Aria Persei

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L’alimentation et la nutrition comme l’une des parties les plus importantes de nos vies et la cause première de la dégénérescence humaine

La nutrition est fondamentale pour la vie humaine, elle est directement liée à sa force vitale, à sa longévité et au temps et à l’espace que nous avons dans notre vie pour créer. Lorsque l’on va vers une moindre densité dans les aliments que l’on consomme, l’impression du temps linéaire se modifie et les jours semblent plus longs. L’industrie alimentaire ne sert pas les intérêts de l’humanité. Beaucoup consacrent leur vie à produire et à vendre des aliments qui sont préjudiciables à la santé humaine. Changer notre alimentation est une nécessité fondamentale. Nous sommes des créatures d’habitudes : les nouvelles habitudes se forment facilement avec la répétition et la cohérence. Cela s’accompagne d’un besoin de déprogrammation des idées préconçues avec lesquelles nous avons été endoctrinés. Tout répond à des données magnétiques dans notre réalité ; nous sommes des êtres électriques. Quels courants donc parcourent nos corps ?

La maladie est un état qui découle de l’état toxique nommé acidose, qui n’est pas naturel à la vie. Les gens ont été programmés pour accepter que tomber malade et se sentir mal est normal. Et pourtant, c’est bien loin de notre état originel humain. Des déséquilibres tels qu’avec le virus Epstein barr sont en général des sous-produits de la stagnation lymphatique et de l’acidité généralisée du corps. On le trouve là où il y a des faiblesses et des états inflammatoires. La cause en est l’acidité du corps et la méthode de guérison doit se concentrer sur les reins et le système endocrinien. Nous avons perdu la capacité de penser et de réfléchir au fait que, si nos assiettes sont collantes et difficiles à nettoyer, on peut observer la même chose à l’intérieur de notre tube digestif. Le système est construit de manière à masquer les symptômes tout en laissant la cause inchangée. Le corps n’est pas fait pour des aliments qu’il ne peut reconnaître mais il fera de son mieux pour faire ce qu’il peut avec ce qui a été ingéré : sucres complexes (amidons), glucides complexes, aliments transformés, toxines, sucres raffinés et transformés comme le sirop de maïs. Le corps fait de son mieux pour traiter toutes ces substances externes ingérées. Cela inclut les suppléments et les produits chimiques isolés qui peuvent contribuer à faire une déperdition en termes de minéraux. Les composés isolés ont tendance à perturber l’équilibre naturel du corps humain et à perturber la chimie organique. Les schémas de pensée selon lesquels nous devons ajouter des choses pour guérir sont parfois à mettre de côté. Il s’agit d’un état basé sur la peur et les décisions prises à partir d’un tel endroit ne nous servent jamais.

Le régime frugivore sans mucus n’est pas une question de croyances mais vient d’observations faites quant à la façon dont les humains sont conçus pour manger, digérer et éliminer. Nous sommes faits pour les sucres simples et les acides aminés et non pour les sucres complexes, graisses et protéines. Une simplicité de digestion et d’absorption est nécessaire. Le corps a tendance à se nettoyer si nous ne l’interrompons pas en consommant des aliments qui créent une obstruction. La véritable guérison se produit lorsque le corps a l’espace d’effectuer son travail de nettoyage. Les sucres simples que l’on trouve dans les fruits frais, crus et mûrs, les baies, les melons, les légumes verts et les légumes sont ce dont le corps a besoin pour assurer son bon fonctionnement. Les fruits ne créent pas de déséquilibre, ils ne font que révéler ce qui est déjà là. Nous sous-estimons généralement le temps que prendra la désintoxication car nous sous-estimons généralement l’envergure des dégâts. Des signes encourageants sont observables tout de suite mais il y a souvent eu beaucoup de dommages causés au cours des dernières décennies notamment via la consommation d’aliments inappropriés. Il faut avoir le courage et la ténacité nécessaires pour entreprendre ce voyage et maintenir le cap durant sa durée, qui viendra également avec de nombreux enseignements apportés.

Les fruits mûrs

Les fruits portent l’intelligence des principes organiques. Ils sont riches en antioxydants et astringents : ils aident le système lymphatique à se déplacer bien mieux que les légumes. Une réponse lymphatique peut être observée lorsque des fruits sont consommés. Le fructose ne nécessite pas d’insuline ni d’enzymes digestives importantes ; il n’est pas décomposé en glucose et n’a pas besoin de conversion. Il est absorbé directement dans le sang, prêt à être utilisé.

Les bananes mûrissent de manière nutritive une fois qu’elles ont été cueillies. Des taches brunes indiquent cet état de maturité. Une banane jaune n’est pas mûre et contient de l’amidon, ce qui signifie une longue chaîne complexe de sucres. Un amidon a besoin d’insuline pour pénétrer dans une cellule, ce qui n’est pas le cas d’un sucre simple. Les fruits non mûrs sont durs, insipides et acides, tandis que les fruits mûrs sont sucrés et débordants de saveur. Les ananas ont tendance à fermenter sur le comptoir, ils deviennent mous et cependant n’atteignent jamais un état de maturité.

L’eau qui est contenue dans les fruits frais est une eau vivante et structurée. C’est le type d’eau qui se trouve à l’intérieur des cellules du corps et le seul type d’eau que le corps humain peut utiliser. Consommer l’eau des fruits et légumes frais est de loin supérieur à l’eau potable de nos robinets. Pendant les vols, on peut se déshydrater fortement car on perd de notre précieuse hydratation à chaque heure de vol. C’est l’une des raisons pour lesquelles les longs vols sont si éprouvants pour le corps et qu’il est plus difficile de récupérer après un vol long qu’après un vol de deux heures.

La fonction du mucus

Le pain, les pommes de terre, les pâtes et les farines sont des glucides complexes : de longues chaînes de carbone qui laissent derrière elles des restes résiduels parce que le corps est incapable de métaboliser ces structures correctement. Les amidons sont acides et inflammatoires. Les acides sont du côté corrosif de la chimie ; ils créent une inflammation et déshydratent l’organisme. Le fait que nous puissions nous nourrir de certains types d’aliments ne les rend pas sains pour nous. Le mucus, qui est une substance alcaline produite par nos muqueuses pour se défendre des acides, n’est pas un problème tant que notre corps n’en est pas chroniquement submergé. C’est une réponse du système immunitaire, un agent protecteur créé par l’organisme pour neutraliser et piéger ce qui est étranger ou ce qui pourrait endommager le corps. Plus le mucus reste longtemps dans l’organisme, plus il se dégrade. Il commence par être clair, puis devient blanc, jaune, vert, brun et ensuite noir. Lorsque les pommes de terre, les céréales, le riz ou la viande sont bouillis assez longtemps, on obtient une bouilli gélatineuse qui ressemble à du mucus. Cette substance gluante devient vite aigre, fermente et forme un lit pour les parasites. Nous pouvons imaginer ce que l’accumulation de ces couches successives fait au cours d’une vie et comment toutes nos fonctions corporelles en sont affectées.

Le passage à un régime alimentaire plus naturel prend du temps, tout dépend d’où on commence. Les aliments à faible teneur en mucus (dits de transition) sont une catégorie dans laquelle on peut encore se permettre de choisir entre les légumes riches en amidon, certaines céréales (comme le quinoa) et les haricots. La catégorie des aliments sans mucus comprend les légumes sans amidon, tous les fruits, certaines feuilles vertes tendres, les graines germées, les algues et les légumes-fruits tels que poivrons, tomates et courgettes. Il s’agit principalement d’un système d’alimentation qui évite les graisses (la graisse obstrue le système lymphatique et est un suppresseur) et qui limite également beaucoup la quantité de protéines consommées. Cela ne signifie pas que l’organisme n’est pas capable de produire ses propres protéines grâce aux acides aminés qu’il reçoit d’une alimentation naturelle à base de fruits et légumes. Lentement, pas à pas, on peut se déconditionner de l’achat de sauces commerciales achetées dans les magasins (qui contiennent généralement des huiles bon marché) et commencer à créer ses propres préparations maison. Lorsqu’on se sent prêt à relever un nouveau défi, on peut opter pour un court jeûne de trois jours, voire une semaine ou deux. On peut aussi opter pour un jeûne sec intermittent ou un jeûne sec mensuel de 24 à 36 heures. Au cours des premières années de désintoxication, certains symptômes désagréables peuvent apparaître de manière chronique (maux de tête, éruptions cutanées pouvant durer des semaines). En cas de maux de tête, certaines solutions sont conseillées (boire du bicarbonate de soude) mais n’envisagent pas de dommages à long terme pour les reins et d’autres organes. Quelque chose de très alcalinisant comme un mélange de feuilles de pissenlit, de concombre et de céleri aidera à apaiser la douleur due à l’acidité ou travailler avec de l’écorce de saule comme aspirine naturelle.

L’acidose et le système lymphatique

La plupart de nos problèmes sont d’ordre lymphatique. Notre système lymphatique est trois fois plus grand que le sang. Lorsque nous nettoyons un organe, nous nettoyons en fait principalement les tissus lymphatiques de cet organe. Le système lymphatique est un système acide qui traite l’acidité du corps. Il existe différents stades d’acidose : elle commence par l’énervation, la sensation, l’irritation, l’inflammation, l’induration (solidification des acides), l’ulcération pour finir par la dégénérescence. La cellulite est une sorte d’oedème à petite échelle, une sorte d’inflammation locale. Elle est le signe d’une obstruction lymphatique. Le système lymphatique est un système qui circule plus lentement au repos que lors d’une activité physique (respiration profonde, rebondissements, massages, étirements, vibrations, ventouses). Il ne s’écoule pas dans le système veineux (dans la circulation sanguine) comme on l’enseigne aux médecins. C’est un circuit qui descend vers les ganglions lymphatiques puis vers les reins puis sort du corps. Le corps est censé évacuer chaque jour jusqu’à 1 kilo et demi de déchets cellulaires acides. C’est le cas si les organes émonctoires fonctionnent bien car ce qui n’est pas éliminé s’accumule. Une urine claire est le signe que l’on accumule des déchets et que l’on ne les expulse pas. Ce qui ne peut pas être éliminé par les reins va essayer de sortir par un autre moyen (et on voit apparaître des problèmes de peau par exemple). Comme les fluides lymphatiques sont à base de lipides (cholestérol) (sa couleur jaune), boire de l’eau pure et ordinaire n’hydratera pas les cellules dans les interstices (dans les espaces autour des cellules).

Un mot sur le soufre

Nous avons tendance à accumuler trop de soufre dans notre corps. Il semble donc judicieux de limiter la quantité d’aliments à haute teneur en soufre (brocoli, chou frisé, haricots, chou, ail, etc.). Une forte stagnation du soufre peut provoquer des gaz ou de la fatigue en plus d’une prolifération de bactéries et compromettre le système endocrinien. Les composés du soufre s’accumulent et se collent aux parois intestinales comme une plaque mucoïde, provoquant une malabsorption. Le soufre ne se régénère pas, il n’apparaît pas comme une bonne chose de construire plus de soufre dans le corps et cela peut bien créer plus de problèmes. De plus, le soufre est un suppresseur du système lymphatique. De même, je ressens personnellement une forte aversion pour l’ingestion d’argile et d’éléments inorganiques. Certaines personnes laissent des témoignages remarquables et témoignent qu’elles se sentent beaucoup mieux. Il est très fréquent que la raison pour laquelle ils se sentent tellement mieux est que leurs symptômes ont été supprimés, mais pas encore guéris. Les causes ont été laissées de côté et ignorées.

Protéines animales

Ce que nos ancêtres mangeaient après en périodes de survie ou après avoir été endoctrinés ne devrait pas déterminer ce que nous mangeons. C’est notre biologie réelle, objective, et non subjective, qui devrait le faire. Chaque espèce possède un régime alimentaire prévu par la nature. Plus nous nous en éloignons, plus nous subirons invariablement des représailles en termes de santé. On sait que pratiquement toutes les douleurs, pathologies et destructions cellulaires sont dues à une acidité sanguine élevée qui résulte d’un apport excessif de protéines, en particulier de protéines animales acidifiantes. Avons-nous jamais pensé que l’envie pressante que nous pouvons ressentir devant un morceau de viande n’a rien à voir avec une réaction originelle naturelle mais tout à voir avec un endoctrinement du système nerveux, une sorte de réponse immitée et contrefaite ? C’est une hypothèse que j’ai de nombreuses fois considérée car je suis en contact avec de la viande tous les jours, puisque je vis avec deux chats et que je les ai fait passer à une nourriture à base de viande crue, majoritairement. La viande affecte le système nerveux et il s’agit d’une réponse très prédatorielle. Les graisses et les protéines créent des feux d’artifice dans le cerveau et peuvent conduire les individus humains à s’éloigner de leurs centres d’énergie. Il s’avère que les protéines animales sont particulièrement néfastes pour la santé de nos reins (le corps doit décomposer les protéines de la viande en acides aminés et ensuite reconstruire les protéines que le corps est alors capable d’utiliser).

Les carnivores chassent des proies vivantes et les mangent crues. La plupart des prédateurs ciblent les organes mous, laissant une grande partie des muscles aux charognards. Les humains ne mangent pas comme les carnivores. La plupart de la viande que les gens mangent est morte depuis un bon bout de temps. La viande est souvent déguisée avec de l’eau de javel et des colorants pour cacher son état de décomposition et le fait que la chair est entrée dans un processus de putréfaction. Le corps humain n’étant pas un réfrigérateur, la viande commence instantanément à pourrir dès qu’elle est ingérée. Les neurotransmetteurs présents dans la viande affaiblissent les fonctions des glandes surrénales. La viande est un stimulant qui est irritant et inflammatoire pour nos tissus. Les stimulants créent une inflammation dans l’organisme, car la plupart d’entre eux sont acides et produisent de la chaleur, déclenchant ainsi une réponse immunitaire. L’adrénaline ou l’épinéphrine contenue dans la viande lui donne un aspect énergétique, mais cette énergie apparente provient des hormones et des stéroïdes qui sont ingérés et cela affecte les glandes du corps humain qui doivent diminuer radicalement leur propre production afin de maintenir l’équilibre. Après la digestion, il reste une cendre phosphorique acide.

Les poulets biologiques ne sont pas exempts de vaccins, dont on dit qu’ils sont utilisés pour empêcher les « virus » contagieux de la volaille d’infecter les troupeaux. Certains vaccins sont administrés pendant qu’ils sont dans l’œuf, d’autres sous forme de brouillard qui est inhalé par les poussins. La viande est pleine de cellules sanguines mortes qui sont pleines de fer. Le fer est un minéral qui, lorsqu’il est consommé en abondance, devient toxique, surtout lorsqu’il provient d’une source de fer non végétale. Des analyses sanguines effectuées en 2016 et 2020 ont révélé que mon corps a fixé une carence en fer après avoir suivi un régime frugivore et arrêté le café. La toxicité du fer diminue l’absorption et l’utilisation du chrome, du zinc et du calcium, endommage le foie, le pancréas et les tissus rénaux, augmente le taux de sodium et accroît les niveaux d’azote et de phosphore, créant ainsi de l’acidose. La viande animale d’aujourd’hui est pleine d’antibiotiques, de niveaux élevés d’adrénaline, d’hormones de croissance, de pesticides, d’herbicides et d’autres produits chimiques provenant de la pollution de l’air et du sol qui s’accumulent par la suite dans le corps humain. Le degré de dégénérescence physiologique d’une personne peut être déterminé par la quantité de protéines nécessaires pour que cette personne maintienne un poids normal. Des besoins élevés en protéines indiquent que les organes, le sang et le système lymphatique sont obstrués.

L’énergie électromagnétique et les résidus laissés par les aliments

Tout être vivant et tout aliment a sa propre énergie. Cette énergie se propage sous forme d’onde et peut être mesurée sous forme d’énergie électromagnétique. Cette énergie électromagnétique a été évaluée en unités appelées angstroms. Plus la quantité d’angströms émise par un aliment est élevée, plus l’énergie de l’aliment est importante. Le corps humain émet un rayonnement mesurable à environ 6200-7000 Angstroms. Il est intéressant de noter que les patients atteints de cancer ou de maladies dégénératives graves sont à environ 4875 angströms, bien en dessous de leur état originel. Les aliments dont la longueur d’onde se situe entre 6 500 et 10 000 angströms sont considérés comme étant de la plus haute qualité (les fruits mûrs et les jus de fruits obtenus par pressage (faits frais et immédiatement consommés) se situent entre 8 000 et 10 000 ; les légumes frais crus (8 000 – 9 000) ; l’olive, les amandes douces, les graines de tournesol, la noix de coco, les arachides et les noisettes ; les poissons de mer et les crustacés crus ; le lait cru (8 500), le beurre et les œufs consommés au moment de la production). Les produits de qualité moyenne sont les légumes cuits (4000 – 6500), le lait, le beurre et les œufs frais ; le miel ; le poisson cuit. Les produits alimentaires de qualité faible sont le café, le thé, le chocolat, les fromages (1800) et le pain blanc (1500). Les matières pratiquement mortes sont la margarine, le lait pasteurisé, les conserves, les alcools, les viandes cuites, le sucre blanc raffiné et la farine blanche.

Quel genre de résidus les aliments laissent-ils après leur digestion ? Par un processus comparable à celui qui se produit dans le corps pendant la digestion et l’assimilation, on peut calculer les résidus laissés derrière eux par les aliments. L’analyse des résidus est une méthode qui permet d’estimer le type de trace qu’un aliment va produire. Cela peut différer du PH de l’aliment avant qu’il ne soit ingéré. La plupart des fruits les plus alcalins pour notre corps ont un PH acide en dehors de notre corps. Notre corps opère une conversion alchimique d’un acide en une substance alcalinisante par le biais du processus digestif. Lorsque notre corps brûle ou digère la substance, elle devient alcaline et laisse ensuite un résidu alcalin. Comme d’autres fruits, le jus de citron produit des traces alcalines une fois qu’il a été métabolisé. Les tomates sont considérées comme ne laissant qu’un minimum de résidus acides derrière elles. Personnellement, je les consomme crues car une fois cuites, les tomates deviennent plus fortement acides.

Comme l’analyse des résidus est une estimation imprécise, on mentionne également une formule différente qui classe les aliments en fonction de leur charge potentielle en acides pour les reins (PRAL). Le pH de leurs résidus est utilisé pour classer les aliments, du côté de l’acidité ou de l’alcalinité. La PRAL d’un aliment particulier est la quantité d’acides qui est supposée atteindre les reins après que le corps ait métabolisé cet aliment. Les nutriments acides tels que les protéines, le phosphore et le soufre augmentent la quantité d’acide que les reins sont en charge de filtrer. Les viandes et les céréales, qui ont tendance à contenir ces éléments, se voient donc attribuer un score PRAL positif. En revanche, les fruits et légumes sont riches en nutriments alcalins tels que le potassium, le calcium et le magnésium. Ceux-ci réduisent en fin de compte la quantité d’acides que les reins doivent filtrer. On leur attribue un score PRAL négatif. Les produits d’origine animale non chauffés sont la plupart du temps neutres. Ce n’est que par la cuisson et la digestion de notre corps qu’ils deviennent acides. En outre, il n’est pas vraiment utile de tester l’urine à l’aide de bandelettes réactives de PH : l’urine est censée éliminer les acides du corps si les reins fonctionnent bien et est censée être acide.

Le danger du café

La caféine est un alcaloïde que la plante de café utilise pour repousser et tuer les insectes ainsi que les plantes environnantes, afin que le caféier puisse atteindre plus de lumière et devenir plus grand. La caféine provoque une stimulation anormale dans les cellules vivantes qui entrent en contact avec elle. Une tasse de café empoisonne le corps pendant trois semaines consécutives, avec heureusement une incidence décroissante. Comme pour tout poison ou menace, le café déclenche une réponse de fight or flight de la part du système nerveux. Cela finit par modifier les besoins de l’organisme en graisses plutôt qu’en sucres simples, qui constituent sa principale source de combustible. En effet, lorsque le corps est menacé, il préfère la graisse comme source de carburant principale, plutôt que le sucre ou les protéines. Le café bloque également l’absorption du fer et encourage les surrénales à produire trop d’hormones (dopamine, sérotonine) à la fois.

L’empoisonnement constant de nos précieuses vies

La nourriture ne doit pas être utilisée comme une voie de contournement de notre incapacité à digérer correctement nos aliments : on voit notamment les aliments fermentés être utilisés pour aider à digérer un régime qui n’est pas destiné à la consommation humaine. Face à un ingrédient transformé, l’instinct naturel disparaît et nous ne recevons pas l’indication naturelle que nous sommes rassasiés. Le soja ou les fèves de soja sont préjudiciables à la santé humaine. J’ai souffert d’une déshydratation profonde après avoir mangé des edamames (riches en protéines) et il a fallu 72 heures à mon corps pour les chasser complètement de mon système et retrouver un niveau d’hydratation décent. Je ne pense pas qu’on me surprendra à nouveau à manger des edamames. Comme les sucres complexes sont difficiles à décomposer pour notre système digestif, la plupart du temps ils fermentent, ce qui crée une base alimentaire dont le candida raffole. Mon expérience m’a donné l’exemple parfait du temps qu’il faut pour que certains aliments passent à travers le système humain du fait de la complexité pour le corps humain de les digérer. En se déplaçant dans le gros intestin, c’est à ce moment qu’un mal de tête peut se manifester (un lavement à l’eau citronnée aidera à soulager ces symptômes, à contrer l’acidité ambiante et à réhydrater l’organisme). De plus, l’industrie pharmaceutique a tout intérêt à ce que nous prenions une multitude de pilules différentes au fur et à mesure que nous vieillissons. Le glyphosate est similaire à l’acide aminé le plus simple de tous, la glycine. Il interfère avec les fonctions du corps comme le péristaltisme et rend les choses instables dans l’organisme. Le corps construit alors ses systèmes de protéines avec un matériau de construction de bien piètre qualité.

De l’alchimie dans la salle de bain avec des cosmétiques confectionnés maison

Les huiles bloquent la capacité de la peau à transpirer et à respirer. La plupart des shampooings et des savons détruisent les couches protectrices de la peau. Ils ont tendance à modifier l’équilibre naturel de notre peau. L’argile est un bon choix pour nettoyer la peau ou nos cheveux. Elle absorbera les matières grasses et sales comme une éponge. J’ai cessé de porter des lunettes de soleil pour être en contact avec le soleil et j’ai fabriqué ma propre crème solaire et ma propre lotion après-soleil. Le rinçage des cheveux peut se faire avec une pâte de graines de fenugrec et de lavande et un trempage de thé d’hibiscus, en rinçant avec une eau diluée au vinaigre de framboises ou vinaigre de noix de coco. Les cosmétiques et les couleurs naturelles peuvent être créés avec une base d’aloe vera (elle a un effet un peu desséchant) et des pigments végétaux (baies ou betteraves déshydratées, cannelle, curcuma, poudres de cacao). Il est préférable de remplacer tous les récipients en plastique dans la cuisine et la salle de bains par des récipients en verre.

Ressources

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