours ou un événement est utilisé pour provoquer un certain type de réponse nerveuse ou hormonale chez le public, qui lui donnera envie d’aller faire quelque chose, par exemple protester dans les rues, défiler, qui sont finalement des actions qui correspondent très rarement à une fréquence appropriée pour un changement aligné. Le guerrier de la justice est souvent convoqué, à dessein. À partir de cet endroit blessé qui sommeille dans la plupart des êtres, de nombreuses réactions polarisées émergent. De plus, il n’est pas rare qu’un mouvement de justice sociale soit lancé par des personnes sous contrôle mental qui donnent le coup d’envoi à un scénario préparé et écrit en avance qui devient assez vite un mouvement d’envergure mondiale (pensons à l’ingénierie sociale du féminisme). Le syndrome du sauveur – un programme qui interfère avec les lois universelles – est également souvent appelé à s’activer.
Tout cela crée une certaine fréquence basse, le « loosh » (un terme qui fait référence à l’énergie produite par les êtres humains dont se nourrissent d’autres entités). La compréhension de ce concept de loosh aide beaucoup à comprendre l’ingénierie sociale derrière de nombreux événements de masse. L’activisme rencontre vite ses limites tant qu’il n’est pas ancré dans un travail spirituel sincère. Où et comment notre attention et notre énergie sont-elles dirigées ? Très souvent, la honte et la culpabilité sont utilisées pour imposer un mode de vie, pour façonner l’avenir. Quelque chose est manipulé pour nous faire croire que c’est notre faute et que nous sommes de terribles parasites de cette Terre que nous habitons. Le but de tout cela est de nous maintenir dans une autre distorsion complète, dans un mensonge dont le dessein est de nous tromper, une inversion parfaitement orchestrée. Beaucoup est inversé, nous nageons dans une mer de mensonges.
Greta Thunberg, un parfait pion et outil du contrôle mental
Greta Thunberg s’adresse principalement au complexe du sauveur au sein de son public ou déclenche culpabilité et honte par un discours moralisateur (le célèbre speech très mal joué: comment osez-vous ?). Il ne fait aucun doute qu’elle souffre de programmation mentale et d’inversion très poussée et qu’elle est utilisée comme esclave pour servir les sombres desseins des couches de l’élite qui contrôle la race humaine via le contrôle mental. Il ne s’agit pas de la diaboliser. Elle a été élevée au sein de valeurs inversées, tout comme ses parents et les générations avant eux. Nous sommes nombreux à être manipulés par la faiblesse de notre discernement et le traumatisme que nous avons subi. Les bonnes intentions sont très souvent mal dirigées si elles ne sont pas fondées sur quelque chose de solide car nous sommes nous-mêmes biaisés et ne sommes pas capables de percevoir la vérité à plus large échelle en raison des distorsions qui ont été placées en nous. Ne continuons pas d’être utilisés comme outil de manipulation supplémentaire et n’adhérons pas à ce qui nous est servi. Pratiquons le discernement et la pensée critique.
Celle qui accompagne Greta, Luisa Neubauer, et qui défile souvent avec elle, travaille pour l’organisation one.org. Cette organisation est financée, entre autres, par Bill et Melinda Gates. Il est tragique et triste d’être le témoin de la façon dont les enfants et les adolescents sont utilisés pour servir les agendas des forces de contrôle financier et social. En devenant une influenceuse sociale, l’avenir de Greta est déjà tracé pour s’engager dans un avenir lucratif dans la stratégie de marques d’industries et de produits « durables », en utilisant sa célébrité pour son profit personnel en plus d’être une figure qui influence l’opinion publique. La startup We don’t Have Time avec laquelle elle est liée « a l’intention de proposer des partenariats, de la publicité numérique et des services liés au changement climatique, à la durabilité et à l’économie verte et circulaire en pleine expansion à un large public de consommateurs et d’ambassadeurs engagés. » Que se passe-t-il là-dessous ? Pouvons-nous remarquer qu’il s’agit de marketing, d’image de marque et de création de profit tout en détournant les humains de la vérité ? Notre investissement émotionnel nous pousse à trop croire à ces récits. Plus nous sommes investis émotionnellement dans des domaines de notre vie, moins nous sommes critiques et moins nous pouvons utiliser notre sens de l’observation objectivement.
Greta Thunberg est une fausse actrice de la défense du climat. Sa famille ne passe pas le test : elle a une formation d’acteur (ce qui explique les discours très mal joués de Greta). Sa mère est une chanteuse d’opéra suédoise qui a participé à l’Eurovision, ne passe pas le test de la transformation homme à femme (squelette d’homme, inversion des familles d’élite) et est adepte du satanisme. Greta est en outre utilisée en raison de son syndrome d’Asperger. Elle a sans doute été victime d’abus sexuels dès son plus jeune âge. L’exposition de Greta dans les médias ne s’est pas faite de manière organique. Le simple fait que le message de Greta soit soutenu par des lobbies dont les intentions ne sont pas en faveur du bien-être de l’humanité et de tous les êtres vivants (Bill Gates, George Soros, Al Gore, Hilary Clinton) devrait être un signal d’alarme suffisant. La suspicion devrait grandir lorsque nous voyons des personnalités politiques soutenir une « citoyenne adolescente normale et écolière ».
Greta Thunberg n’est pas une élève ordinaire qui a décidé un jour de quitter les bancs d’école. Le mouvement qui est devenu viral est basé sur un mensonge. Son entourage est lié au monde corporate et sa remarquable ascension vers la célébrité n’est pas du tout aléatoire. C’est toujours orchestré, aucune montée vers la gloire n’est organique. Qui tire ces ficelles orchestrées ? Qui l’a incitée à lancer la grève ? C’est le fondateur de la rébellion Extinction, parce qu’il avait une stratégie en tête, le besoin d’un visage jeune pour stimuler un programme politique écologiste. Lorsque Greta monologue en essayant de déclencher des programmes de culpabilité et de honte chez les gens, ce n’est pas en toute innocence. C’est un scénario mis sur pied de A à Z.
Greta, qui est volontairement rajeunie dans son apparence physique, est instrumentalisée pour ressembler à Fifi Brindacier (une figure autoritaire qui dit aux autres ce qu’ils devraient faire et qui a été utilisée pour la programmation de la pensée et du comportement dans le passé). Cela nous rappelle également Lisa Simpson. Sur les premières images la montrant assise devant le Parlement suédois, le fait qu’elle porte un legging léopard devrait être un autre drapeau rouge (pensez au vidéoclip de Shania Twain « That don’t impress me much », il est lié à la programmation beta sex kitten MK ultra). Elle est considérée comme une figure d’héroïsme et de martyre, deux perspectives dangereuses qui permettent de ne voir le monde qu’à travers des lentilles déformées. Le débat est alimenté par le sensationnalisme et l’extrémisme : on nous dit que les humains produisent des émissions de dioxyde de carbone qui augmentent l’effet de serre, ce qui représente une menace pour la survie de la planète et de ses habitants. On nous dit que nous sommes les ennemis et que nous sommes à blâmer.
Programmation de la culpabilité et de la honte…
Il y a toujours un programme derrière les causes apparemment bonnes défendues par les médias ou les célébrités. Ne nous laissons pas berner, car notre temps et notre énergie sont aspirés dans les spirales de la distraction et de la division. Ne laissons pas de place aux sentiments d’impuissance et de désarroi dans nos cœurs. Soyons conscients des discours qui sont poussés de manière inorganique dans une seule direction.
Lorsque des images liées à l’environnement sont diffusées dans les médias et provoquent une hystérie, cela aidera-t-il un événement politique à faire passer certaines idées ? La plupart du temps, les images qui circulent sur les médias sociaux ou qui sont diffusées par des célébrités ne représentent même pas la réalité de ce qui s’est passé ; elles peuvent être retrouvées 20 ans plus tôt lors d’autres incidents similaires. Il est important que de fausses images soient utilisées pour dépeindre une situation actuelle et présente. Cela fait partie de la tromperie, de la magie noire pour détourner l’énergie d’un point à un autre. En d’autres termes, il s’agit d’une récolte et d’une désinformation totale destinées à créer des chimères éthériques et à conduire à de nouveaux résultats prévisibles par le vote de certaines décisions. Des images déchirantes d’animaux sont utilisées pour traumatiser émotionnellement le public afin qu’il prenne le train du changement climatique en marche. De faux messages sont diffusés, des idées sont assemblées pour aboutir à des conclusions erronées. La façon dont nous réagissons à une information ou à une histoire triste est connue des personnes qui ont étudié l’esprit humain. Le cocktail d’hormones et d’émotions qui en résulte est utilisé contre nous afin de nous manipuler.
… et l’ingénierie sociale des mouvements climatiques
En outre, les mouvements climatiques ont fait l’objet d’une ingénierie sociale. Les gens sont encouragés à croire qu’ils travaillent à la création de mesures de protection de l’environnement alors que quelque chose d’autre se joue. Il est maintenant plus nécessaire que jamais de prêter attention à l’intention cachée des programmes secrets au lieu de croire aveuglément les mots qui sont servis sur un plateau pour séduire l’esprit par un intellectualisme accablant. Les gens sont endoctrinés dans des environnements de type culte, on leur lave le cerveau et on leur extorque leur consentement. Les gens sont amenés à se sentir coupables d’être l’ennemi de la terre tandis que le silence est maintenu autour de sujets tels que la géo-ingénierie, les armes à énergie dirigée, les radiations micro-ondes de la 5G ou l’empoisonnement ciblé de tous les êtres vivants. Les sentiments humains tels que l’indignation ou le sentiment d’être dans notre bon droit sont également utilisés pour obtenir des résultats politiques en accord avec l’agenda 21 qui utilise constamment des slogans pour générer des réactions prévisibles en masse.
Les gens ont tendance à se laisser guider par ce qui les fait se sentir bien et à réagir à ce qui les fait se sentir mal en projetant vers l’extérieur leurs traumatismes réprimés et non résolus. En projetant la honte vers l’extérieur, on se libère temporairement et on peut se sentir mieux en croyant faire « ce qui est juste ». Se sentir spécial en défilant dans les rues n’est pas la solution. Souvent, faire ce qui est aligné avec la plus grande vérité ne procure pas nécessairement un sentiment de bien-être. Les dirigeants qui sont des psychopathes ne se soucient pas des personnes qu’ils exploitent, pas plus qu’ils ne se soucient de la préservation de la nature. L’amour de la nature est un amour si profondément enraciné que la question est passée d’une dimension scientifique à une dimension politique guidée uniquement par les émotions. Nous sommes invités à devenir des individus imprévisibles, capables de penser par eux-mêmes et de remettre en question ce qui parvient à nos yeux et à nos oreilles dans chaque situation. Les efforts bien intentionnés pour réagir contre les injustices ou les atrocités et le militantisme sont trop souvent réactionnaires et mus par des impulsions inconscientes liées à une blessure intérieure qui saigne.
Le véganisme et le changement climatique
En filigrane, il y a aussi une volonté de relier ensemble le véganisme, le changement climatique et même le transhumanisme. S’il est nécessaire d’éprouver une véritable compassion pour les animaux, la frontière entre compassion, culpabilité et honte peut être très mince. En permanence, on nous sert des images qui sont extrêmement traumatisantes. Qui, face à cela, peut rester impassible ? La plupart du temps, ces images n’aident pas car elles touchent des personnes qui font déjà de leur mieux pour être respectueuses. Une grande partie du mouvement végane est dirigée par la honte et la culpabilité. Ce sont parmi les principales émotions qui maintiennent en esclavage et sous contrôle. Il existe un niveau élevé de culpabilité et de honte parmi les activistes environnementaux ou véganes.
De plus, le véganisme ne comprend pas ce qu’est la santé et peut être tout à fait préjudiciable à la santé, en produisant beaucoup de mucus et d’acides, surtout quand on commence à intégrer tous les substituts recommandés à son alimentation. Le type d’alimentation que j’ai choisie est un système de guérison qui vise à produire le moins de mucus possible dans le corps et à désintoxiquer les vieilles obstructions tout en restant à l’écart des mouvements et initiatives qui culpabilisent les gens et les manipulent via des émotions telles que la honte. À côté de cela, bien sûr, une division supplémentaire entre les gens est créée via leurs choix alimentaires. La devise « diviser pour mieux régner » est utilisée comme une arme dans tous les domaines de la vie (sexe, race, régime alimentaire, équipes soutenues, convictions politiques, philosophiques, religieuses et ainsi de suite) par des communautés qui se battent entre elles et se déchirent. C’est profondément retraumatisant une fois de plus, réveillant des blessures de non reconnaissance, de trahison et de persécution. Tout est fait pour que les jeunes générations en veuillent à leurs aînés et tout est fait pour récolter et exploiter leur bonne volonté et leur cœur naïf.
Sous couvert des Nations Unies
Les Nations Unies, une façade humanitaire gérée par les élites visant à saper la souveraineté des citoyens, sont utilisées comme plate-forme pour promouvoir une crise environnementale mondiale comme faisant partie d’un programme mondial plus vaste : » aucune nation ne peut y parvenir seule ; mais ensemble nous le pouvons – dans un partenariat mondial pour le développement durable » est une déclaration que l’on trouve dans les lignes des documents officiels. Le plan consiste à modifier les modes de consommation, à gérer les ressources terrestres et à contrôler tous les êtres vivants. Ne soyons pas dupes car il ne s’agit que de contrôle et de limitation de la souveraineté nationale.
La solution proposée par l’ONU est de placer notre confiance dans leur stratégie 2030. La peur est exploitée pour pousser un certain scénario bien écrit, un plan qui aliène les droits de l’homme et qui impose le contrôle de toutes les ressources. Qui pourrait contester les intentions affichées ? Sur le papier, tout semble parfait. Il faut regarder et sentir à travers l’invisible car il y a un double sens caché. Dans le cas présent, il s’agit du plan visant à infiltrer et à contrôler globalement et localement toutes les terres, les eaux, les minéraux, les animaux et toutes les informations. Il s’agit plus de changer l’économie que le climat. Le fait est que ces élites ne se soucient ni des humains ni de l’environnement, et qu’ils utiliseraient n’importe quoi pour soutenir leurs agendas politiques.
Le mensonge des 7 milliards d’habitants
Beaucoup ici sont des projections holographiques. On nous reproche d’être trop d’humains et de demander trop de ressources. En dessous, des décisions sont prises pour nous affaiblir de toutes les manières possibles. Il est dangereux de nous faire croire que nous devons être réduits en tant que population. Penser que nous méritons d’être punis parce que nous consommons trop, c’est encourager le dégoût de soi. Le problème principal est l’agenda des envahisseurs contre la vie sur cette planète. Il y a un programme poussé pour que chaque citoyen se sente petit et insignifiant. Et pourquoi tout cela est-il important ? Parce que la quantité de consentement que nous donnons a de l’importance. La plupart du temps, ces consentements se produisent d’abord et avant tout sur le plan énergétique avant de se matérialiser dans le monde physique. Ne pas donner notre consentement à un lavage de cerveau par la propagande est déjà une victoire en soi et une récupération d’une infime partie de notre volonté souveraine. De nombreuses réclamations de ce type sont nécessaires pour que nous puissions retrouver notre relation symbiotique avec nos terres et tous les êtres vivants. Il est important de continuer à rejeter ce qui nous épuise dans ces débats qui sont destinés à nous faire penser que nous sommes moins que rien et nous amoindrir dans la grandeur et la beauté de ce que nous sommes vraiment.
Ressources
- Mon article sur les programmations de culpabilité et de honte dans le mouvement végan: « Culpabilité, honte et programmes de division dans le mouvement végan et la vision tunnel de la communauté détox »
- Coup de projecteur sur les schémas codépendants et la conscience de la victime: « De la codépendance, la compassion aveugle et la croyance d’être dans son bon droit vers une manière plus interconnectée et plus mature d’interagir dans cette réalité »
- Comprendre l’opposition contrôlée et les opérations psychologiques: « Discerner la désinformation, l’opposition contrôlée et les agents matriciels inconscients et apprendre à voir et à sentir par la tromperie«