Se rassembler en tant qu’humains a un potentiel incroyable. Néanmoins, il n’est pas surprenant que cela soit perpétuellement détourné et que la force d’une telle rencontre soit constamment dirigée. La majorité des événements collectifs, en ligne ou sur place, sont utilisés pour subjuguer et diminuer la capacité des humains à penser de manière critique et à évoluer spirituellement. Cela est fait via la création d’un esprit de ruche, le détournement des intentions conscientes, subconscientes et inconscientes ainsi que les traumatismes et blessures encore non intégrées, tant des fondateurs que des participants. La vaste majorité des rituels publics sont destinés à siphonner et à récolter l’énergie humaine. L’énergie, le pouvoir co-créatif et le consentement sont capturés et canalisés stratégiquement, puis investis, utilisés et dirigés. Il est très fréquent que, lors d’un événement, on donne son consentement en tant que participant actif à des valeurs inversées par des pièges de consentement sous-jacents, des forces négatives extérieures étant convoquées malgré nous, souvent en se faisant passer pour ce qu’elles ne sont pas ou en se déguisant. Que rendons-nous possible par nos consentements ? Quel monde permettons-nous de faire naître grâce à notre pouvoir créatif ? Avec quelle fréquence collaborons-nous ? Est-ce que cela assiste réellement la race humaine ? Ou bien est-ce que cela ressemble à une évasion, un contournement du traumatisme profond qui sommeille en chacun de nous ?
Lorsqu’on assiste à un festival ensemble, le groupe emmène ses sphères mentales avec lui. Les festivals ne sont pas, comme ils le prétendent, un espace ou un conteneur sûr pour la guérison et l’ouverture. Les événements de masse sont très souvent corrompus d’une manière ou d’une autre par les blessures intérieures de tous, l’absence de prise de responsabilité réelle, le désir d’évasion et de distraction, le déni, les processus de dissonance cognitive et le manque de travail d’intégration de la fragmentation intérieure. Ils constituent donc un lieu extrêmement complexe pour altérer son état de conscience. La structure mentale d’âmes impressionnables portant des blessures non résolues est aisément imprimée. Sous les niveaux invisibles se cache un jeu insoupçonné. Les idéaux et les tentations sont mis en œuvre dans les esprits, en travaillant sur les brèches psychiques, les faiblesses et les dépendances. Les participants sont trompés. L’énergie de certains sera plus ciblée que d’autres. Tout le monde reste concerné à un niveau ou à un autre. Beaucoup ne pourront pas sentir la signature et l’empreinte d’énergies hostiles anti-humaines qui manipulent les fils derrière le voile. La plupart n’ont pas conscience des sinistres intentions qui se manifestent derrière la scène ou des dommages causés dans le champ électromagnétique des êtres humains. Ils n’ont aucune idée de ce qu’est réellement l’expérience transformationnelle par laquelle ils sont en train de passer et de la nature réelle de la transformation. Ils restent des participants ignorants de ce qu’il se passe sous des aspects occultes, ne sachant pas qu’ils donnent leur consentement et leur force vitale pour soutenir des agendas anti-vie. Nous jetons des sorts tout le temps sans nous en rendre compte, la conscience de qu’il se passe est généralement occultée bien que la magie soit pratiquée en tous temps. Nous sommes des êtres magiques. Nombreux sont ceux qui participent à un événement qu’ils ne comprennent pas entièrement, séduits et tentés par leurs propres schémas codépendants. Les bonnes intentions ne suffisent pas ; et croire au mensonge ne cesse d’alimenter la machine. Les festivals sont utilisés comme outils pour aspirer temps, attention et énergie. Le consentement des humains est récolté pour mener à bien des agendas hostiles à travers de nombreuses pratiques et rassemblements communs qui sont socialement acceptés et même portés aux louanges. De nombreux événements collectifs prétendent ensemencer un nouveau monde, mais il s’agit plutôt de mettre en œuvre le nouvel ordre mondial. Les forces anti-vie organique se déguisent pour donner l’illusion d’une expérience spirituelle forte. On a l’impression d’être dans un labyrinthe mental, mais cela mène-t-il vraiment quelque part ? Lors de festivals soi-disant conscients, des entités se nourrissent de programmes de fausse lumière et d’illusions collectives. Ce qui importe pour que ce loosh soit créé, c’est une polarisation des émotions humaines. Une énergie plus proche du serpent se retrouve dans les soirées psytrance. Une signature satanique est quant à elle plus répandue pour des événements comme Burning Man, phénomène que cet article approfondit dans sa dernière partie. De nombreux festivals sont basés sur la symbologie, promouvant la lune, les extraterrestres ou d’autres symboles du système de contrôle hyperdimensionnel sans les comprendre bien.
Contrôle mental au sein de la scène musicale
Après la seconde guerre mondiale, des recherches cachées ont été menées pour faire entrer l’humanité dans une ère plus informatisée avec des opérations psychologiques à grande échelle et un nouveau type de propagande. La révolution sexuelle et le mouvement hippie, qui ont servi à faire accepter des concepts sous un déguisement distrayant, ont été conçus et infiltrés par les services secrets. Le divertissement est généralement très polarisé, donnant une fausse satisfaction, une libération et une gratification temporaire, au cerveau humain. L’industrie de la musique est une machine à gagner de l’argent, faisant des millions de dollars de profit chaque année, et il s’agit aussi d’endoctrinement et de mise en œuvre d’idées et d’agendas. L’industrie du divertissement est utilisée pour que les gens deviennent moralement complices de la progression d’agendas menés par des factions cachées. Pour pouvoir le faire, ces facLa scène électronique est liée à la normalisation et à l’acceptation de l’intelligence artificielle et de l’agenda transhumaniste, destinés à affecter, changer et transformer les perceptions, la morale, le sens de l’éthique et les valeurs des gens. La plupart passe leur temps à nourrir la bête, à fréquenter les clubs (en ajoutant des couches de secret et de culture underground dans certains cas), à écouter le même type de musique partout où ils vont, à vivre le même type d’expériences de contrôle mental. Le lavage de cerveau se produit à un niveau subliminal, sous ce qui est apparent. La programmation a été étudiée sous l’influence de drogues dans certains états d’ondes cérébrales et nous pouvons certainement nous demander comment ils utilisent ces connaissances aujourd’hui sur le public et comment ils appliquent ces techniques lors d’événements de masse. Recevoir la proposition musicale d’un être pervers (conscient), compromis (inconscient) ou vaisseau d’une force qui le dépasse peut ensemencer notre conscience avec des lignes temporelles artificielles, surtout lorsque des drogues altérant l’esprit sont utilisées. En effet, la plupart du temps, nos pensées ne sont pas les nôtres et une technologie cachée est utilisée pour injecter des pensées dans la conscience humaine et contrôler à distance l’esprit humain. Les distractions tendent également à créer un bonheur artificiel qui permet d’éviter de faire face à la matière non résolue et non traitée en nous, encourageant l’asservissement à se perpétuer.
Ce n’est pas par hasard que les drogues lourdes, les enthéogènes ou les psychédéliques peuvent circuler librement malgré les interdictions apparentes: cela place les gens dans des espaces hypersuggestibles où ils sont très vulnérables aux suggestions, aux injections de pensées et à tout ce à quoi ils sont exposés. La kétamine et le LSD, qui peuvent être utilisés pour dissocier l’esprit et créer des épisodes de dépersonnalisation, faisaient partie des études de MK Ultra sur la manière de briser psychologiquement l’esprit de quelqu’un et de le programmer. L’utilisation de substances psychédéliques et d’enthéogènes n’est pas synonyme de réveil ; elle peut en fait ébranler le sentiment d’identité d’une personne et enfouir des couches de programmation dans des schémas mentaux plus labyrinthiques. Il faudra plus de travail pour démêler, accéder, révéler et libérer ces couches et il y aura moins d’entrain à remettre la société en question. En outre, il est dangereux (cela cause des complications) de forcer l’entrée dans un état de conscience élargi avec des drogues altérant l’esprit.
L’intelligence artificielle fonctionne à partir d’algorithmes, en étudiant des modèles, basés sur l’intelligence d’une source originale habitée d’une étincelle de feu créatif. Une ancienne programmation de contrôle mental installée des années plus tôt par des messages subliminaux provenant des médias de masse ou de la télévision, utilisée pour contrôler les gens à distance, peut être déclenchée à nouveau des décennies plus tard ou utilisée comme plate-forme pour installer un nouveau type de logiciel, la nouvelle version plus agressive de la programmation, la prochaine étape du programme anti-vie. De cette façon, les messages subliminaux des années 1990 qui ont été transmis par des clips vidéo peuvent être renforcés et déclenchés dans des directions nouvelles et plus agressives. Le système veut que nous nous retranchions dans nos mécanismes internes, que nous réagissions à des déclencheurs externes, que nous continuions à nous projeter vers l’extérieur, loin du souvenir intérieur et d’un champ unifié.
Fractionnement de l’esprit lors des festivals
En général, les gens ont tendance à trouver du réconfort au sein des foules, cela permet un certain niveau de dissociation tout en fondant l’énergie personnelle avec l’énergie collective. Cette dissociation encourage les sous-personnalités et les fragments de soi créés artificiellement à trouver un moyen d’expression et à être réactivés. Parmi les groupes de personnes qui assistent à l’expérience ensemble, beaucoup fonctionnent avec ces sous-personnalités qui finissent par se renforcer mutuellement via la mentalité de la ruche et l’incrustation de schémas de dépendance les uns dans les autres. La dissonance cognitive est une réaction courante chez les humains : l’esprit trouve un moyen de protéger les croyances fondamentales et de rejeter les preuves que quelque chose ne va pas. Pour pouvoir maintenir une intimité plus profonde dans les amitiés, il est nécessaire de pouvoir établir des relations à partir d’une illusion commune ou, idéalement, à partir d’un objectif commun lié aux fréquences de vérité. Il y aura souvent une part d’illusion incluse dans la relation. Si l’on est trop conscient du niveau d’illusion et de programmation de l’autre, cela ne fonctionnera plus, sauf s’il y a honnêteté, transparence, réciprocité et aide mutuelle à travers ce processus. La musique et les sons peuvent être utilisés soit pour guérir (déprogrammer l’esprit et le corps), soit pour contrôler l’esprit en y intégrant des codes et messages à doubles niveaux. La fréquence en hertz peut être utilisée pour servir, dans des contextes de guérison avec les intentions les plus élevées et sans compromis, ou pour nuire, en utilisant la manipulation des émotions humaines pour atteindre certains objectifs. Tout est question d’intention et d’utilisation. Qui a les cartes en main ? Par exemple, certaines chansons sont utilisées pour déclencher des schémas d’autodestruction (messages de suicide, abandon à des programmes anti-vie, autosatisfaction ou gratification instantanée). Les personnes qui participent à ces expériences à grande échelle ne sont généralement pas conscientes qu’elles se soumettent à des opérations de contrôle mental et qu’elles deviennent elles-mêmes des complices du système, permettant ainsi la perpétuation de tromperies et de modes de pensée et de comportement pathologiques.
Identité confuse
Inconsciemment, ce genre de scènes est une échappatoire à la lourdeur cachée de notre vie dans les couches des systèmes qui nous oppriment. Elles sont un moyen de contourner spirituellement le processus d’évolution. Nombreux sont ceux qui confondent leur personnalité d’ego conditionné, leurs besoins programmés et leur sentiment d’être dans leur bon droit, avec leur véritable être. Le contournement spirituel consiste à éviter de s’occuper des blessures non résolues et non traitées et à contourner le travail de base sur l’ombre et la psychologie qui doit être fait pour libérer les traumatismes. Il s’agit de fuir les parties non résolues et fracturées du soi. Il est très souvent lié à une grande quantité de dissonance cognitive qui maintient les choses bien enveloppées, de sorte que l’on peut avoir l’impression d’être plus évolué spirituellement qu’on ne l’est vraiment, renforçant l’ego spirituel, utilisant et déformant les concepts spirituels afin de continuer à éviter, à faire face et à s’asseoir avec ce qui est à l’intérieur. Beaucoup ont tendance à croire que leurs déclencheurs et leurs impulsions ont quelque chose à voir avec la liberté. Cela n’est pas sans rappeler l’hédonisme des baby-boomers. Les schémas de dépendance, qui sont souvent utilisés pour contourner et agir comme un moyen de compensation, ont moins d’emprise lorsqu’un sentiment de validation de soi est en place. Les gens croient suivre leur cœur et leurs intuitions, mais ils se trompent : quelque chose d’autre opère en arrière-plan. Il est nécessaire de remettre en question tout ce que nous ressentons et de ne pas agir de manière impulsive. Des distorsions sont utilisées pour déstabiliser le modèle familial, l’éthique et la morale. On risque d’oublier ce qui est vraiment important et précieux dans la vie.
Le contournement spirituel et la fausse lumière du new age
Dans ce type d’environnement, la concentration de croyances new age est très élevée et permet aux gens de se valider mutuellement dans des mensonges et des couches profondes de programmation. Les soi-disant « festivals conscients », dont on dit qu’ils sont « conçus pour les empathes » (et limités à un nombre restreint de participants), sont très entachés de ces notions de contournement spirituel, qui sont très concentrées et axées sur les enseignements de la fausse lumière, le jeu avec différentes couches de tentation, un manque de gestion émotionnelle plus profonde ou de capacité à percevoir, sentir et voir la réalité pour ce qu’elle est vraiment. Le niveau d’interaction qui peut avoir lieu est généralement de nature superficielle, artificielle et de nature à contrôler les pensées et les comportements. Le niveau de projection vers l’extérieur est très élevé et la majorité ne vérifie pas la source de leurs émotions et sentiments déclenchés. En effet, ce qui semble juste n’est pas toujours juste : il faut le remettre en question, le tester et l’observer. Les fréquences égoïstes se déguisent souvent sous une illusion de fausse lumière, qui est séduisante et non alignée avec la signature énergétique du vrai service, de la vraie bienveillance et de la vraie générosité. La naïveté est utilisée comme piège, pour engourdir et maintenir chacun occupé avec des concepts simplistes tels que » tout est un « , » il n’y a que l’amour » et » l’amour est la réponse « , des concepts qui ont leur part de vérité mais qui sont utilisés pour piéger et neutraliser la conscience des humains, sans tenir compte du fait que la réalité dans laquelle nous évoluons est régie par le contrôle mental (extraterrestre). Il manque une plus grande profondeur spirituelle et une vérité plus grande et plus entière. Lorsque les lois de manifestation sont utilisées pour manifester des objets matérialistes ou des richesses financières, elles se transforment en magie noire en raison du service de l’orientation vers le soi et de l’exploitation et du mauvais usage des concepts spirituels. La magie organique des lois naturelles est utilisée à des fins égoïstes et centrées sur soi, car la première intention n’est pas de se soucier véritablement des autres : c’est une porte ouverte aux pièges de consentement. La gratification instantanée est également dirigée par des motifs égoïstes.
Nombreux sont ceux qui fonctionnent sur des automatismes (programmation), comme s’ils étaient sous le charme, à la recherche de la félicité et généralement à la recherche de la prochaine expérience intense. Dans de nombreux domaines, il s’agit de se sentir comme si l’on faisait partie de la scène, ce qui nourrit l’ego avec le sentiment d’expérimenter quelque chose de spécial, de rare et d’être choisi pour cela. Les entités se nourrissent de comportements de suffisance, de recherche d’attention et de traumatisme (se lier aux autres à partir de parties brisées du soi). La signature énergétique ne ment pas. D’autres pièges fréquentiels sont l’établissement d’une hiérarchie égotique avec quelqu’un, sans le considérer comme un être à part entière, ou la complaisance (un sentiment de contentement ou d’autosatisfaction, surtout lorsqu’il est associé à une méconnaissance des parties brisées du soi et des blessures de l’enfance).
Seuls quelques-uns traversent l’expérience des festivals de manière alchimique, en raison de la quantité de luttes qu’ils rencontrent dans de tels espaces et de la véritable quête de réponses qui leur est inhérente. Ceux qui cherchent avec intégrité trouveront des réponses et des clés, quel que soit le contrôle exercé. On peut apprendre beaucoup de choses sur le terrain des festivals. Néanmoins, ces éveils sont souvent conçus dans une certaine conformité d’expériences et trompent l’esprit des participants de nombreuses façons. Parfois, ce ne sont pas les initiations que l’expérimentateur pense avoir rencontrées. Les festivals peuvent être utilisés pour leur fonction d’enseignement et leurs initiations épuisantes, ils ressemblent à un champ de bataille. J’ai également obtenu un certain degré de protection au milieu du chaos, ce qui montre que ce n’est pas purement le chaos qui y règne et que certaines règles bienveillantes sont également en application. Fondamentalement, nous pouvons utiliser les opérations de contrôle mental dont nous sommes sujets pour entraîner notre esprit et fouiller dans nos schémas inconscients. Pour ce faire, on peut jeter un coup d’oeil en arrière et voir ce qui est artificiel ou hostile et ce qui est de nature plus bienveillante. Un peu des deux coexistent pendant ces expériences d’hypersuggestibilité. Des implants pour imprimer la conscience sont utilisés ; des graines y sont également plantées. Ce qui peut sembler nourrissant et de type synchronistique un jour peut se révéler une ligne de temps artificielle et manipulatrice un autre jour. Seuls l’observation constante et le déroulement apparent du temps linéaire révéleront ce qui est quoi. Il n’y a pas de blâme extérieur, seulement une prise de conscience de ce qui est et des techniques utilisées pour prétendre contrôler mentalement la race humaine. La fréquence du coeur, liée à l’intégrité ne peut être compromise. Mais qui est pleinement souverain ? C’est pourquoi nous sommes compromis d’une manière qui n’est pas consciente et il faut un travail d’observation et de présence constant pour s’adapter dès que des points d’entrée sont révélés. L’énergie est détournée alors que nous continuons à travailler sur ce processus de réclamation intégrale de ce que nous sommes. Il faut reconnaître ce qui se passe pour pouvoir avancer au travers de ces couches de suggestibilité mentale.
La nostalgie de la tribu perdue
Lorsque l’on s’aventure sur ces terres, il semble important de s’assurer que l’on a une personne de confiance avec soi sur le terrain du festival, quelqu’un qui nous aime vraiment et se soucie de nous, au-delà des amitiés de surface où chacun disparaît lorsque l’on fait face à des heures sombres, pour la simple et bonne raison qu’ils essaient tous d’éviter leur propre souffrance dans ce prisme inversé. L’esprit humain ne peut être rencontré que dans des circonstances privilégiées. Lorsque des personnes se rassemblent dans une proximité physique ou mentale mutuelle, leurs champs vibratoires s’additionnent pour produire un champ collectif résonnant à des fréquences partagées entre elles. Ce champ collectif s’auto-renforce car il exerce une répulsion sur toute personne ou tout objet dont le spectre est dissonant avec la fréquence collective. Dans ces scènes, la pression des pairs est très courante. Ces communautés ont une forte signature d’esprit de ruche et peuvent instiguer un doute de soi paralysant face à l’illusion de la majorité, créant une illusion collective qui se renforce à travers l’illusion de chaque membre. Le sentiment de faire partie d’un groupe est souvent un soulagement pour faire face aux sentiments de détresse et d’insécurité et c’est là que cela devient un piège, à cause du contournement de ces sentiments. Souvent, nous sommes associés à des personnes qui vont contrôler des éléments de notre vie (le rôle des manipulateurs). Il peut être difficile de s’extraire des répétitions karmiques où la compétition, la jalousie et les programmes de division sont souvent rejoués en arrière-plan. Il est fréquent que des bandes karmiques soient réunies et soumises à un test ensemble. Inutile de dire qu’il n’y a pas de réelle évolution spirituelle à trouver du réconfort en compagnie d’autres qui ont subi un lavage de cerveau, qui sont sous contrôle mental et qui ne font rien pour s’en sortir. Il faut se libérer du troupeau qui nuit inconsciemment à la vie et à la création. Lorsqu’on quitte l’environnement de l’esprit de ruche, il est courant d’être fustigé, ridiculisé, attaqué et regardé avec dédain, comme dans n’importe quel contexte de mentalité sectaire.
De nombreux festivals jouent sur le désir ardent d’appartenir à une tribu spirituelle. Le charme fonctionne bien (par la tentation et la séduction) en raison de l’état de fragmentation courant des familles et des communautés. Il est naturel pour les humains d’aspirer à ce besoin primitif et organique de communautés saines, mais il n’est pas surprenant qu’il soit détourné et utilisé contre nous à cause d’aspects non guéris au sein du soi. Ce désir d’une tribu saine est un aspect fondamental de l’expérience humaine, mais il reste hors de portée tant que nous n’avons pas appris les bases. C’est une projection illusoire, une hallucination collective faite de boucles et de détours, tant que le travail intérieur n’a pas été fait. Notre désir de communauté est si fort qu’il peut nous pousser à rejoindre des groupes, des relations ou des systèmes de croyance qui nous donnent l’illusion d’appartenir à une communauté. Néanmoins, les lieux qui nous accordent une adhésion conditionnelle exigent de nous que nous nous coupions de parties de nous-mêmes (y compris par des processus de déni et de dissonance cognitive) afin de pouvoir continuer à y être intégrés. De plus, de nos jours, nos sociétés occidentales ne font plus de place aux initiations, aux rites, aux marqueurs temporels lors de la croissance vers l’âge adulte et la maturité. C’est là que ces festivals jouent également un rôle important dans ces aspects perdus du rythme naturel de la vie humaine et du besoin de rituels. On enfouit l’insécurité, la honte ou le sentiment d’inadéquation.
Tous les espaces où les gens essaient d’installer des communautés sacrées sont détournés et infiltrés, s’ils étaient de nature organique au départ. Nous avons certainement besoin de nouveaux rituels pour que la réalité soit affectée positivement, mais ces rituels doivent naître d’une solide connaissance de soi. Il n’y a pas de raccourci : il vaut mieux commencer petit, avec quelques membres de confiance qui ont montré une capacité à être responsables de leurs projections, qui sont capables de percer à travers la tromperie et de garder leurs sous personnalités sous contrôle (sans se laisser dépasser). Grâce au travail intérieur et à la capacité des membres à se déprogrammer lorsque les choses vont surgir au grand jour, de plus en plus de conscience d’unité peut être intégrée et le programme « diviser pour régner » peut être surmonté étape après étape. La qualité prévaut sur la quantité. L’éducation au discernement des réalités cachées est ce dont nous avons le plus besoin : les enfants ont cette capacité de discernement naturellement avant qu’elle ne soit enterrée sous des couches profondes de programmation mentale.
Sexualité, identité et confusion des genres
La dépravation sexuelle, la programmation à la misère sexuelle, la promiscuité, l’hypersexualisation, la débauche, la confusion des genres et des identités, la violence et l’autodestruction sont des programmations qui peuvent être déclenchées dans toutes sortes de directions et créer des pulsions irrépressibles. Lorsque les humains sont les marionnettes de leurs pulsions programmées inconscientes et de leurs réactions instinctives, ils sont sous contrôle, alors qu’ils croient que la libération de leurs instincts primaires est la clé de la liberté. Ce phénomène est accentué dans un environnement où le champ humain est affaibli chaque nuit lors des nombreuses attaques astrales qui se produisent sur les lieux du festival, ce qui fait qu’il devient de plus en plus difficile de rester pleinement conscient et sobre. Sur place, le temps du rêve est encore moins réparateur qu’à l’accoutumée et est très pollué.
L’attirance sexuelle est souvent confondue avec l’amour et beaucoup ne comprennent pas la façon dont leur corps est programmé pour avoir certaines réactions. Il est nécessaire de réclamer une certaine maîtrise émotionnelle de soi, en y réfléchissant à deux fois avant de s’engager dans les impulsions qui nous traversent. Beaucoup agissent à partir d’un lieu lié à des blessures inconscientes, de compulsion, de désespoir et d’un sentiment d’être incomplet. Il est crucial de faire un pas de côté et d’examiner, de plonger, de reconnaître et de comprendre les déclencheurs du corps et de l’esprit avant d’adopter une réaction spécifique. Certains aspects du moi doivent être séparés de ceux qui sont installés artificiellement. Un traumatisme sexuel non guéri perturbe radicalement l’équilibre intérieur. Certaines entités attachées au champ d’énergie peuvent également avoir un impact sur les préférences sexuelles, l’esprit attaché utilisant l’hôte pour expérimenter certaines de ses préférences sexuelles. En s’abandonnant à leurs pulsions, en s’intoxiquant avec de l’alcool ou des drogues altérant l’esprit, les gens peuvent sortir de leur corps, en le laissant temporairement libre d’être utilisé. En outre, de nombreuses femmes activent les unes chez les autres des programmes de dépravation sexuelle qui ont généralement été renforcés après avoir été installés par des messages subliminaux en provenance des médias de masse. L’archétype de la reine noire qui encourage la compétition est également très répandu chez les femmes qui pensent qu’il s’agit là d’une forme de pouvoir sur l’autre et sur la réalité. Ont-elles seulement une référence pour ce que l’on ressent réellement lorsqu’on est en position de pouvoir souverain? Certaines programmations sont conçues pour affecter la façon dont la sexualité est vécue, en plantant une graine qui encouragera à essayer différents types d’expériences, bien que ce désir d’exploration ne soit pas vraiment lié à l’esprit souverain mais soit plutôt le produit d’opérations de contrôle mental.
La création de lignes temporelles artificielles
Ce à quoi nous choisissons de participer a des conséquences. Il existe de nombreuses complications liées à la participation à un rituel occulte. Ces expériences laissent une empreinte sur la conscience qui nécessite d’être reconnue, nettoyée et effacée. Des graines sont déposées dans l’esprit et font dérailler le chercheur sur le chemin. Au sein de cette scène, les relations amicales et romantiques tendent à être orchestrées et à se jouer sous le signe du contrôle mental. Les gens sont utilisés à travers leurs schémas inconscients et non résolus pour se surveiller les uns les autres, pour se contrôler mutuellement, pour garder tout le monde en ligne. Le but est de garder les gens occupés le plus longtemps possible, de récolter leur temps, leur énergie et leur attention et de les éloigner de leur propre pouvoir d’autonomie et de cocréation. Cela les rend également plus vulnérables aux énergies prédatrices et les éloigne d’un activisme significatif, qui ne se produit que de l’intérieur, porteur d’un véritable changement. À quoi pourrait-on consacrer ce temps si l’on ne courait pas après ces parties manquantes de nous-mêmes ?
De nombreux espaces qui se présentent comme des cercles de guérison impliquent également des pièges de consentement et des contrats cachés à signer, la création de lignes de temps artificielles et la mise en scène de fausses synchronicités. En effet, toutes les synchronicités ne sont pas bienveillantes – le « diable » peut aussi mettre les choses dans un certain ordre pour tromper l’esprit et faire croire que quelque chose est aligné avec l’ordre divin. Après avoir participé à des rituels occultes, il faut parfois des années pour démanteler ce qui s’est joué dans les détails de couches et couches superposées. Mais ce qui est utilisé, ce sont nos faiblesses et nos angles morts. Bien que ce soit un environnement dans lequel apprendre relève de l’épuisement, ce genre d’expérience vient avec son lot d’enseignements. Pour celui qui est prêt à faire le travail intérieur, elles peuvent être utilisées pour découvrir des claires perceptions, y compris la télépathie, la réception d’informations par des moyens extra-sensoriels et l’entraînement à la lecture des signatures énergétiques tout en s’équipant des armes nécessaires pour apprendre à rejeter les messages subliminaux de nos consciences. Ces expériences agissent également comme un révélateur de schémas inconscients et une fois passés par elles, nous n’en finissons que plus forts car plus instruits sur les lois de l’occulte. Elles peuvent également aider à percevoir les signatures occultes et de la magie noire et révéler au grand jour sur quoi reposent de nombreuses relations interpersonnelles. Mais on peut aussi et surtout choisir d’évoluer dans des espaces sûrs et calmes, loin de la folie et de la pression des espaces collectifs.
Burning Man : une contre-culture artificielle
Lié au paganisme, Burning Man est une nouvelle version de la contre-culture. Les principaux personnages célèbres de la contre-culture étaient tous liés à des agences secrètes et manipulés pour porter à bien certains agendas. Il ne s’agit pas de personnes prises au hasard ; il existe un lien avec les sociétés secrètes, les familles de banquiers d’élite et l’armée. Il s’agit des mêmes factions qui ont donné gratuitement du LSD dans les rues dans les années 1960 et qui ont conçu socialement la contre-culture hippie. Ce concept-ci a été conçu et pensé pour un public cible sélectionné, particulièrement certaines couches de la population. A cela s’ajoute la technologie, des drogues plus puissantes, de nouveaux gadgets et un nouveau look, mais en fin de compte, c’est toujours la même chose qui est rejouée sous un nouveau déguisement. Le look distinct du burner a été conçu et pensé pour nous. La signature énergétique est un peu similaire à ce qui se passe à Hollywood, sauf qu’elle est conçue pour mélanger certaines classes supérieures de la population avec les élites. En effet, le Burning Man est une scène très privilégiée et opulente pour les individus jeunes, blancs et riches. C’est un événement principalement destiné aux riches caucasiens (gagnant plus de 50 000 dollars par an pour 50% des participants, plus de 100 000 par an pour 20% des participants). Burning Man a largement dépassé ce qu’ils voulaient faire avec l’Acid Test et est un point culminant de tout ce qu’ils ont essayé de mettre en place. Chaque culte est centré sur des principes et le Burning Man n’est pas différent. Les principes apparemment bien intentionnés sont un miroir de fumée pour une culture égocentrique où la morale se dissout de plus en plus. Ce qui est dit peut sembler bon, mais qui le dit ? Bon nombre des fondateurs ont une formation en renseignement militaire et des liens obscurs avec les réseaux secrets. Les tests de MK Ultra n’ont pas été arrêtés lorsque les documents ont été rendus publics ; les responsables ont dû faire officiellement comme si les projets étaient terminés. Au lieu de cela, ils sont passés aux projets suivants pour injecter la conscience humaine plus loin dans l’inversion.
Burning Man et le satanisme
À San Francisco, Burning Man a été lancé la même année qu’Internet, pas si loin d’un terrain militaire ou de l’Église de Satan, un ordre occulte influent fondé en 1966 par Anton Lavey ayant adopté le sigle de Baphomet représentant la chèvre de Mendes. Disney est une autre source majeure de propagande néfaste dédiée à l’occultisme qui a élu domicile dans les environs. Les cultes sataniques utilisent la loi du renversement et de l’inversion et exigent souvent des sacrifices de sang pour perpétuer les forces anti-vie. Plus tard, le Burning Man a été déplacé dans le désert, un espace étrange situé au milieu de nulle part. Le point culminant est la combustion de l’homme, qui peut être lu comme une moquerie de l’éthique humaine et la célébration de la distorsion. En 2017, ce moment du festival a donné lieu à un sacrifice humain (avec un homme se jetant dans le feu lors de l’édition » Radical Rituals « ) tandis que d’autres morts étranges ont eu lieu sur le site, notamment des décapitations. Black Rock City est en forme de pentagramme ; on y retrouve beaucoup de symbolisme issu de la Kabbale. Ce n’est pas un hasard si Susan Sarandon a apporté les cendres de Timothy Leary, un personnage très impliqué dans les expériences de contrôle mental, un défenseur du LSD à usage thérapeutique (une couverture pour la recherche sur le contrôle mental vraisemblablement) et un défenseur des concepts transhumanistes tels que l’augmentation de l’intelligence de manière artificielle. La signature énergétique d’Aleister Crowley, un agent des services secrets britanniques ayant de fortes sympathies pour le mouvement nazi en plus d’être un occultiste bien connu, et son héritage sont également inscrits partout dans le culte du Burning Man. L’art qu’on y retrouve est imprégné de symbolisme maçonnique qui fait également référence au contrôle mental (pyramides, papillons monarques sur les billets, le signe de l’oeil unique). Des initiés militaires sont impliqués, de même que des personnes qui défendent des programmes d’intelligence artificielle, et il est très probable qu’ils testent des prototypes lors de cet événement. Il sera presque impossible de naviguer dans un cadre satanique avec un flux divin organique : interruptions, interférences, embuscades, traque et poursuite se produiront. Cela crée beaucoup de ramifications dans la vie de quelqu’un, bien que la plupart des gens ne soient pas capables de faire le lien entre leur présence sur les lieux du festival et ce qui se joue ensuite dans leurs vies personnelles.
Opérations de contrôle mental à Burning Man
C’est une terre où l’on peut récolter de l’énergie et mener des opérations de manipulation mentale, et le terrain idéal pour en observer l’efficacité. Les personnes ayant déjà été exposées au contrôle mental peuvent être fortement influencées sur les lieux. Liée aux royaumes du bas astral, la scène Burning Man alimente énergétiquement les agendas sombres et fournit une énergie massive tout au long de l’année grâce aux extensions mondiales et aux réseaux régionaux établis. Les égrégores cherchent constamment à recruter de nouvelles ressources. La scène est devenue un rituel permanent et un égrégore puissant marqué par l’exhibitionnisme culturel, le culte de la personnalité et la beauté plastique. Le besoin de réalisation de soi devient tordu et se transforme en un moyen de satisfaire des désirs immédiats et des besoins programmés. Ce qui se passe dans ces espaces, c’est que les gens concluent des pactes et des accords sans en avoir conscience. La plupart des personnes qui participent à Burning Man n’ont aucune idée de ce à quoi elles participent. De plus, la scène cible les enfants le plus tôt possible afin d’avoir plus de contrôle sur leur ligne de temps individuelle.
Il s’agit plus de vénérer le versant personnalité que de retrouver l’essence de l’esprit humain, il s’agit plus de faire semblant que de dire la vérité. Les gens croient qu’il s’agit là de la liberté alors qu’ils empiètent constamment sur le libre arbitre des autres. Il est utopique et naïf de croire que Burning man est un lieu qui transforme vers un mieux. C’est la promesse des festivals transformationnels : la magie se produira d’elle-même grâce aux personnes qui y assisteront et qui seront dans le flux. Néanmoins, un véritable travail intérieur est nécessaire pour faire de la société un endroit meilleur et plus juste. Des programmes anti-humains sont véhiculés par cette scène, conduisant à davantage d’artificialité, de division de l’esprit, de débauche, d’hédonisme, de désensibilisation, de confusion, d’indulgence, de motifs égoïstes. Ces derniers sont déguisés sous le couvert de l’intérêt pour l’autre. L’environnement reste violent (y compris avec la présence du thunderdome, une version néo-punk de Fight Club avec une signature de type Mad-Max). Il s’agit tout bonnement d’un mouvement sectaire de contrôle mental, qui promeut l’usage de drogues gratuites pour tous et qui vise à séparer davantage les cellules familiales, à créer des divisions sociales et à déconnecter encore plus les gens de leur vie normale en promettant une vision faussement utopique d’une transformation de la société : elle n’est pas ce qu’elle prétend être et sa fréquence ne ment pas.
Les organisateurs insistent sur le caractère secret du rituel tout en exigeant et en recueillant la participation active de tous les participants. Plus personne n’est laissé au statut de spectateur. Cela semble être un niveau supérieur aux divertissements normaux. La division en sous personnalités est encouragée par l’adoption d’un » nom de playa « , une fausse personnalité, un avatar et une couverture qui est libre d’expérimenter ce qu’elle veut. Ce fractionnement est encouragé par le fait de se trouver dans un endroit éloigné et difficile d’accès. Que se passe-t-il vraiment derrière le voile pendant les ateliers de masturbation collective et les orgies ? Pour qui l’énergie est-elle récoltée ? Les humains ne sont pas capables de canaliser consciemment leur énergie, et ils ne font que produire plus de loosh, le loosh sexuel étant particulièrement savoureux comme récolte.
La philanthropie et l’art comme couverture pour des comportements complaisants
Néanmoins, les accompagnateurs ne sont pas les badass révolutionnaires spirituels qu’ils croient être. Malgré ce que les gens peuvent prétendre, ce n’est pas un terrain de jeu agréable. Beaucoup ne sont pas capables de faire la distinction entre ce qui est moralement et éthiquement acceptable et ce qui constitue une violation du libre arbitre d’autrui. On dit qu’il s’agit d’art, d’amour et de paix : les gens sont endoctrinés pour passer une année entière à investir leur temps, leur énergie, leur attention dans la construction d’œuvres d' »art ». N’oublions pas que les Rockfeller ont également distribué de l’argent à des musées soutenant l' »art », en utilisant la philanthropie et la charité comme couverture, et que certains clubs cannibales prétendent célébrer l' »art » comme une expression naturelle. Beaucoup de choses sont acceptées sous le couvert de l’art. Il est vraiment triste de constater combien d’énergie est investie dans la construction d’œuvres d’art qui seront ensuite brûlées, combien d’efforts sont nécessaires pour les amener dans un lieu désert. Si seulement cette énergie pouvait être dépensée pour se concentrer sur un impact réel et un changement réel (uniquement de l’intérieur vers l’extérieur), et non pour alimenter l’inversion, ne pas nourrir la bête et la machine qui nous asservit. Les programmes anti-humains deviennent de plus en plus courants ; les moqueries sont de plus en plus agressives. Il existe un réel besoin de s’entraîner et de devenir capable de lire les signatures énergétiques et de reconnaître instantanément ce qui est en jeu.
Burning Man est un outil de sorcellerie puissant, il appellera de nombreuses bonnes âmes. L’important est qu’il ne soit qu’une phase à partir de laquelle on peut extraire et reconnaître les ramifications qui ont eu lieu. Et déprogrammer. Le véritable avant-gardisme est ailleurs. En dépit de son apparence, la scène Burning concerne un nouveau type de conformité et la formation d’une nouvelle façon de penser qui a été créée de toute pièce pour nous et non par nous. Et il va sans dire que si Burning Man est exposé et révélé pour ce qu’il est, cela signifie qu’ils sont déjà en train de travailler sur les prochaines choses d’asservissement.
Le mot de la fin
Un changement de stratégie est peut-être d’actualité, comme ce fut le cas pour moi. J’ai décidé d’arrêter de courir après un idéal et de percer l’illusion de la tentation injectée dans mes pensées et murmurée à travers mes idéaux blessés. Lorsque nous assistons à des festivals, nous donnons généralement notre consentement et cette énergie créative est utilisée comme source d’énergie, tout comme cela se passe dans un stade de sport ou dans la plupart des salles de concert derrière le voile. Cela nous demande beaucoup d’énergie pour préparer, assister et se remettre de ces événements. Il faut encore plus d’énergie pour démêler les pièges de consentement qui ont été signés. Il semble important de se réapproprier la valeur du temps, de l’énergie et de l’attention et la manière dont ils sont alloués.
Lorsque nous nous rendons à un festival, nous plongeons dans une énergie collective qui a été créée pour nous. Pour les personnes qui apprennent la maîtrise des émotions, il est plus facile de commencer par un événement à petite échelle et de créer organiquement à partir de leurs propres réseaux. Habituellement, les événements collectifs n’ont aucune conscience des forces hyperdimensionnelles et du contrôle mental. Cela ne fonctionnera jamais sans cette connaissance. Il est important de retirer son consentement à tout ce qui maintient actives les divisions et les sous personnalités et qui tente de forcer la conscience humaine dans une direction spécifique par des moyens artificiels. Il est important de rejeter l’identité de groupe imposée et les lignes temporelles créées artificiellement. Ce qui est populaire et à la mode est souvent une indication de la naïveté et du manque de discernement des citoyens, et de la facilité avec laquelle ils se laissent guider par des schémas inconscients. Les festivals encouragent effectivement la fragmentation mentale et profitent d’une jeunesse influençable, favorisant l’endoctrinement. Il ne s’agit certainement pas d’un véritable renforcement de l’autonomie. La véritable responsabilisation élève à la fois l’individu et le collectif. Qu’on se le dise.
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