La nourriture est l’outil numéro un pour diminuer les fonctions mentales humaines. La plupart des gens laissent leur potentiel de santé bien en deçà de ce à quoi ils peuvent aspirer. La maladie n’est pas quelque chose qui arrive soudainement. Le corps est intelligent, il sait ce qu’il fait et il fait de son mieux pour trouver des solutions appropriées à tout moment. Comment atteindre une santé plus vibrante ? Cela commence par dire au revoir à une nourriture qui laisse des résidus acides derrière elle, encourager la peau à transpirer, prêter attention à la combinaison des aliments et aux conséquences qui en découle, boire une eau non polluée et améliorer le flux de circulation d’énergie au sein du corps.
Un régime alimentaire approprié pour l’espèce humaine
Les animaux peu importe leurs groupes sanguins différents se rassemblent autour d’un seul régime alimentaire approprié pour une espèce. La plupart des gens se sentent motivés parce qu’ils veulent être plastiquement beaux et perdre du poids. Mais qu’en est-il de la santé ? Nous n’avons pas de véritable modèle de ce à quoi ressemble la santé. Les déchets du corps, qui s’accumulent, ne sont biologiquement pas censés être là. Tout ce que nous pouvons faire pour réduire les dommages est un pas de plus vers la régénération. Chaque caractéristique anatomique et physiologique de l’homme porte à croire que l’homme est frugivore : le nombre et la structure de ses dents, la longueur et la structure de son tube digestif, la position de ses yeux, les fonctions de sa peau, le caractère de sa salive, la taille de son foie, le nombre et la position des glandes lactiques, etc. Les gens peuvent se comporter comme s’ils étaient omnivores ; cependant, cela ne change pas leur physiologie. Un vieillissement et une dégénération prématurée est observée via l’adoption d’un régime alimentaire qui n’est pas adapté à l’espèce. Si une personne a du mal à manger des fruits, le problème est lié à son état de santé et non au fruit lui-même. Par exemple, une indication de la vitalité inhérente du corps est donnée par la vitesse de cicatrisation des blessures.
Lorsqu’un durian est mûr, il tombe de l’arbre et sa coque à pointes dures s’ouvre : une forte odeur s’en échappe, un signal clair pour signaler sa présence aux singes et autres animaux autour de lui. Ces derniers vont alors disséminer les graines du fruit à travers leurs déjections. Les arbres offrent le fruit tel un pot-de-vin aux êtres environnants, animaux et humains, pour que ses graines soient distribuées. Plus il y a de temps entre le moment où la nourriture a été cueillie et le moment où elle a été consommée, plus la perte de nutriments est importante. Il faut généralement environ 6 semaines pour que les fruits arrivent dans les rayons des grandes surfaces. Il est préférable de ne pas couper les fruits à l’avance car ils commencent alors leur processus d’oxydation. Ce qui peut être conservé à température ambiante doit être sorti du réfrigérateur (les tomates tendent à y perdre leur saveur). Le mono repas est ce qui fonctionne le mieux, si cela est possible. Les frugivores auront toujours tendance à manger des fruits si cette option leur est offerte, puis à aller vers les feuilles tendres ou les verdures, en consommant le bout de la feuille et en jetant le reste. Lorsqu’un animal a un véritable besoin nutritionnel pour un aliment particulier, les adaptations physiologiques qui facilitent la connexion avec cet aliment sont présentes dans la physiologie de l’animal. Le fait que nous ne puissions pas sentir un aliment, qu’il soit caché ou qu’il n’y ait pas d’indication extérieure qu’il s’agit d’un aliment consommable signifie souvent qu’il n’est pas adapté pour la consommation humaine.
On donne du travail à notre organisme lorsque l’on prend tout supplément. Tout ce qui nous fait nous sentir bien quand nous le mangeons, mais qui, quand nous arrêtons d’en consommer, nous laisse avec un malaise et un manque, est en fait un agent stimulant. En demandant constamment au métabolisme de fonctionner à plein régime, tout est accéléré dans le corps et le processus de vieillissement est accéléré. La peau commence à rétrécir à cause de l’acidose chronique et de la faiblesse des organes et des glandes. Pour se débarrasser de l’excès de protéines, l’organisme accélère l’ensemble du système. Les choses dont le corps n’a pas besoin peuvent très vite devenir un fardeau. Une structure protéique n’est pas utilisable par le corps en tant que telle : elle doit être décomposée, par un processus qui nécessite de l’énergie, en composés plus simples (acides aminés) avant que le corps puisse les utiliser. En isolant chimiquement un composé actif, on s’éloigne de l’alchimie de la nature et la logique d’un aliment complet et entier. Cela peut entraîner des déséquilibres inconnus à long terme.
Toxicité de certaines plantes et légumes communs
La plupart des plantes ne sont pas destinées à la consommation humaine. De nombreuses plantes se rendent toxiques car elles ne veulent pas être consommées. Les aliments excessivement riches en amidon et en cellulose ne sont pas considérés comme des aliments optimaux. Certains légumes contiennent de l’acide oxalique irritant et indigestible et sont fades ou désagréables à manger à l’état cru. L’acide oxalique empêche l’organisme de recevoir du fer. Les laitues sont plus adaptées à notre espèce que les épinards, bien que ces derniers aient été loués pour leur teneur en fer. C’est un autre mensonge inversé. La plupart des plantes ne veulent pas être mangées. Elles n’ont pas d’autre moyen de se défendre que la toxicité qu’elles produisent, qui reste légère pour l’homme du fait de sa grande taille en comparaison à de petits animaux sauvages. Une réaction naturelle face à la nourriture fermentée dans la nature serait de la recracher illico. Ce n’est acceptable que si notre survie en dépend et que l’on doit stocker de la nourriture pendant l’hiver, mais pas si l’on dispose de nombreuses autres possibilités et alternatives plus alcalinisantes et hydratantes. Nous avons besoin d’y être habitué pour accepter de consommer certains aliments. Il faut savoir que nous avons été empoisonnés très tôt, dès l’utérus. Certains d’entre nous ont éprouvé de nombreux symptômes inconfortables et douloureux au cours de l’enfance. Nos parents, parce qu’ils avaient été eux-mêmes endoctrinés par la propagande alimentaire, n’ont jamais fait le lien entre la nourriture qu’ils nous donnaient et les symptômes d’empoisonnement que nous manifestions.
La plupart des graines, qui sont toxiques et ont un goût amer, passent par le processus digestif sans aucune altération : nous pouvons les retrouver intactes une fois qu’elles ont trouvé la porte de sortie. Pour cette raison, il est préférable de ne pas presser les graines des fruits à l’extracteur de jus. Certains fruits sont toxiques : aubergines, fruits de noni, piments. Certains oiseaux n’ont pas les mêmes problèmes de brûlure que nous. Les aubergines sont très amères et presque impossibles à manger dans leur état cru. Les aromates (basilic, persil, origan, sauge, fenouil) sont utilisés pour améliorer la saveur des aliments. Les poivrons verts ne sont pas mûrs et il est préférable d’opter pour leurs collègues jaunes et rouges.
Les pissenlits, les salades frisées, le cresson, la scarole, les feuilles de moutarde ont un goût légèrement à modérément amer qui suggère une digestibilité moindre et des constituants toxiques. Les crucifères ne sont pas un aliment optimal pour l’homme en raison de leur teneur en cellulose. Notre corps a une capacité limitée à accéder aux nutriments contenus dans la structure de la cellulose, de sorte que quand nous en consommons, la majeure partie doit être éliminée du corps, ce qui taxe inutilement les processus d’élimination et organes. La digestibilité des légumineuses est faible en raison de leur composition complexe et de leur teneur concentrée en protéines, en graisses et en amidon, ce qui les fait putréfier et fermenter dans notre corps, entraînant la production de gaz. Les pois chiches et autres haricots sont également surestimés mais conviennent fort bien en période de transition. Ils ont une teneur élevée en cellulose, une faible valeur énergétique ou nutritive et contiennent certains composés toxiques. Il est toujours préférable de les faire germer, si possible.
D’un autre côté, la salade iceberg, avec son goût croquant agréable, est un aliment sous-estimé. Elle se combine bien avec des fruits non sucrés (comme le font les laitues romaines) et est facile à digérer. Tous les fruits peuvent se combiner avec la laitue. Le goût légèrement amer des différentes sortes de salades suggère une digestibilité moindre que la laitue romaine ou l’iceberg, mais elles restent acceptables selon les préférences personnelles. Les légumes verts sauvages qui ont un goût agréablement doux ou de noisette sont souhaitables et appropriés (par exemple, la laitue de Miner). Le céleri est un autre aliment optimal, riche en eau et en minéraux et très alcalin. Le bok choy, avec son goût légèrement amer, est acceptable. Les jeunes épinards ont généralement une saveur agréable et sont relativement faciles à digérer en quantités modérées, car leur teneur en acide oxalique est faible à ce stade de leur croissance. Un avocat contient beaucoup de graisse – il ne sera pas désintoxiquant, mais la consommation d’un avocat reste acceptable si l’on souhaite stabiliser le processus. Sa consommation ne convient pas en période de détoxification.
Une olive fraîchement coupée et non transformée a également un goût amer. Il est préférable de les consommer avec modération, de préférence si elles ont été mûries sur l’arbre et séchées au soleil. Lorsqu’elles sont bien mûres, elles sont moins amères. Quant aux bananes, elles ont une très faible teneur en eau par rapport à d’autres aliments et ne constituent pas un aliment détoxifiant, mais un bon aliment sur lequel on peut compter pour assurer la reconstitution des tissus et le maintien d’un poids stable. Les aliments séchés ont une faible teneur en eau. Les courgettes sont plus digestes que les courges, les aubergines ou les olives. Protégés par leur coque, les noix sont une excellente alternative en période de pénurie ou lorsque les fruits ne sont pas disponibles. Les graines germées sont abordables et peuvent être facilement stockées pour être cultivées. Elles sont plus faciles à digérer que les haricots ou pois chiches, mais plus difficiles à digérer que les fruits. La chair de la noix de coco fonctionne davantage comme une noix que comme un fruit. Malheureusement, les noix de coco que nous pouvons obtenir en Europe sont la plupart du temps rances et traitées pour être expédiées. L’aloe vera se conserve probablement mieux pour son application locale sur la peau que pour son usage en interne. Tous les aliments OGM doivent être évités (coton, betteraves sucrières, soja, maïs, canola), sauf s’il n’y a pas d’autres options : dans ce cas, on peut toujours maintenir un certain taux de détoxification avec des fruits OGM.
Quelques mots sur les jus
Il existe différentes étapes de jeûne. Si quelqu’un veut s’abstenir complètement de nourriture, il fera l’expérience du jeûne sec. Le jeûne avec des jus de fruits, frais ou pasteurisés, fournit encore du sucre simple dont le corps peut disposer et des nutriments. Bien que les jus réduisent la pression sur le système digestif et permettent une plus grande purification que lorsqu’on mange solide. Ils contiennent une forte concentration en nutriments et aucune fibre pour un bon fonctionnement intestinal. Ce manque de fibres signifie que le sucre, les protéines et d’autres nutriments peuvent être absorbés rapidement. Pendant un jeûne, pratiquement tout le monde connaîtra une baisse de la tension artérielle, ce qui peut créer une sensation de vertige lorsque l’on se lève trop rapide. La température du corps a également tendance à baisser. Tout type de jeûne entraîne généralement une perte de poids dans la région abdominale, la normalisation de la pression artérielle et de la glycémie et une réduction des paramètres d’inflammation. Contrairement aux croyances populaires, c’est une expérience agréable, qui améliore la vie émotionnelle et le bien-être général. Après un jeûne, il est préférable de renouer avec la nourriture solide très progressivement en se tournant au départ uniquement vers un régime frugivore (incluant les fruits légumes) durant au moins la moitié du temps consacré au jeûne voire le double de temps, idéalement. Il n’est pas rare que cette reprise alimentaire soit en fait plus difficile à naviguer que le jeûne.
Après le jeûne, on observera bien souvent moins de carences au niveau des minéraux essentiels du corps. Les symptômes attribués aux carences disparaissent lorsque les individus symptomatiques jeûnent uniquement à l’eau. Il n’est pas nécessaire de consommer quelque chose pour voir ces carences (le plus souvent due à une mauvaise utilisation par le corps) s’équilibrer. Il ne s’agit pas d’une logique de surplus, mais d’utiliser ce qui est déjà présent dans le corps. La maladie est causée par un excès et non par une carence. Les organes non fonctionnels ne peuvent pas absorber ou utiliser correctement les nutriments. Les carences en nutriments, lorsqu’elles existent réellement, sont généralement des problèmes d’assimilation et non d’absorption. Une grande partie des personnes souffrant d’une carence en B12 sont en fait des mangeurs de viande. En effet, les aliments acidifiants comme la viande inhibent la capacité de l’estomac à créer le catalyseur dont la B12 a besoin pour remplir sa fonction.
La nocivité des aliments cuits et des produits animaux
Le corps réagit aux aliments cuits comme s’ils avaient été empoisonnés. Des études ont montré que la santé de toute espèce nourrie avec des aliments cuits diminue. Lorsque nous mangeons des aliments cuits, la température du corps augmente – c’est un cas de fièvre légère, car le corps est constamment en processus de leucose, créant des globules blancs et les envoyant au tube digestif. Le corps envoie le signal que quelque chose de très mauvais est en train de se passer, comme si le corps avait reçu une blessure. La nourriture cuite crée une forte dépendance, il est difficile de s’en détacher une fois que l’on renoue avec elle. Lorsque l’on mange cru, ce type de réaction de la part du corps ne se produit pas. Les aliments congelés ne devraient pas représenter une grande partie de notre alimentation. On remarque enfin que certaines recettes végétaliennes crues sont plus nocives que les aliments cuits : tout est donc relatif. Une question qui nous aide en tous temps : quel est le niveau de dégâts que cause un repas ?
Nous pouvons maintenant nous demander : les humains ont-ils choisi de s’éloigner des fruits mûrs et sucrés que leur propose la nature au profit de la chair ? À moins que la pénurie n’ait existé, ce scénario semble peu probable. Cela ne devient une option plausible que pendant certaines phases de l’histoire, lorsque les aliments frais n’ont pas été disponibles en suffisance. L’autre façon logique de voir les choses serait d’envisager un royaume sous contrôle mental où les êtres reliés à la source sont poussés à s’éloigner des lois naturelles. La viande permettait certes de survivre pendant de longues périodes, mais au prix d’une longévité et d’une vitalité réduites et d’un engourdissement de la conscience humaine. En effet, les périodes de pénurie ne changent pas la physiologie de base de l’homme. Tout type de chair augmente considérablement le processus de vieillissement. Nous avons très peu de l’enzyme uricase, nécessaire pour décomposer la viande. Bien sûr, notre corps parvient à la décomposer, mais cela demande au corps un grand travail et la mise à disposition d’une force vitale importante. C’est pourquoi les gens perdent du poids en suivant des régimes riches en protéines – le coût énergétique du corps à traiter la viande est plus élevé que ce qu’elle apporte au corps humain. La viande crée des déchets que l’organisme doit éliminer : l’un de ces déchets est l’acide urique, qui détériore les articulations et provoque de l’arthrite. D’autre part, la viande produit dans notre corps des substances chimiques dont la composition est similaire à celle de la caféine. Ainsi, en plus de la perte de poids, les gens ressentent des effets qu’ils perçoivent à tort comme étant positifs. En fait, c’est le contraire qui se produit.
Par le passé, le sel était principalement utilisé pour conserver la viande et les condiments (comme le poivre) pour dissimuler la putréfaction. Le sodium inorganique extrait l’eau des cellules pour protéger le corps. Le sel va nous déshydrater. Les œufs sont quant à eux très riches en protéines. Même s’ils sont consommés crus, les œufs sont riches en soufre et demandent un grand travail du foie et des reins. Toute protéine que nous consommons en excès doit être éliminée, ce qui taxe et surcharge nos organes d’élimination. La teneur relative en protéines du lait maternel nous permet de nous rapprocher le plus possible d’une directive universelle concernant la quantité maximale de protéines dans la vie d’un être humain. À aucun stade de la vie d’un être humain, les besoins en protéines ne sont plus importants que pendant la petite enfance. On se rend dès lors compte que les besoins en protéines des humains sont beaucoup plus faibles que ce qui est communément admis. Le lait de chaque espèce est distinctement composé de nutriments dont les bébés de cette espèce particulière ont besoin et ne peut être consommé que par cette espèce.
Même en regardant notre passé lointain, sur lequel on nous a beaucoup menti, il serait difficile de trouver une culture plus malade que la nôtre. Les améliorations en termes de santé que les gens connaissent lorsqu’ils passent d’un régime alimentaire américain standard à un régime alimentaire à base de produits animaux crus révèlent que même la consommation de produits animaux crus est un pas en avant (une amélioration par rapport à) un régime américain standard.
L’étude Pottenger sur les chats : cuit contre cru
Datant des années 1930, l’étude de Pottenger sur les chats est souvent citée comme preuve qu’un régime d’aliments crus pour chats est supérieur à un régime de viande cuite. Le docteur Francis Pottenger a mené une étude nutritionnelle sur plusieurs générations entre 1932 et 1942 afin de déterminer les effets des aliments transformés par la chaleur sur 900 chats. L’étude a décrit en détail l’ensemble des problèmes physiques et émotionnels qu’ont développé les chats soumis à une alimentation cuite et qui ne se sont pas manifesté chez les chats nourris au cru. Plus inquiétant encore, les chats soumis au régime cuit n’ont jamais dépassé la troisième génération, car ils ont perdu leur fertilité et leur capacité à se reproduire. Cependant, un facteur important à prendre en compte en étudiant les résultats de cette étude est que, dans le laboratoire du médecin, les chats subissaient des opérations chirurgicales pour retirer leurs glandes surrénales (adrénalectomies) afin de normaliser le contenu hormonal des extraits de surrénales qui étaient fabriqués dans ces locaux. À l’époque, il n’existait pas de procédure chimique pour mesurer la force des extraits surrénaux. Les fabricants étudiaient donc la quantité d’extrait qu’ils devaient donner aux chats pour qu’ils restent en vie. Ils pouvaient alors décider comment calibrer leurs produits finaux.
Pour l’étude, les chats furent divisés en cinq groupes. Deux de ces groupes furent nourris avec des aliments complets (lait cru et viande). Les trois autres groupes reçurent des aliments transformés : viande cuite ou pasteurisée, lait pasteurisé ou condensé. Toutes les générations de nourriture crue restèrent normalement en bonne santé tout au long de leur vie. La première génération des trois groupes d’aliments transformés développa des maladies vers la fin de leur vie. Ils commencèrent à développer des maladies dégénératives et eurent tendance à devenir assez sédentaires. La deuxième génération développa des maladies dégénératives au milieu de leur vie, des changements dans leur structure squelettique étaient évidents et la teneur en calcium de leurs os chuta radicalement. La troisième génération développa des maladies dégénératives au début de leur vie et beaucoup moururent avant l’âge de six mois. Certains étaient aveugles et faibles à la naissance, avec une espérance de vie beaucoup plus courte. La plupart des membres de la troisième génération ne pouvaient pas se reproduire. Il n’y eut pas de quatrième génération dans ces trois groupes soumis à une alimentation cuite et transformée. Certains parents de troisième génération étaient stériles et quand ce n’était pas le cas, leur progéniture ne passa pas le stade de la gestation. Les maladies de la peau et les allergies augmentèrent, passant d’une incidence de 5 % chez les chats normaux à plus de 90 % chez la troisième génération d’animaux intoxiqués. Leur fourrure perdit son éclat. Des changements de caractère furent observés, les mâles devenant dociles tandis que les femelles devenaient plus agressives. Le crâne était considérablement plus petit et les os étaient fins comme du papier et souples comme du caoutchouc. D’autre part, les sujets ayant été nourri au cru continuaient à donner vie à une progéniture saine, génération après génération.
Chez les chats ayant reçu une alimentation pasteurisée, certains ont développé de l’arthrite, des changements squelettiques et une diminution de leurs capacités reproductives. Une certaine léthargie fut manifestée. Leur progéniture présentait des problèmes constitutionnels et respiratoires progressifs. La détérioration dentaire, les abcès et l’inflammation des gencives étaient fréquents. Dans le groupe soumis au lait concentré, le lait été chauffé et on lui ajoutait du sucre. Ils développèrent des amas de graisse plus conséquents, présentèrent de graves déformations du squelette et étaient sujets à des fractures osseuses. De plus, ces animaux étaient nerveux, extrêmement irritables. Quant à une réflexion allant de ses résultats à la nutrition humaine, le Dr Pottenger a déclaré : « Bien qu’aucune tentative n’ait été faite pour émettre des corrélations entre les changements observés chez les animaux étudiés et les malformations et maladies rencontrées chez l’homme, la similitude est si évidente qu’une analogie ne peut être qu’évidente. »
Opérations psychologiques dans le domaine de la santé
Il est plus sûr de considérer que tout ce qui nous a été vendu comme sain est en fait, sous certaines formes, préjudiciable à la santé humaine. Par exemple, la tendance pour le chou frisé « kale », qui n’est pas digeste, fait partie de ces opérations psychologiques. Bien sûr, la plante contient beaucoup de nutriments, mais cela ne signifie pas que les humains doivent la manger. Elle n’est pas destinée à la consommation humaine, elle a tendance à nuire à la glande thyroïde avec ses composés azotés lorsqu’elle est consommée crue. Le chou est rempli de cellulose et de fibres indigestes. Sa digestion demande de l’énergie. Il n’y a rien dans le chou dont nous avons besoin et que nous ne pouvons trouver ailleurs. Il est en fait beaucoup plus facile d’obtenir des nutriments à partir d’une structure simple comme un fruit. De même, un cube de bouillon n’est pas du tout sain : j’en ai essayé un tout petit peu quand j’étais en période de jeûne liquide, on ne m’y reprendra plus : cela a créé une sensation d’obstruction au niveau nasal et de la tête. Je n’en utiliserai plus jamais.
De même, je me demande si nous devons ingérer de l’argile, du charbon, du DMSO ou du soufre et je conseille la vigilance. Comment être sûr de l’impact négatif lorsque l’on joue avec la chimie, même si elle présente des avantages ? Qu’en est-il des implications à long terme de telles mesures ? Du côté des sels raffinés, ils sont nocifs, ils sont chauffés et épuisent nos surrénales et nos reins car ils ont subi un processus d’altération. Cela peut perturber l’équilibre entre le potassium et le sodium dans l’organisme. Lorsque nous guérissons nos glandes surrénales, les envies de sel disparaissent. Le sel est un faible courant électromagnétique qui est moins bien absorbé par l’organisme. On sait bien que l’eau de mer est déshydratante.
De nombreux spécialistes de la désintoxication sont des gourous et abusent de leur pouvoir alors que les gens sont dans un état d’affaiblissement ou qu’ils vivent des expériences de jeûne qui les rendent vulnérables et très ouverts. Pendant ces périodes, les individus peuvent être plus influençables car leurs champs répondent au quart de tour. J’ai beaucoup appris dans les groupes de discussion santé sur les médias sociaux et j’ai observé comment ils pouvaient devenir leur propre type de prison. Je me suis libérée des protocoles et aussi de la programmation de la culpabilité et de la honte qui y est ambiante.
Enfin, les vaccins ou les médicaments, qui nous sont vendus comme mesure de protection de la santé humaine, sont très nocifs à la santé humaine : ils encouragent le corps à ne plus répondre et à ne plus avoir l’énergie suffisante pour expulser ses déchets. La vaccination cible le système lymphatique. Une fois que ce dernier est en panne, les déchets s’accumulent encore plus à l’intérieur. Le corps est une technologie incroyable qui est capable de stocker et de compacter ses déchets.
Le mot de la fin
Notre travail consiste à faire de notre mieux pour comprendre les lois naturelles et les appliquer à la manière dont nous interagissons avec notre enveloppe physique. Nous pouvons faire appel à l’énergie de tous les espaces-temps pour retrouver notre chemin vers la nourriture originelle de la race humaine.
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