L’intégration du stress post-traumatique et des états post-traumatiques nouvellement créés (par les traitements abusifs continus par lesquels nous passons ici) se fait couche après couche. La prise en compte du fait que nous sommes constamment retraumatisés par des événements dont nous n’avons aucun souvenir est essentielle dans la façon dont nous gérons notre stress post-traumatique. Il est donc difficile pour nous de progresser dans ce fascinant processus de guérison des traumatismes. Si nous ne traitons pas nos traumatismes quotidiens et nocturnes, d’autres traumatismes gelés sont stockés et s’ajoutent à ceux que nous portons déjà.
Les étiquettes telles que hypersensible, bipolaire, borderline, narcissique, starseed, indigo ont tendance à créer des boîtes de cube noir qui deviennent rapidement leurs propres sortes de prisons pour définir un état mental vécu. Ils sont utiles comme concepts pour avoir une idée de ce dont nous parlons, mais pas comme une définition de ce que nous pouvons bien être. En général, les livres de psychologie n’abordent pas le facteur de contrôle mental de notre réalité, ont tendance à simplifier le fonctionnement des traumatismes complexes et ne prennent pas en considération l’existence de personnalités multiples. Il ne s’agit pas d’un état où nous ne faisons qu’un à l’intérieur et cela en raison de l’intense fragmentation. C’est le travail d’une vie que de s’efforcer de retrouver tous ces fragments manquants. Les livres du new age sont généralement déresponsabilisants, apaisants et agissent comme des sédatifs.
Travailler avec des systèmes internes complexes
Le système complexe que nous avons en nous est le résultat de traumatismes répétés et systémiques. La façon dont les oppresseurs se comportaient autrefois est intériorisée. L’expérience que nous avons de nous-mêmes est souvent remplie de traumatismes et nous avons tendance à dissocier, à recourir à l’automédication, à agir comme un agresseur ou à nous distraire de ce que nous vivons à l’intérieur. Une autre façon de maintenir la dissociation est de travailler jusqu’à l’épuisement complet et de négliger les soins que nous nous prodiguons. Nous avons tous grandi dans certaines formes de captivité émotionnelle, psychique, psychologique et spirituelle. Comment apprendre la flexibilité émotionnelle sans tomber dans la rigidité ? Il s’agit de remettre en mouvement ces étapes arrêtées du développement et de se reconnecter à notre intelligence émotionnelle refoulée. La déprogrammation se concentre sur la reconnaissance et l’élimination des pensées destructrices et sur l’apprentissage du choix de manières saines et plus justes de parler et de penser, les pensées à propos de nous-mêmes et celles à propos des autres et liée à cette réalité en général. Plus nous nous soutenons, plus nous attirons des personnes qui nous soutiennent et plus nous sommes capables d’approfondir le facteur d’intimité dans notre vie.
Beaucoup d’entre nous ont appris à survivre en se concentrant sur l’un de nos parents qui renforçait notre programmation pour comprendre ce qui était nécessaire pour les apaiser et nous garder en relative sécurité temporairement. Ainsi, nous avons été formés pour que nos compétences psychiques soient redirigées afin de plaire aux autres (principalement les entités de basses fréquences qui travaillent à travers les êtres humains dans cette réalité) et de répondre à leurs demandes. C’était un moyen de trouver la meilleure réponse pour neutraliser le danger parental, mais bien sûr, une fois que nous ne vivons plus sous le même toit, ces mécanismes et modèles d’adaptation deviennent rapidement une prison qui nous maintient concentrés sur l’extérieur et incapables de nous accorder à nos propres besoins et à ce qui se passe à l’intérieur. C’est le terrain idéal pour développer un système de personnalité de front qui est entraîné à être gentil et qui a été programmé de cette façon par le traumatisme. Une valeur peut être obtenue en servant et devient donc un sentiment de valeur conditionnel dépendant de facteurs extérieurs. Nous pouvons penser que nous ne sommes aimables que lorsque nous servons et faisons des sacrifices. Longtemps, j’ai eu cette programmation qu’à un moment donné, je devrais me conformer et me soumettre à la pression du marché du travail. Cela ne fait plus partie de ma programmation, mais il me reste encore beaucoup de programmes de survie à surmonter. Sommes-nous capables de permettre une conversation sans ressentir le besoin de la dominer par le biais de nos systèmes de dopamine ? Comment s’affirmer sans tomber dans l’agressivité ? Nous devons être constamment conscients de ce que nous partageons, avec qui et à quel degré, et nettoyer et démêler les énergies enchevêtrées au fur et à mesure. Ces énergies enchevêtrées constituent le terrain idéal pour que les architectes puissent préparer les prochains pièges et culs-de-sac et autres voies sans issues. Ne jamais partager les parties vulnérables de nous-mêmes empêche également d’atteindre des stades plus profonds d’intimité avec les autres ; c’est une stratégie qui fait partie de la programmation de l’isolement et qui devient rapidement une recette pour l’auto-isolation. Dans le passé, l’isolement était probablement une décision intelligente, mais une fois encore, il devient rapidement sa propre prison lorsque nous nous réentraînons à créer une réalité différente dans nos vies.
Nous sommes traumatisés pour assurer que l’accès puisse être ouvert à tout moment de notre vie, tel un moyen de gérer tous les aspects de notre vie. Toute cette programmation nous amène à être rapidement dépassés par ce que les autres vivent. Il est difficile d’être fonctionnel lorsqu’il y a tant de programmation à l’intérieur et tant de déclenchements quotidiens qui nous sont envoyés à dessein ; cela semble aléatoire, mais ça ne l’est pas et cela dépend de la façon dont les systèmes de confinement prévus pour nous garder sous contrôle fonctionnent et sont conçus. Certaines expériences sont conçues à dessein pour qu’une programmation spécifique ait lieu, soit déclenchée ou renforcée : elles nous amèneront par exemple à décider de ne pas partager des degrés plus profonds de ce que nous sommes avec d’autres à cause de trahisons systématiques dans le passé. Certaines trahisons vécues pendant l’enfance sont si extrêmes qu’elles sont destinées à annihiler le désir de faire confiance à nouveau, ce qui fait bien entendu partie de la programmation. Le fait d’avoir un mur à la place d’une frontière saine avec l’autre ne permet pas non plus de fixer des limites. Après avoir traversé un traumatisme extrême, il est difficile de ne pas tomber dans la mise en place d’une personnalité borderline ou de comprendre les états de dissociation intense, d’apprendre à les reconnaître et à identifier ce que nous ressentons lorsqu’ils se produisent (nous pouvons nous sentir vides, déconnectés, seuls et avec une vision vide de sens ; soudain, nos perceptions des autres ou de notre environnement changent).
Communiquer notre vérité sans y insérer un agenda caché est un travail de chaque seconde. Idéalement, nous partageons pour nous faire connaître de l’autre mais la plupart du temps, nous ne nous connaissons pas suffisamment ou ne nous souvenons pas de qui nous sommes au-delà de cette expérience précise dans l’univers inversé. Les traumatismes sont dans le chemin pour nous empêcher d’accéder à nos capacités et de nous reconnecter à notre esprit. Les données avec lesquelles nous nous engageons ont tendance à passer par nos filtres pour être traitées et donc déformées par la grille de notre passé abusé. Lorsque nous refusons d’être traités si mal et si pauvrement, lorsque nous nous commençons à nous protéger nous-mêmes, l’hologramme envoie de nouvelles variables de personnes qui semblent nous traiter correctement, mais une partie d’entre elles sont envoyées pour contrôler, surveiller, influencer et déclencher dans des directions spécifiques.
La manipulation inconsciente des parents
Tous les parents, malheureusement, quelle que soit la beauté de leur personne, se révèlent être émotionnellement, psychologiquement, psychiquement et peut-être même physiquement négligents. Les parents sont utilisés à l’insu de leur plein gré afin de créer des situations spécifiques ou des renforcements de programmation. Certains parents peuvent inconsciemment encourager la programmation « diviser pour mieux régner » et encourager la rivalité entre frères et sœurs, sans en avoir conscience. Ils sont programmés pour envoyer des messages de programmation à leurs enfants : « Je ne te tiens en haute estime que si tu te comportes d’une certaine manière ». Il existe de nombreuses formes d’expression et de communication qui inconsciemment diminuent l’autre dans la grandeur de qui il est. Ce genre de formes de communication entraîne les enfants à se sentir impuissants à établir toute forme de limite avec l’extérieur ; nous sommes encouragés à nous sentir inutiles et sans envies pour mieux servir les maîtres et architectes cachés de cette réalité.
Bien sûr, les parents ne sont pas conscients de la plupart des choses cachées qui arrivent à leurs enfants et cela peut expliquer pourquoi les enfants sont de mauvaise humeur par moments ou éprouvent des difficultés liées au monde non visible. Pour un parent uniquement capable d’évoluer dans le 3D c’est incompréhensible bien sûr. À l’extérieur, l’environnement dans lequel évoluent les enfants peut sembler bon, mais ce qui est vécu en tenant compte de toutes les dimensions et des choses invisibles à l’œil nu est une autre histoire. Les parents peuvent perdre leur sang-froid car, de leur point de vue, tout va bien et ils ne parviennent pas à comprendre les comportements de leurs enfants. Ils peuvent les juger difficiles. Il faut être très patient dans cette réalité pour ne pas tomber dans des hypothèses et une vision déformée de la vérité. La manipulation émotionnelle et psychologique consiste à nous faire perdre confiance en nos perceptions. Lorsque nous sommes constamment exposés à ce type de communication toxique, il est difficile de s’approprier notre propre expérience. La maltraitance ouverte se manifeste au grand jour ; la maltraitance secrète est cachée et tordue et sournoise. Tout d’abord, il est difficile d’identifier ce qui s’est passé et de mettre des mots dessus. Dans cette catégorie, nous trouvons l’enchevêtrement secret qui est indirect et caché. Le parent qui agit ainsi ne le fait pas dans le but d’une récompense ou d’une stimulation sexuelle, mais pour un gain qui reste caché et qui sert des êtres et entités d’entre les dimensions en drainant l’enfant et en perturbant sa psyché, ses schémas émotionnels et psychologiques, renforçant ainsi la programmation. Lorsque les parents sont en difficulté émotionnelle, il leur est très difficile de ne pas se servir subtilement de leurs enfants comme d’un dépotoir pour les émotions qu’ils ne veulent pas gérer ou qu’ils détournent et externalisent inconsciemment. Cela nuit à la relation que l’enfant entretient avec ses deux parents et l’encourage à devenir un agent double dans la famille (ceci est lié au renforcement de la programmation du dédoublement de personnalités multiples).
D’autre part, les parents qui souffrent peuvent demander à leurs enfants des informations sur un partenaire qu’ils soupçonnent de les tromper, ce qui crée une grande souffrance chez l’enfant qui est déchiré au milieu de ce qui se passe. De nombreux parents ne sont pas conscients qu’ils ont un motif caché lorsqu’ils se comportent et agissent. Dans cette réalité, il existe ce qu’on appelle l’enfance, où les enfants sont placés dans une famille, généralement avec un ou deux parents manipulateurs qui ne seront pas assez forts pour empêcher des niveaux d’enchevêtrement graves et dommageables. C’est un terrain qui crée la confusion autour des modèles relationnels et qui crée des modèles dociles encourageant la soumission interpersonnelle. Les parents qui acceptent d’admettre leurs erreurs donnent à leurs enfants des clés pour mieux naviguer leurs vies futures. Avoir un parent généré par l’hologramme et non connecté à l’esprit, pour un être doué du feu de la création, est en soi traumatisant car un large éventail d’expériences ne sera pas abordé dans la relation et nous serons niés dans ce que nous sommes, dans la grandeur et l’extension de qui nous sommes, toujours encouragés à revenir à une version limitée de nous-mêmes.
Il est très difficile d’être authentiques lorsque nous avons été programmés pour être à l’écoute et prendre soin de nombreux besoins extérieurs. Ne pas être capables de poser des limites a été et est encouragé. Souvent, nous acceptons trop alors qu’à l’intérieur de nous, tout nous dit non. Nous sommes souvent récompensés lorsque nous nous engageons dans des comportements qui font plaisir aux autres. Être trop concentré sur les autres, que ce soit pour répondre à leurs besoins ou pour disséquer leurs défauts, est un moyen de détourner l’attention de nous-mêmes. Les architectes veulent toujours que les belles valeurs comme la confiance soient brisées. Ils conçoivent nos vies de manière à ce que notre estime de nous-mêmes soit très basse et proche de zéro. Rien que cela nous fera tourner en boucle pendant des années. Le critique intérieur qui est intégré juge sans cesse ce que nous sommes comme quelque chose de défectueux ; les programmations de culpabilité et de honte sont également là, installées cruellement afin de nous faire tourner en boucle vers plus de souffrance lorsque nous faisons des erreurs ou réalisons l’étendue de ce dans quoi nous avons été impliqués. Certains schémas sont conçus pour que nous décidions de ne pas chercher d’aide ou de connexion, nous encourageant à garder une sorte de vision sans issue et à accepter l’isolement comme une loi. Nous avons tous des traits de survie dysfonctionnels qui sont utilisés contre nous parce que nous ne pouvons pas voir l’entièreté de propre programmation. Tout cela est conçu pour qu’il soit difficile de faire à nouveau confiance et de s’ouvrir à l’approfondissement de nos liens avec les autres. Les personnes dignes de confiance existent, nous devons simplement trouver notre chemin vers elles et corriger les déséquilibres lorsqu’ils apparaissent.
Les architectes ont fait en sorte que nous restions éloignés de nos moyens de défense les plus puissants en oubliant qui nous sommes. Ils aiment que les êtres reliés à la création du feu originel soient coincés dans des schémas de ressentiment, de culpabilité ou de honte ou dans des états émotionnels douloureux atroces. Le ressentiment ou un manque d’attention en une seconde peut nous amener à utiliser notre pouvoir créatif contre les autres si nous ne sommes pas conscients à tout moment de ce que nous émettons en termes de fréquences.
La programmation au sabotage
La programmation au sabotage est une programmation majeure qui a été installée et créée à dessein. Des fréquences négatives sont constamment envoyées vers nous et des voix nous encouragent à revenir en boucle sur nos blessures les plus douloureuses. Des croyances fondamentales négatives ont été astucieusement mises en place pour que nous manifestions à partir d’elles. Il est important de reconnaître l’existence des programmes de sabotage, d’apprendre à observer leurs manifestations toxiques et de travailler à intégrer et à réduire l’emprise qu’ils exercent sur nous.
Un déclencheur est un stimulus externe ou interne qui nous emmène dans un flash-back émotionnel. Par exemple, le fait de chercher constamment autour de soi quelqu’un qui ressemble à un ancien complice d’un agresseur est un signe de stress post-traumatique non résolu, encore stocké dans notre mémoire cellulaire et qui est à l’état de manifestation active. Identifier dans le corps le moment où nous nous sentons déclenchés nous aide à passer plus rapidement en mode de gestion des flashbacks. Un autre indice que nous sommes dans un flashback est une augmentation de la virulence du critique intérieur. Cela s’accompagne d’une tendance à créer des plans catastrophiques ainsi que d’une intensification de l’autocritique ou du jugement des autres. Le passage à une pensée polarisée du type « tout ou rien » est un indicateur que ce phénomène est en train de prendre place. Les flashbacks sont également indiqués par le fait que nous avons des réactions émotionnelles disproportionnées par rapport à la situation et au contexte qui les ont déclenchés. Lorsque nous vivons un flash-back qui se confond avec une situation présente, il est difficile de différencier ce qui appartient au présent et ce qui appartient au passé. L’observation est nécessaire pour apprendre à reconnaître les flashbacks, car ils déforment l’interprétation que nous faisons de ce qui se passe réellement. Les flashbacks nous emmènent dans une partie intemporelle de la psyché qui se sent aussi impuissante, désespérée et entourée de danger comme lors d’autres types d’expériences provenant généralement de notre « passé linéaire ». Il est réaliste d’être conscient que nous allons toujours revivre d’autres flashbacks et que le processus ne s’arrêtera jamais et ne fera que s’approfondir, car il ne s’agit pas seulement de notre expérience 3D mais de ce qui s’est toujours joué derrière les rideaux. Les faux souvenirs cachent généralement des racines importantes de notre véritable expérience.
Il existe de nombreuses tendances qui doivent être désactivées et qui sont toxiques dans les relations que nous entretenons avec l’extérieur : être contrôlé par un sentiment d’être dans son droit, manquer d’affirmation de soi, développer une défense de type obsessionnel-compulsif, microgérer les autres à cause d’une programmation de perfectionnisme, avoir des murs à la place de frontières avec le monde, être trop rigide, suivre un agenda de service à soi-même, projeter notre rage et notre manque d’acceptation vers l’extérieur, éviter la connexion, etc. Nous avons généralement tendance à montrer toutes ces caractéristiques au cours d’une vie, en particulier lorsque nous déprogrammons plus que les couches superficielles, car quelque chose d’autre peut alors s’exprimer, quelque chose qui n’était pas capable de s’exprimer auparavant parce qu’il était réprimé par d’autres formes de programmation de couverture. Être passif-agressif, lorsqu’il s’agit d’un mécanisme de défense, consiste à faire en sorte que l’autre personne se sente indésirable dans l’espoir qu’elle s’en aille. Tout le monde tombe dans ce piège à certains moments et ce n’est pas un état d’être agréable à vivre. Lors de la guérison, nous devons souvent faire face à une grande colère qui peut nous donner la force et l’impulsion d’être plus assertif, mais parfois avec beaucoup de maladresse. Nous sommes souvent trop programmés pour même penser ou avoir l’idée des moyens appropriés de communiquer avec les autres lorsque nous sommes dans une vision tunnel. Les accidents et les pertes de contrôle et de sang-froid se produisent lorsque nous sommes dans des états d’être traumatisés et hyper stimulés.
Identifier la programmation au sabotage est une étape très importante : on peut s’infliger de traverser un parc à des heures très tardives lorsqu’un objet nous a été volé. C’est un moyen d’auto punition que nous nous infligeons à nous-mêmes. La psychologie normale expliquera cela en termes d’enfant intérieur qui a besoin d’un phénomène de reparentage, alors qu’en fait, il peut très bien s’agir de cacher différentes sous-personnalités qui prennent le dessus et nous encouragent à tourner en boucle dans des schémas toxiques. De nombreux livres sur la codépendance ne font que répandre davantage de programmation, désinformation ou compréhension trop basique et limitée de nos circuits internes complexes. La guérison est une forme d’expérience multi-niveaux et multi-dimensionnelle. La destruction de l’intimité fait partie des programmes de sabotage. Travailler sur la réduction du critique intérieur et des types de comportements agressifs qui sont dégradants pour les autres nous aide à atteindre de nouveaux niveaux de confiance et d’intimité. Ces programmations de sabotage détruisent l’intimité et peuvent ne pas être comprises pour ce qu’elles sont si les autres n’ont pas conscience que nous fonctionnons avec des paramètres de personnalités multiples. Ces sous-personnalités interviennent, prennent le contrôle et la commande afin de saboter les projets et la vie quotidienne ; ils ont une compréhension très limitée de la réalité et, en leur présence, on peut avoir l’impression de ne pas pouvoir penser en dehors d’une boîte, de ne pas avoir d’horizon. Ces sous-personnalités s’assureront également d’effacer les preuves sur lesquelles on pourrait revenir plus tard, concernant des moments de reprogrammation avec d’anciens thérapeutes par exemple. De nombreuses sous-personnalités ont également tendance à être égocentriques et d’autres autour de nous peuvent être victimes de leur mode de relation abusif (cela jette une nouvelle lumière sur le domaine du trouble narcissique puisque nous pouvons avoir des parties qui sont programmées pour être spécifiquement égocentriques et se nourrir de l’attention que les autres peuvent leur apporter).
Le système nerveux comme cible principale
Face à une situation déclenchante, nous pouvons mettre en place des structures de défense, de dissociation, de figement ou de soumission. Il n’est pas rare de s’engourdir dans une dépression dissociative de faible intensité. Tout au long de la journée, il est important de remarquer les moments où notre système nerveux est le plus sollicité, afin de pouvoir identifier d’où vient la pression (elle peut provenir d’un centre de bien-être qui joue le rôle de renforcement de programmation par exemple et nous pouvons avoir tendance à ignorer l’aspect très sombre qui règne autour de ce qu’il s’y joue, en pensant que c’est nous qui sommes dans un épisode de faiblesse de notre vie, alors qu’en fait nous sommes confrontés à des quantités extrêmes de stress caché dues à des énergies invisibles qui tentent de s’infiltrer constamment). Structurer les interactions et les situations sociales est un moyen qui peut nous aider à gérer l’intensité de nos déclenchements quotidiens. Un moyen que j’ai trouvé est de limiter au minimum l’utilisation du téléphone et de ne pas être joignable par téléphone. Un autre moyen est d’inviter les facteurs (avec une plaque écrite faite sur mesure) à laisser automatiquement nos paquets dans une zone désignée au lieu d’avoir à interagir personnellement avec eux (ils sont eux-mêmes liés à toutes sortes d’énergies). C’est un équilibre de chaque jour pour trouver combien de notre temps nous pouvons consacrer où et à qui. Pour vivre en communauté et même en famille, l’idéal est de décider des moments où l’on rencontre les autres au maximum et d’avoir peu d’interactions inattendues : on peut s’écrire des notes ou des emails pour ne pas s’interrompre et être moins sur ses gardes à chaque seconde de la journée. Cela nous donne une chance de détendre notre système nerveux tout au long de nos journées.
Obtenir une réponse électrique du corps
Lorsque les cellules manquent de perméabilité, il n’y a pas de mouvement. C’est comme si le corps ne produisait pas assez de courant électrique par lui-même et qu’il était devenu paresseux. La désintoxication cellulaire, l’alimentation vivante crue, le jeûne et le mouvement nous aident à rétablir cette communication électromagnétique. Comment corriger les signaux électriques ? Comment restaurer les voies de communication ? Toute mauvaise communication ou communication déficiente nous empêche d’atteindre un bon niveau de notre potentiel. Le corps est devenu comme une mélodie qui n’est pas accordée. Les cellules fonctionneront mieux si le voltage augmente et si les liquides dans lesquels elles baignent sont débarrassés de la chimie acide qui est d’une fréquence basse et toxique. Alors que le voltage augmente, la connectivité électrochimique nous aide à plonger plus profondément dans la guérison et dans notre voyage de recouvrement de notre mémoire.
Les suppressions et les interruptions ont été conçues à dessein par des factions hostiles afin de nous affaiblir : perturbateurs endocriniens, pollution, aliments obstructifs, empoisonnés, inappropriés et maudits, cosmétiques, produits de toilette, pollution électromagnétique, vaccins, ciblage à distance par ondes, etc. Si nous parvenons à guérir et à stabiliser notre système nerveux et les glandes endocrines, le corps est capable de mieux maintenir son propre niveau d’électricité. Chaque jour, les architectes s’assurent de pirater nos champs électromagnétiques et éthériques afin que nous soyons reliés à autant d’éléments sombres que possible ; cela fait de nous des cibles plus faciles pour une intégrité compromise. L’intégrité est ici très ciblée par toute peur et toute programmation de survie que nous portons encore en nous et avec laquelle nous devons lutter intérieurement pour continuer de faire les bonnes décisions. Lorsque les systèmes internes sont capables de communiquer, la réponse que nous obtenons devient meilleure et cela nous aide dans notre connexion à notre esprit. La quantité de courant électrique que nous avons dans le corps influence notre capacité à nous souvenir et à accéder de nouveau aux souvenirs qui sont stockés et enfermés dans un système labyrinthique d’acidité et de sous-personnalités fragmentées. Lors du travail sur les traumatismes, tout mouvement de battement des yeux est signe que le voltage augmente de plus en plus progressivement et que la libération est en train de se produire. Observons-nous des micro-réponses ? Les convulsions, les spasmes et les mouvements involontaires sont signes que la libération du traumatisme est en cours et que des souvenirs traumatiques spécifiques sont libérés. Quelle est la cause de la résistance ? Qu’est-ce qui bloque la réponse du système nerveux ? Beaucoup de choses autour de nous provoquent l’épuisement de nos systèmes, en particulier tous les traumatismes cachés et les tortures non exprimées par lesquelles nous passons chaque jour. Sommes-nous en train de rendre nos systèmes forts à nouveau ? Voyons-nous des changements tangibles se produire ? Nous avons été programmés pour penser que nous sommes désarmés et incapables d’interagir et d’influencer directement les niveaux cellulaires et moléculaires de la matière de notre biologie humaine, mais nous avons vraiment le pouvoir de changer nos états intérieurs.
Surmonter les troubles alimentaires
De nombreux survivants apprennent tôt dans leur vie à gérer leurs situations douloureuses via la nourriture, des activités distrayantes ou des substances modifiant l’humeur. La dépendance est en grande partie une adaptation à notre environnement. C’est un processus compulsif destiné à nous distraire d’une réalité difficilement tolérable. L’intégration des habitudes alimentaires compulsives se fait progressivement, étape par étape, en diminuant les habitudes de suralimentation et en choisissant des aliments qui laissent de moins en moins de résidus derrière eux. Une des raisons pour lesquelles les addictions alimentaires sont si courantes est que la nourriture nous offre notre première source extérieure d’auto-apaisement. Avant même qu’un enfant puisse parler, il reçoit souvent de la nourriture pour répondre à des besoins émotionnels non satisfaits et la nourriture est rapidement élevée au rang de drogue. Les produits alimentaires transformés combinant des niveaux élevés de sucre, de sel et de graisses sont particulièrement addictifs. Les mécanismes d’adaptation étaient autrefois fonctionnels lorsque nous n’avions que cela ; ils nous aidaient à survivre à des sentiments insupportables lorsque nous vivions sous le même toit que nos parents. D’autre part, le gouvernement avait prévu de rendre la population dépendante au tabac : la moyenne est passée de 40 cigarettes par an dans les années 1800 à parfois autant par jour aujourd’hui. Nos addictions accueillent des énergies sombres dans nos champs et sont les outils parfaits pour nous encourager à entrer en dissociation. J’ai déjà ressenti un sourire narquois de la part d’oppresseurs cachés alors que je concédais à des schémas de dépendance et j’ai des moments très précis en tête où je faisais un choix et où je sentais cette énergie à mes côtés.
Le mot de la fin
Notre façon de traiter l’information tend à devenir plus conviviale au fur et à mesure que nous sommes disposés à guérir. Un signe encourageant de guérison est une augmentation progressive de la capacité à se détendre, à prendre soin de soi et à passer à d’autres tâches et fonctions (créatives) que nous ne sommes généralement pas en mesure d’accomplir. Cela s’accompagne d’une capacité croissante à résister à une réaction excessive à partir d’un déclencheur et de nouvelles compétences pour utiliser nos mécanismes d’adaptation de manière constructive. Il est nécessaire d’accepter ce que nous vivons et de faire le deuil de la vie que nous ne pourrons jamais avoir. Ce qu’on nous a vendu est un mensonge. Mais ce qui continue de nous attendre est bien plus grand que tous ces mensonges 3D. Alors que nous nous continuons de nous engager dans une déprogrammation plus profonde, nous pourrions espérer que cela devienne plus facile et plus simple, mais la vérité, selon ma propre expérience, est que cela évolue de manière plus complexe et révélant le degré de fragmentation alors qu’il n’était pas apparent dans le passé. Plus je prends conscience de beaucoup de mes fragments, plus j’ai l’impression qu’il y a du travail à faire ; l’agressivité du refoulement, la pression des tentatives de manipulations extérieures et le ciblage à distance augmentent à des degrés qui ne sont pas faciles à supporter, surtout quand on devient plus conscient, moins engourdi et qu’on travaille à rester plus à l’intérieur d’un corps qui n’est habituellement pas si facile à habiter, à cause de défauts génétiques, d’obstructioLe mot de la fin ns, d’une congestion lymphatique aigüe ou de différents degrés de douleurs physiques. Des tortures mentales et émotionnelles sont également utilisées pour nous amener à sortir de notre corps afin que quelque chose d’autre puisse opérer ou parler à travers nous.
C’est un long processus de recâblage et de réentraînement pour développer une saine affirmation de soi. Une relation saine se produit lorsque deux individus évoluent avec réciprocité entre l’affirmation de soi et la réceptivité. Il faut trouver un bon équilibre entre parler et écouter, aider et être aidé, diriger et suivre, faire et être. Quelqu’un monopolise-t-il la conversation ? La relation passe-t-elle en mode conseil ? La vulnérabilité est un facteur important dans la construction de relations plus fortes. L’estime de soi ne peut être obtenue de l’extérieur ; elle peut être obtenue par le souvenir et la reconnaissance de qui nous sommes et de ce que nous avons vécu dans cette étrange construction de réalité inversée. C’est un travail de tous les jours que de travailler à améliorer nos niveaux d’estime de soi et d’apprendre à établir des limites fonctionnelles avec les autres, en exprimant ce qu’est notre réalité aujourd’hui. L’auto-compassion, l’auto-protection et l’affirmation de soi sont des outils nécessaires et des clés de la guérison. Il est important de refuser de succomber aux programmes de haine de soi, d’abandon de soi, de culpabilité, de honte et d’autopunition qui sont contre-productifs. Nous n’avons pas besoin d’être parfaits pour être dignes d’amour et de protection et nous avons le droit d’avoir nos propres préférences, valeurs et goûts et de commettre des erreurs de jugement du fait de notre programmation mentale que nous travaillons à réparer. Lorsque nous doutons constamment de nous-mêmes ou de notre réalité, nous avons tendance à micro-gérer nos propres vies. Il est important de se donner la latitude de faire des erreurs et de pardonner toutes les erreurs passées commises par nous-mêmes ou par d’autres. Il est également important de ne pas se comparer à ce que nous percevons autour de nous. Sous le costume humain, il y a toutes sortes d’êtres, certains récompensés par le jeu de l’hologramme en raison de ce qu’ils sont et de qui ils sont ; d’autres extrêmement réprimés et ciblés. Nous devons dépasser les programmations négatives afin de créer de plus en plus la réalité dans laquelle nous voulons vivre. Il est essentiel de rétablir la loyauté envers soi et la validation de soi. Nous sommes capables de tout et de bien plus encore.