Aria Persei

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L’homme frugivore : les principes de l’alimentation sans mucus

Nos cellules privées de l’énergie de la vie, asphyxiées, carencées et empoisonnées, ne savent plus se relier aux fréquences de la vie organique. Il est bien plus difficile de nous libérer du contrôle mental en consommant une alimentation synthétique, transformée, raffinée et impropre à la physiologie originelle de l’être humain. A long terme, il semble incontournable de corriger la véritable cause du problème, à savoir une alimentation non conforme aux besoins physiologiques humains. A l’heure actuelle, il semble primordial de faire les comptes sur ce que coûtent les faux aliments à la santé.

Avant-propos : la physiologie de l’être humain

Comme tous les grands primates, l’homme est frugivore: il est équipé pour puiser l’énergie des fruits, des pousses, des feuilles et des racines tendres. L’homme est physiologiquement constitué pour assimiler une nourriture naturelle, simple à base de plantes et de fruits. Il a certes su s’adapter aux modifications de son environnement et cela avec des coûts cachés en terme de santé et de conscience. En effet, chaque espèce a une alimentation adaptée à son anatomie et à ses fonctions digestives (voir le tableau récapitulatif entre les différents types d’alimentation). Le chat est carnivore : pour tuer ses proies, il dispose de griffes et de canines longues et pointues. Son estomac secrète des enzymes appropriées pour digérer la viande. Son intestin est court car il lui est indispensable d’éliminer les résidus toxiques rapidement sous risque de putréfaction. La vache, quant à elle, est herbivore. Elle se sert de sa langue pour attraper l’herbe, ne possède que des molaires (ni incisives, ni canines) et dispose de glandes salivaires bien développées. Disposant de multiples panses pour digérer l’herbe, son intestin est très long pour permettre, sous l’action de bactéries spécifiques, de transformer la cellulose en protides. Doté de 32 dents (8 incisives, 4 canines, 8 prémolaires et 12 molaires), le chimpanzé saisit sa nourriture avec ses mains. Il sécrète de la ptyaline dans sa salive pour pré-digérer les amidons. Son système digestif mesure douze fois sa taille, un long trajet permettant l’assimilation des plantes et des fruits qu’il cueille. Occasionnellement, il lui arrive d’avaler de petits insectes dans une part infime de son alimentation.

Or, le système digestif de l’homme est strictement le même. Il n’est donc pas étonnant que le même type d’alimentation leur conviennent à tous deux, une nourriture que l’on peut saisir avec nos mains et qui est en direct accès : déterrer une racine, arracher une feuille ou tirer sur une graine. Cette manière de s’alimenter évite la combinaison de multiples aliments les uns avec les autres. Entre chaque prise d’aliment, la digestion aura eu le temps de se terminer pour en commencer une nouvelle. L’eau contenue dans ces victuailles apporte une hydratation correcte et stable au corps. Est considéré comme fruit tout ce qui est produit par la pollinisation d’une fleur: un concombre, une citrouille, un poivron, une aubergine sont des fruits, non sucrés et riches en minéraux. Les oléagineux (noix, coco, avocat) sont aussi des fruits. Les légumes se limitent aux fleurs (chou-fleur, artichaut), aux feuilles (choux, laitue, bettes, épinards et fanes de racines), aux tiges tendres (céleri) et aux racines tendres qui englobent les carottes, navets, radis, topinambours, betteraves et patates douces, gingembre et curcuma, à l’exception des tubercules à amidon (pommes de terre, ignames, taro). Les fruits, que l’on dit acides, sont en fait d’excellents destructeurs et solvants d’acide urique.

Différentes classes d’aliments

Selon les travaux du Docteur Bordeaux Szekely, certains aliments engendrent la vie (biogéniques), certains la soutiennent (bioactifs), certains la ralentissent (biostatiques) et d’autres la détruisent (biocidiques). Les aliments biogéniques sont, en plus de l’eau naturelle et pure, les fruits et légumes non traités consommés crus, tout de suite après la cueillette. On compte le même nombre de calories dans une carotte cuite qu’une carotte crue; une vieille carotte ou une carotte fraîche, une carotte bio ou une carotte chimique… Cependant, ont-elles le même apport nutritionnel et la même biodisponibilité ? Quant à l’eau, celle chimiquement pure distribuée par nos robinets n’a strictement rien à voir avec l’eau dont les êtres vivants ont besoin ; l’eau filtrée, par exemple via un distillateur d’eau, vaut mieux que l’eau du robinet (qui contient la trace de plus de 300 particules en Belgique, alors que l’eau distillée les réduit à un ou 2) ne vaudra jamais l’eau naturelle qui a été au contact de l’argile, des roches, de l’oxygène et du soleil. On trouve dans 40 grammes d’avoine germée 15 mg de vitamine C, soit plus que dans une quantité correspondante de melon, de cassis ou de myrtilles. Les aliments biocidiques peuvent être qualifiés de meurtriers : ce sont les viandes rouges, les gibiers, les charcuteries, les crustacés comme le homard, les langoustes et crevettes qui sont les charognards de la mer (à différencier des fruits de la mer comme les huîtres, les moules, les oursins n’entrent pas dans cette catégorie) et tous les vins et alcools qui les accompagnent. Ce sont également les céréales raffinées, cuites et leurs dérivés comme le pain blanc, le riz blanc, les pâtes, les pizzas et toutes les viennoiseries, ainsi que tous les hamburgers, beignets, frites et fritures de tous ordres ; les volailles, oeufs et poissons d’élevage ainsi que les huiles et margarines hydrogénées, le beurre, la crème, les fromages et tous les produits laitiers et industrialisés, sans oublier le sucre raffiné, les pâtisseries, confiseries, confitures, chocolats, glaces, les boissons gazeuses, le café et enfin le thé.

De cueilleur à chasseur

L’homme n’aurait-il pas commencer à chasser car il n’y avait plus assez de fruits à cueillir ? Or, le système urinaire de l’homme n’est pas celui d’un carnivore. Il lui est donc incapable de filtrer et d’éliminer l’acide urique provoqué par la digestion carnée. Le corps se trouve de plus en plus carencé et empoisonné et, ne pouvant éliminer journellement cette quantité de résidus dans ses selles et dans ses urines, il se trouve dans l’obligation de les réduire et les compacter. Ces cristaux d’acide urique doivent également fondre pour passer dans le sang chargé de les véhiculer jusqu’aux reins, dont le rôle est de les éliminer dans nos urines. Ce passage de l’état solide à l’état liquide révèle leur nature acide qui, en brûlant nos terminaisons nerveuses, crée la douleur. Quand nous avons des douleurs sans avoir reçu le moindre choc, il est fort possible que ce soit notre corps qui est en train de faire passer ces cristaux de l’état solide où ils ont été stockés à l’état liquide, pour les conduire vers les reins, chargés de les éliminer dans les urines ou la transpiration. Le lait quant à lui est une solution acide qui détruit et brûle les minéraux et est un des plus grands déminéralisants et décalcifiants. Il contient du pus, des traces d’antibiotiques, d’anti-douleurs, d’hormones de croissance, des protéines acides qui entraînent la déminéralisation et la décalcification du corps. Le lait et ses produits dérivés sont, en plus d’être des générateurs de cristaux, de colles et autres viscosités indigestes pour l’être humain, acidifiants principalement à cause de leur grande teneur en protéines animales. Les laits et la nourriture en petits pots pour bébés sont souvent immangeables. Les mères ont été encouragées à faire passer leurs nourrissons au lait de vache; on leur a vanté le fait que cela leur dégagerait du temps, ne tenant pas compte de l’importance du contact entre mère et enfant. On leur a aussi fait croire que cela empêcherait les seins tombants. La cuisson des aliments diminue la vitalité et l’énergie de vie. La densité de l’alimentation conduit vers des excitants et des stimulants. En plus de détruire enzymes, vitamines et antioxydants, la cuisson induit des réactions entre glucides, lipides et protéines, pour former des produits complexes, visqueux, collants qui surchargent très vite les capacités du foie.

La création de cristaux acides

Le foie et ses sécrétions digestives, naturellement conçus pour la digestion des fruits, sont incapables de digérer totalement les sucres lents. Chacune de nos digestions est plutôt une indigestion qui laisse derrière elle une sorte d’amalgame visqueux et glaireux. Les résidus acides devraient être amenés aux reins chargés de les filtrer et de les éliminer à travers nos urines. Ces petits cristaux, selon les terrains et prédispositions, s’infiltrent dans les tissus osseux, détruisent et brûlent les minéraux de nos dents, s’installent dans les disques intervertébraux où ils font une hernie discale ou dans les muscles dorsaux donnant lieu à ce fameux mal au dos si répandu actuellement. Quant aux minéraux de nos cheveux dont ils ont tant besoin pour être solides et brillants, ils sont brûlés, souvent même jusqu’à la racine. Il est dommage que nous ne fassions que trop rarement le rapprochement entre ce que nous avons bu et mangé et les conséquences qui en découlent.

Dans le meilleur des cas et pour suppléer au travail urinaire et rénal, la surcharge sera évacuée par la peau (transpirations, démangeaisons, éruptions cutanées). Le corps trouve la meilleure solution à court terme pour évacuer les résidus bloqués dans un endroit du corps, ce qui peut entraîner des complications à long terme. Il est facile de prévoir que la prochaine fois qu’il faudra appeler le plombier, celui-ci devra aller plus profondément chercher les déchets que le siphon manquant n’a pu retenir. Pour nous, c’est la même chose et nous devrons aller dans les endroits les plus inattendus pour déloger les mucosités. Dans la thyroïde par exemple, où réduites et lyophilisées, elles se seront déposées en ralentissant ses fonctions. 

Chaque année, considérant l’alimentation actuelle (inappropriée à l’être humain), chacun ingèrerait en moyenne 5 kilos purs de produits chimiques. Où le corps les stocke-t-il ? Est-il capable de les emporter vers l’une des sorties ? Quand le corps recouvre assez d’énergie pour se débarrasser de ces obstructions, ces colles lyophilisées sont reconstituées en glaires et peuvent dès lors être expulsées. Leur expulsion se fait principalement par les voies naturelles d’évacuation tels les émonctoires (poumons, intestins, peau) et par les reins dans une moindre mesure. Les fièvres, douleurs, démangeaisons et autres irritations sont les signes d’un corps encore assez puissant pour tenter de se débarrasser des acides qui l’encombrent.

Mise sous silence des voies d’élimination

Faire taire les symptômes et les étouffer ne consiste qu’à débrancher les systèmes d’élimination, qui ne peuvent plus remplir leurs fonctions. On paraîtra guéri, cependant les choses ne sont qu’enfouies plus profondément. Le corps peut manquer d’énergie pour expulser ces résidus par les selles ou les urines. Le trop-plein cherche une sortie de secours qui sera l’organe le plus disponible ou le plus puissant du moment selon les constitutions ou prédispositions génétiques. Aujourd’hui, les crises ne sont plus fonctionnelles de premier niveau, comme celles qui utilisent nos intestins et nos reins, mais bien souvent fonctionnelles de second niveau. Une diarrhée par exemple, indique simplement que les glaires ont retrouvé leur voie d’élimination naturelle qui est la voie intestinale. Les crises fonctionnelles et libératrices ont été remplacées par des crises lésionnelles qui se sont transformées en maladies dégénératives. Les maladies non plus fonctionnelles et lésionnelles mais chroniques sont apparues, comme le diabète, l’obésité, l’asthme, qui cherchent à signaler qu’il y a une surcharge colloïdale alors que le diabète maigre, l’eczéma, les maux de dos, les migraines, les hémorroïdes ou les règles douloureuses cherchent à informer d’une surcharge acide ou cristalloïdale importante.

L’asthme et la grippe

L’asthme crie son intime relation avec les glaires et les viscosités produites par une digestion incomplète des sucres lents appelés scientifiquement hydrates de carbone. L’asthme était excessivement rare à l’époque où les enfants n’étaient pas vaccinés et réussissaient tant bien que mal à expectorer tout ou une partie de leur héritage colloïdal à travers leurs terribles mais combien libératrices coqueluches. Qui dans les docteurs est prêts à accepter de signer par écrit la prise de responsabilités des conséquences primaires et secondaires qui découlent des vaccins ? Comment ne pas parler aussi du vaccin de la grippe que l’on pratique couramment sur le troisième âge ? La grippe qui permet à ces personnes au moins, une fois l’an, d’éliminer leur cargaison empoisonnée à travers des selles, des urines et une transpiration chargées. Quant à l’hypertension, le meilleur moyen de la faire baisser n’est pas de fluidifier artificiellement le sang par des médicaments mais de le décharger de ses résidus.

Une histoire de constitutions

La plupart d’entre nous aujourd’hui ont une constitution moins puissante, que l’on qualifie de second niveau. Les crises d’élimination sont beaucoup moins marquées et violentes mais plus fréquentes, voire chroniques et plus longues et plus difficiles à gérer que celles des sujets de bonnes constitutions. Pour les sujets de constitution dégénérative, leur rétablissement est toujours possible. Cependant, il demandera davantage de temps et de connaissances que celui des constitutions précédentes et la conjugaison de différentes médecines et techniques pour aboutir à une heureuse conclusion. Il faut être bien conscient toutefois que ces chances s’amenuiseront au fur et à mesure des traitements chimiques et des opérations qu’ils auront subis.

La nécessité de nettoyer le terrain

Tant que l’on n’a pas fait ce qui s’impose pour nettoyer le terrain en profondeur, nous serons animés d’une préférence marquée pour les aliments et excitants avec lesquels nous sommes le plus empoisonnés. Les excitants ne sont là que pour pallier à une alimentation anti-vie qui nous prive de notre énergie de vie naturelle. Le chocolat par exemple donne un coup de fouet au foie congestionné grâce à la théobromine qu’il renferme. Même s’il peut être utile d’enlever un organe ou une tumeur, il faut bien être conscient que ces opérations ne modifient en rien le terrain du malade et, qu’à elles seules, elles ne lui permettront jamais de reconstituer sa santé. Cependant tout est en notre pouvoir pour empêcher que la maison ne brûle en premier lieu, en nous éduquant sur la manière appropriée de nous nourrir en tant qu’être humain. Ce qui veut dire que même si les techniques psychologiques et de développement personnel de tout ordre peuvent être infiniment précieuses dans un moment de difficulté, nous devons bien savoir qu’elles ne pourront pas oxygéner et alimenter nos cellules ni nettoyer les liquides dans lesquels elles baignent. 

Il ne suffit pas de nourrir correctement notre corps pour retrouver la santé, il faut aussi le nettoyer intérieurement. Toute l’eau que nous pourrons boire sera incapable de dissoudre et d’éliminer les résidus acides sans une action saponifiante et solvante. D’où la nécessité et l’utilité du jeûne (liquide aux jus de fruits principalement, sec et sec intermittent) pour non seulement vider les intestins mais aussi activer nos systèmes d’élimination pour qu’ils réussissent à déloger les toxines accumulées, réduites et lyophilisées dans le moindre recoin de notre organisme. Je ne suis pas partisane des purges à l’huile de ricin qui, bien qu’apportant un effet d’expulsion positif, bloque le système lymphatique. Nous ne sommes pas faits pour avaler de telles quantités d’huile. Je fais personnellement l’expérience de meilleurs résultats grâce aux jeûnes et aux irrigations coloniques.

Pour tonifier l’organisme, les bains chauds nettoient, les bains froids vitalisent et chacun aime les bains qui lui conviennent. A la sortie d’un bain chaud, les pieds doivent être rouges ; c’est la meilleure méthode pour dériver le sang d’une tête congestionnée. Les stations de bains chauds en Europe de l’Ouest peuvent aussi soutenir le processus de guérison : Chaudes-Aigues dans le Cantal (82°), les Plombières dans les Vosges (70°), Battaglia en Italie (69°), Baden Baden en Allemagne (68°), Evaux dans la Creuse, Néris dans l’Allier, Sylvanos dans l’Aveyron et Bains-les-Bains dans les Vosges.

L’apport des jus de légumes

Grâce aux jus de légumes préparés à l’extracteur, nous avons accès au maximum de la valeur nutritive des plantes, sans effort de digestion. Nous pouvons ainsi fortifier notre organisme presque 4 fois plus vite qu’en mangeant des légumes entiers et ce, en dépensant jusqu’à 20 fois moins d’énergie. Le travail d’herbivore qui consiste à manger les légumes à la croque ou en salade plutôt qu’en jus requiert beaucoup d’énergie, pour un rendement nutritif très faible. L’être humain est frugivore et pas herbivore. A titre d’exemple, une carotte crue entière se digère en 3 à 5 heures pour une nutrition de 20% de ce qui est disponible dans cette racine, alors qu’un jus de carotte frais quitte l’estomac en 15 minutes (sans aucun effort de digestion) et restitue près de 70 % de la nutrition de cette même carotte. Les fibres qui sont absentes dans les jus de légumes gardent toutefois un intérêt; elles agissent par leurs propriétés absorbantes comme un balai dans la phase intestinale de la digestion. C’est pourquoi il est bon de consommer en alternance également des aliments crus ou des smoothies (qui contiennent des fibres prédigérées) en complément des jus. En raccourcissant le temps de digestion, nous gagnons en santé et en vitalité. 70 % de notre temps de vie est requis par la digestion. Lorsque nous digérons, assimilation et élimination comprises, nous fonctionnons seulement à 30% de notre rendement créatif. Un grand verre d’un demi-litre de jus est l ‘équivalent de 2 kg de légumes crus. En effet, on multiplie l’apport nutritionnel en mangeant le légume en jus plutôt qu’entier, tout en divisant le temps de digestion considérablement, selon les légumes. Il faut 5 fois moins de légumes pour une soupe crue que pour une soupe cuite. Enfin, un fruit à la fin du repas fait doubler le temps de digestion et seuls les fruits cuits peuvent constituer des desserts. 

Idées recettes

L’alimentation sans mucus (voir les autres articles sur le sujet dans la section santé et régénération) réduit l’apport d’huile et de graisses (avocats, tout type d’huile), d’ail, d’oignon et de condiments acides comme le tamari ou le soja. L’une des meilleurs clés est la démystification par l’expérimentation.

  • couper de fines lamelles d’asperges crues
  • ajouter du zeste de citron râpé aux préparations
  • un carpaccio de champignons crus
  • les graines germées de fenugrec qui aident à maintenir le poids;
  • ajouter quelques gouttes d’huile essentielle (bergamote, citron, mandarine, cannelle, curcuma, gingembre, néroli, orange douce, coriandre, poivre rose) dans l’eau de vapeur de cuisson ;
  • une aubergine crue macérée quelques jours ou déshydratée ;
  • jus de carottes avec citron vert, de l’eau de piment, du gingembre, du curcuma et du poivron ;
  • jus de betterave rouge avec du jus de citron jaune et du gingembre ;
  • lait de concombre à la menthe: jus de citron, 1/2 avocat, un bouquet de menthe fraîche, 1/4 de cuillère à soupe de purée d’amande, 3 à 4 concombres, sel marin et eau ;
  • cocktail exotique aromatisé andalou : tomate, concombre, poivron avec de la menthe ;
  • jus de carotte, courgette, poivron, gingembre et eau de piment ;
  • soupe d’ortie crue (3 grosses poignées), une poignée de coriandre et de l’origan seché ;
  • velouté d’asperges : pointes d’asperges, un petit poivron assaisonné de vinaigre de cidre;
  • velouté de brocoli : brocoli, quelques graines de coriandre, un morceau de poivron rouge et un soupçon de sel marin ;
  • velouté de poivrons : poivron, courgette, poivre et thym ;
  • sauce pour salades au jus de carottes, paprika, coriandre et muscade ;
  • sauce avocat-pamplemousse pour salade verte : avocat, citron, pamplemousse pelé à vif, mixer avec du persil frais ;
  • guacamole : avocat, jus de citron, ail pressé, tamari, cubes de poivrons, poivre et piment, mixés;
  • smoothie de bananes, jus d’orange ou de mandarine et framboises ;
  • lait végétal au gingembre : 1/2 pouce de gingembre, une cuillerée de miel, 2-3 dattes et un peu d’hydrolat (de bergamote par exemple) ;
  • la mousse de fraises : 350 g de fruits rouges, 100 ml de jus du même fruit, 2 cuillerées à soupe de miel liquide ou de sirop d’agave, poivre blanc ou rose, 1 goutte d’huile essentielle de basilic, bergamote, curcuma, gingembre ou lavande.
  • mousse de banane glacée au blender : congeler des bananes en petits morceaux, ajouter une goutte d’huile essentielle de bergamote, cannelle ou d’orange et un petit verre d’eau chaude.

  • l’utilisation d’hydrosols draineurs : sauge ou armoise (draineur du sang), genièvre ou sureau (draineurs des reins), romarin ou géranium (draineurs du foie et revitalisants), hysope ou eucalyptus (draineurs pulmonaires), lavande, mélisse, néroli (calmants, nettoyants du système nerveux) ;
  • l’ajout d’une goute d’huile essentielle au bain ;
  • la friction du corps avec des huiles essentielles (par exemple la friction digestive sur l’estomac d’un mélange d’orange douce, de carvi, de muscade, de mandarine rouge, de menthe douce, de coriandre ou de cumin) ou bien le cyprès pour la circulation sanguine ou bien encore le citron, la gaulthérie, l’eucalyptus globulus, la mandarine rouge, la sauge ou le géranium pour l’élimination;
  • la cure de pollen frais.

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