Ces dernières années et décennies, le yoga s’est de plus en plus popularisé. S’il est sûr que le yoga nous aide grandement à réhabiter notre corps et à réveiller certains tissus atrophiés, il est également certain que de nombreux centres de yoga, leurs fondateurs ainsi que de nombreux professeurs sont sous certaines couches de contrôle mental. Les pratiques de yoga nous invitent à repousser les limites de notre corps, l’apathie, l’immobilité et l’inaction. Elles permettent de retrouver liberté et amplitude en alliant défi physique et mental.
Contrôle mental en salle de yoga
Durant presque 2 années, je me rendais à la Yoga Room à Bruxelles. Je n’appréciais guère celle de Defacq (ni l’ambiance, ni la gestion agressive de l’accueil) et me rendais généralement à celle de Fort Jaco. Il m’était insupportable de suivre certains cours de la yoga room et il m’arriva même de sortir avant la fin. Après de nombreux essais et erreurs à Fort Jaco, j’avais identifié quelques classes auxquelles assister. Certains professeurs bien qu’étant très bons en technique et pouvant pousser leurs élèves très loin, sont utilisés pour garder sous contrôle certains individus. Ce fut mon cas avec un professeur nommé Adam Weirick qui était australien (l’intensité du contrôle mental et l’agressivité ont une autre signature en Australie) et avait déménagé d’Hong Kong pour s’installer à Bruxelles. Il présentait de forts traits narcissiques. Très vite je le bloquai de mes médias sociaux. J’entretenais encore des doutes quant à la nature de ce qu’il se jouait jusqu’au jour où il plaça son doigt dans mon diaphragme dans le dos, un endroit où je ressentais très souvent que l’énergie était extraite de moi.
Il est certain que quand on essaya de m’imposer le port du masque de la porte d’entrée jusqu’au vestiaire, je signifiai ma résiliation d’abonnement. J’avais déjà pris la décision de ne pas renouveler mon inscription quelques semaines auparavant car les énergies étaient trop agressives et le personnel sous contrôle mental, ce qui causait des frictions et attaques courantes. L’une des employées avait comme photo de profil le symbole maçonnique de l’oeil caché, c’était inconscient et la conscience a été imprimée à des niveaux subliminaux. Je sentais que mon système nerveux était en peine et ne prenait certainement pas le chemin de la régénération malgré les bénéfices éprouvés par la pratique physique.
De nombreux employés de ce genre de centres ne sont pas conscients de ce qu’ils servent réellement. Chaque enseignant est un cas unique, certains plus conscients que d’autres, certains plus du côté obscur que d’autres, certains coincés dans l’ingénierie en jeu. Les classes sont utilisées pour manipuler d’autres cibles comme moi, occupant la manière dont je passe mon temps pour que je ne me connecte pas à quelque chose de réel, chaque visite au centre veillant à placer certaines énergies dans mon champ. De la récolte d’énergie prend place lors de chaque cours, certains cours plus que d’autres selon le professeur; il m’est arrivé de quitter certains cours avant la fin. Je me suis toujours sentie épuisée après les cours et un syndrome de stress post-traumatique se déclenchait facilement après les cours lorsque je prenais le chemin du retour. Il y a eu différentes attaques de la part de membres du personnel, mais une fois de plus, certains membres du personnel étaient moins incisifs que d’autres, même s’ils étaient contrôlés mentalement. Il y avait une ligne que certains ne franchiraient pas et une ligne que d’autres franchissaient facilement. J’ai l’impression qu’il y avait beaucoup de fréquences d’intelligence artificielle téléguidées. J’ai eu l’impression qu’il y avait des manipulateurs cachés qui se manifestaient à travers les dimensions.
Révélations du printemps 2021
Au cours du printemps 2021, j’ai fait face à des révélations qui s’avéraient nécessaires. Cela n’a cessé de se dénouer pendant des jours, durant lesquels je voyais des choses que j’avais jusque là excusées, reliant les points les uns avec les autres. J’avais excusé des comportements extrêmement narcissiques de certains enseignants. « Ils ne se rendent pas compte de ce qu’ils font » pensais-je. Pour l’une de ces enseignantes, lors de la première entrevue, mon corps avait reculé vers l’arrière. Ensuite, j’avais rationalisé mes pensées en élaborant des excuses et en essayant de voir ses bons côtés. Sa signature me rappelait celle d’une autre femme sous contrôle mental qui, par ses choix, avait facilité des situations abusives dans ma vie. Pour un autre enseignant, j’avais eu des tremblements (le corps ne ment pas). J’avais été naïve de croire à la façon dont certains enseignants se présentaient avec une fausse signature énergétique d’empathie. J’avais toujours l’impression que quelque chose n’allait pas et je repartais toujours plus faible que je n’étais arrivée, je me mettais parfois à trembler en démarrant ma voiture. Je pensais que mon système nerveux était simplement affaibli et n’accordait pas assez de crédit à ces signaux d’alarme qui attiraient mon attention. Je me souviens que j’avais vu le symbole d’un œil sur le compte d’une des femmes travaillant à la réception. Ce n’est que plus tard que j’ai réalisé à quel point elle avait été abusive à mon égard car sur le moment je l’avais excusée. Sa signature n’était pas agressive, ce qui s’est passé était de l’ordre du subtil. Il y avait aussi des photos avec des miroirs (indiquant la fragmentation, imagerie typique de contrôle mental) sur son compte Facebook. Je suis retournée sur le compte Instagram de l’un des professeurs et j’ai trouvé un crâne maçonnique qui s’y cachait et un signe de la main maçonnique transposé à la caméra (quelque chose sur lequel j’irai en profondeur dans le cours sur la reconnaissance des signatures fréquentielles). Je suis allée sur la page Facebook du Yoga Room et j’ai découvert que le centre de yoga faisait désormais la promotion de la vaccination, se rendant ainsi un » centre de vaccination temporaire « . Je n’arrivais pas à croire que je m’étais compromise là pour pouvoir suivre des cours de yoga et la quantité de complications que cela a apporté dans ma vie. À peu près au même moment, une personne que j’avais interviewée au sujet du yoga Lujong a commencé à aimer mes posts et j’ai ressenti un malaise. Je me suis souvenue que sa femme collaborait également avec la Yoga Room, donnant des « séances de guérison par le son » (que se passait-il dans la salle?). Elle faisait pression sur moi pour que je vienne assister à l’un de ses cours, ce que je n’ai jamais fait. J’ai dû résister à ma tendance à vouloir répondre aux besoins des autres et à la pression psychique qu’elle exerçait sur moi. Son mari avait un visage bizarre avec des traits extraterrestres et j’ai fait le rapprochement pour mieux comprendre ce qui s’était joué.
Quel instructeur de yoga choisir?
Il va sans dire que pour toute pratique, il est important de trouver une guidance claire, énergétiquement clean et pleine d’expérience car beaucoup de transferts d’énergie s’opèrent, surtout dans une salle de yoga où l’on évolue le corps très ouvert à toute influence venant de l’extérieur, dans des postures d’ouverture du coeur notamment. Il m’est arrivé de ressortir attristée ou portant une partie de la charge émotionnelle des professeurs, ayant moins d’énergie à l’arrivée qu’au départ.
Il m’arriva de remarquer des programmes de performance ou de haine de soi et de transmission de souffrance au sein de la salle de pratique. Trouver une bonne guidance en yoga, c’est tout un art. Certains professeurs laissent une certaine latitude de par leur manière d’enseigner. La signature avec laquelle le passeur de ce savoir ancien, de cette technologie, enseigne est cruciale. Il m’est arrivé d’avoir une réponse de tremblements face à l’enseignement de certains professeurs lors du premier ou deuxième cours (réponse primale à laquelle donner de l’importance): cela me renseignait sur un profil prédateur et vecteur d’une énergie hostile, surtout lorsqu’il y a correction physique et ajustement durant le cours. J’ai cessé de me rendre à ces cours même si la technique était bonne. Plus tard, j’ai réalisé que c’était tout le centre de yoga qui était infesté d’énergies hostiles.
Dans une même pièce, tant d’objectifs différents se retrouvent présents. Idéalement, le professeur est quelqu’un qui s’interroge sur comment il peut se faire le vecteur, le catalyseur de toutes ces aspirations. Chacun est là pour une raison, chacun a fait l’effort de se présenter au cours. Un instructeur digne de ce nom ne se dressera jamais en travers d’un chemin individuel et encouragera à cette reconnexion avec le savoir sacré qui dort à l’intérieur du corps. Lorsqu’un enseignant tient cet espace avec maturité, les étudiants sont capables de plonger beaucoup plus profondément dans leurs propres processus. Les maîtres encouragent à se demander « est-ce que cela me convient aujourd’hui? Quel est mon ressenti en ce moment même? ». Le yoga peut être un très bon outil pour intégrer les aspects dissociés de notre vie psychique, psychologique et émotionnelle. Le meilleur instructeur, c’est nous-mêmes. J’ai essayé de suivre le yoga en ligne mais le yoga est programmé et il faut voir si un cours coûte plus qu’il ne rapporte. Pendant un temps, après une pratique en ligne avec une personne très programmée (divinité hindoue, uniquement l’aspect 3D), je me suis entraînée à la maison 5 à 10 minutes par ci par là. En 2021, j’ai demandé à deux de mes amies, des « vraies » si elles accepteraient de tenir des cours 2 fois par mois.
Quelques mots sur les différents types de yoga que j’ai pratiqués
Ces dernières années, plusieurs scandales ont révélé la présence de prédateurs désaxé, y compris dans les salles de yoga. Le yoga avec lequel j’ai commencé était le Bikram, qui fut créé par l’indien Bikram Choudhury. Il émigra aux États-Unis où il construisit un empire autour de la création de son propre enchaînement de 26 postures à partir du Hatha Yoga. En quelques années, sa personnalité égotique, autour de laquelle vinrent se greffer des profils en recherche de perfection dans cet étrange micro-univers d’Hollywood, lui permit de bâtir une grande fortune. Aujourd’hui, de nombreuses plaintes ont fait apparaître au grand jour une personnalité autoritaire, tyrannique et instable (mégalomanie, racisme, homophobie, sexisme et abus sexuels). Il est intéressant de se faire témoin de ce qui peut se passer avec tout gourou désaxé. Récemment, ce fut le tour de la réelle personnalité de Yogi Bhajan, à l’origine du kundalini, d’être révélée au grand jour. Malgré tout, bien entendu, ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain car les imposteurs construisent leurs empires sur des concepts qui ont du vrai.
J’ai beaucoup aimé l’environnement chaud des salles de bikram ou de hot et la répétition de l’enchaînement des postures. La guidance se faisait uniquement par la voix. La chaleur me permettait une concentration plus intense. Je commençai cette pratique alors que j’entamai une détoxification cellulaire ; je reconstruisais petit à petit une hydratation qui vient de l’intérieur du corps et des cellules. Les fruits frais, l’eau de coco ou les fruits entiers apportent au corps cette eau structurée dont il a besoin. La respiration est l’un des points essentiels. Étonnamment, il est parfois plus facile de la placer au sein de cet environnement exigeant qu’ailleurs. La saveur particulière, en fin de séance, du savasana final, posture allongée sur le dos, est particulièrement appréciée, après le déploiement d’un effort considérable. Le yoga en salle chauffée est une invitation à entraîner son esprit à se vider de pensées: dès que l’on perd le fil du présent, l’équilibre et l’axe se perdent. Dans le cas du Bikram, la répétition des mêmes postures à chaque cours est un test: comment rester présent à chaque mouvement une fois l’effet nouveauté passé? On ne cesse de découvrir de nouvelles subtilités à mesure que l’on peut aller plus loin dans les postures. Cela reste une pratique intense demandant un certain dépassement de soi. Cependant, le fait est que, sur un muscle échauffé, le muscle est facilement ramolli grâce à l’élasticité incrémentée par l’environnement artificiel ; le muscle a tendance à reprendre sa longueur initiale une fois refroidi.
Forrest, Lujong, Yin et Kundalini Yoga
L’avantage d’un centre de yoga est que l’on peut y tester différents types de yoga car chaque branche a sa propre signature. Là est aussi le piège pour les esprits curieux. Alterner différentes formes de yoga permet de travailler sur différents plans, comme quelques exercices de Forrest Yoga avec la modification de certaines poses et la création de nouvelles pour alléger certains maux physiques. Certains exercices se concentrent sur les abdominaux d’une manière innovante et se concentrent sur les tensions présentes dans la nuque. Beaucoup de poses laissent la place à la relaxation du cou. Cependant la fréquence transmise par la créatrice de cette méthode, une fois encore, appelle le discernement.
Le Lujong Yoga (« lu » se rapportant au corps et « jong » à la transformation) est une forme de yoga tibétain comportant 17 vigoureux mouvements faisant bénéficier corps et esprit de nombreux bénéfices. Cette pratique ancienne, développée dans les hauteurs himalayennes par les moines tibétains, soutient la vitalité physique tout en veillant à l’équilibre de l’esprit. Ces moines s’inspirèrent de l’observation du comportement des animaux et de la nature en vue de soutenir les processus de guérison et de cultiver l’attention mentale. Le Lujong est un enseignement qui encourage à voir, entendre, ressentir en faisant preuve d’ouverture intérieure. L’esquisse des mouvements de base de Lujong commence par de lents mouvements de va-et-vient répétés avec nos bras dessinant l’horizon, le petit doigt et l’index levés et les autres doigts couverts par le pouce, en accélérant jusqu’à remuer toutes les parts de notre corps, pour ensuite ralentir à nouveau jusqu’à l’arrêt. L’alternance de mouvements effectués tantôt dans une extrême lenteur, tantôt dans une agitation vive crée deux effets complémentaires: une pleine conscience du mouvement et une perte de focalisation mentale. Une fois de plus, même si cette pratique a ses avantages, elle suscite également de nombreux doutes quant à la signature énergétique qui y sous-tend.
S’il m’a souvent été facile de trouver l’enthousiasme pour des classes plus yang, il m’a été plus difficile de m’adonner à des pratiques de type kundalini ou yin. De nombreuses classes, particulièrement pour le kundalini, s’avèrent être un outil de récolte d’énergie endocrinienne. Le yoga est très souvent utilisé pour récolter l’énergie vitale des participants. Le yoga pratiqué seul chez soi, de soi à soi, dans nos propres énergies reste la solution la plus sûre pour protéger et contenir nos énergies de vie et pouvoir les consacrer à ce qui nous tient à coeur.
