Via nos méthodes éducatives modernes, les traumatismes ont tendance à se répéter et à se perpétuer car les parents, aussi bien ceux connectés à la source que ceux qui sont sans esprit, sont conditionnés à policer et à punir leurs enfants, finissant par être les premiers à jouer un rôle de contrôle sur la façon dont leur pensée fonctionne. Les parents non reliés à la source jouent toujours un rôle majeur dans l’encadrement des jeunes étincelles originales. Pour la majorité des parents reliés à la source, ils sont recrutés comme encadreurs en raison de leur propre programmation mk ultra, de leurs lacunes, de leurs obsessions, de leurs ombres non intégrées, de leur addictions et de leur manque de discernement. Des tactiques de peur sont utilisées pour forcer les enfants à se conformer et à obéir.
La parentalité comme premier programmateur mental
Lorsque leurs besoins ne sont pas satisfaits, les jeunes cerveaux en formation partent très souvent du principe qu’il y a quelque chose qui ne va pas chez eux en tant qu’être humain. Le fait que leurs besoins ne sont pas satisfaits a des conséquences qui vont bien plus loin que ce qui est communément admis et qui sont largement méconnues. La violence émotionnelle est tout aussi néfaste que la violence physique. Elle laisse des traces invisibles qui affecteront toute la réalité des jeunes en grandissant. Forcer les enfants à répondre aux besoins de leurs parents cause beaucoup de dommages et d’effets secondaires néfastes sur le développement de la santé mentale des enfants : ils commencent à apprendre les chemins inversés et la manipulation. En outre, les modèles d’obéissance ou de punition créent une division entre parents et enfants. Une dynamique hiérarchique se met ainsi en place. Cette pression exercée pour tenter de contrôler et de forcer les enfants a un effet sur leur capacité à montrer des signes d’intérêt pour ce qui les entoure. L’effet est une réduction considérable de leur fenêtre d’opportunité pour l’apprentissage. En outre, ce type d’éducation autoritaire tend à créer des individus dociles qui, plus tard, ne remettront pas en question les principales lignes de récits qui leur sont servies par les plates-formes et voies d’informations classiques.
Et, alors que les parents sont encouragés à réfléchir à l’avenir de leurs enfants et des adultes qu’ils deviendront et à prendre des décisions basées sur la crainte pour leur avenir, ils sont découragés à les voir comme les êtres à part entière qu’ils sont en ce moment précis de leur vie. Toute décision prise dans un endroit où règne la peur est mal alignée et fondée sur le principe inversé de la crainte. Pourtant, les enfants qui reçoivent de la confiance et qui sont guidés par l’exemplarité incarnée finissent généralement par faire les meilleurs choix pour eux-mêmes, car ils apprennent à prendre soin de leurs propres besoins, ce qui est l’un des meilleurs moyens pour eux d’apprendre à se construire pour eux-mêmes un avenir positif et abondant.
Le lavage de cerveau de l’éducation
Plus tard, la scolarisation, l’éducation traditionnelle et aussi les méthodes alternatives d’éducation affectent et lavent le cerveau des enfants. Les écoles, qui étaient au départ basées sur des modèles d’usines, sont des stations de lavage de cerveau qui programment l’esprit des plus jeunes. Les enfants apprennent à suivre des ordres (comme à l’armée), à ingurgiter des contenus et à réagir au son d’une cloche. Dans ce cadre, les enfants ont tendance à être forcés d’étudier des choses qui les ennuient ou de terminer des choses qu’ils ne veulent pas continuer à faire. Ils apprennent à faire abstraction de leurs propres besoins et à se conformer à ce qui est demandé et attendu d’eux. En outre, ils sont notés pour toute action qu’ils posent et toute pensée qu’ils émettent, ce qui encourage la création d’une peur bien ancrée, celle de faire des erreurs ou de ne pas avoir compris ou réussi quelque chose du premier coup. Pourtant, la plupart d’entre nous ont tendance à mieux apprendre en laissant la place aux erreurs et aux expériences de la vie. Ce genre de répression conduit à la suppression dramatique de la pensée critique et de la capacité d’un individu à penser par lui-même. Les individus sont séparés par catégorie et tranche d’âge. Cette ségrégation par âge coupe les enfants de leur tendance naturelle à établir un lien avec les adultes autour de lui ou d’autres générations. Cette division par âge encourage également la tendance à former des liens basés sur l’expérience traumatique alors que chaque classe vit la même expérience traumatique qui forme leur manière de voir et de se relier au monde via une propagande constante. Les types de scolarisation alternative sont une version moins agressive de l’éducation classique oppressive et peuvent être considérés comme une sorte d’opposition contrôlée. En effet, il existe des dommages cachés alors que ces méthodes d’éducation continuent de programmer l’esprit des enfants. Les modèles hiérarchiques et l’autorité extérieure continuent de régner, ce qui prépare l’esprit des jeunes à être prédisposés à entrer dans des modes de pensée établis dans une société malade qui abrite culte après culte (des prisons de formes cubiques pour la pensée).
C’est une préparation des plus jeunes à entraîner leur tendance à se conformer à ces modèles en vue de ceux qui existent dans le monde des adultes et à n’entrevoir que ces propositions de chemins de vie qui ne représentent aucune menace pour les principaux systèmes d’asservissement tenus en place. Quand on commence à déprogrammer, on peut reconnaître comment l’esprit était contrôlé et piégé dans une certaine forme carrée qui maintenait la plupart de l’expression individuelle censurée et même difficile d’accès. De nombreux cultes célèbres ne sont pas reconnus comme tels, par exemple les Nations unies, les organisations impliquées dans la narration climatique comme nous la trouvons dans les médias, les techniques d'”expansion” de l’esprit (Silva, méditation transcendantale) ou la plupart des gourous spirituels (des scandales évidents de John of God, Mooji, Teal Swan et ainsi de suite jusqu’à des couches de contrôle mental plus subtiles ou raffinées poliçant des espaces de discussion en ligne, y compris l’opposition contrôlée qui prétend se battre pour une cause alors que, en souterrain, il s’agit plutôt d’une couverture qui censure les mêmes agendas qu’elle semble, en apparence et en surface, défendre). En devenant des individus blessés et traumatisés, les enfants auront tendance à développer une quête de reconnaissance externe, car leurs besoins naturels de reconnaissance n’ont jamais été satisfaits par ceux qui leur ont apporté leurs premiers soins et encadrement. Beaucoup d’entre nous commenceront à regarder à l’extérieur de nous-mêmes pour trouver cette disposition bienveillante de la part d’une figure de mentor et d’à partir de là, nous reconstruire. Pourtant, induits en erreur par notre propre programmation interne qui nous empêche de nous syntoniser avec les bonnes fréquences organiques et l’abondance du monde vivant, alignées et non inversées, nous aurons tendance à devoir beaucoup lutter pour trouver notre chemin vers des espaces sûrs où une véritable guérison peut être envisagée et accessible. Les traumatismes stockés en nous nous conduiront souvent vers des espaces dangereux gardés par des individus fracturés et blessés qui font eux-mêmes plus de mal que de bien, le plus souvent inconsciemment. Éduquer les enfants à une relation saine basée sur le respect mutuel est une bonne initiation pour leur donner les meilleures chances d’accéder eux-mêmes à tout un pan de réalité bienveillant et de trouver leur chemin vers ces espaces d’échanges humains sains où ils seront en sécurité émotionnellement, psychiquement, physiquement et spirituellement.
Les partisans d’une déscolarisation radicale
Certains auteurs ou autre porte-parole prônent une déscolarisation radicale à partir d’un lieu très blessé en eux-mêmes. Sont-ils capables de réussir à percevoir les pièges de leur propre ego qui peut se montrer tourné vers lui-même à bien des égards ? S’ils ne comprennent pas les opérations de contrôle mental qui visent agressivement la santé mentale de leurs enfants, ils ne pourront pas les empêcher d’affecter leurs réalités. C’est pourquoi certains de ces défenseurs voient la télévision comme un “outil éducatif” alors qu’elle est en fait une station de lavage de cerveau. Ou bien ils laissent leurs enfants libres d’explorer des régimes alimentaires qui sont détrimentaux au corps humain parce qu’ils ignorent de prêter attention à la physiologie humaine réelle. Cette propagande n’a pas plus de sens que les modèles traditionnels. Ces parents ne reconnaissent pas que les besoins de leurs enfants peuvent être déclenchés artificiellement via l’extérieur ou peuvent provenir de traumatismes. Une grande partie de ce qu’ils disent peut être vrai, cependant quelque chose ne semble pas aligné. Ils ont peut-être une chaîne Youtube où ils dépeignent leur vie comme un modèle alternatif à l’école, mais ce n’est pas non plus la réponse car la fréquence de ce qu’ils partagent est inconsciemment purement tournée vers eux-mêmes, servant une image construite de la façon dont cela devrait être fait “de la bonne manière”, tout en ignorant d’innombrables autres pièges qui conduisent aux mêmes effets néfastes sur la santé mentale de leurs enfants.
Les conséquences cachées des besoins ignorés des enfants
Avec l’inculcation de l’obéissance conforme et docile aux plus jeunes, ceux-ci ont tendance à refouler leurs propres besoins, à se tourner vers ce que l’on attend d’eux-mêmes ou à développer des comportements agressifs ou d’autres types de mécanismes d’adaptation (immobilisation ou inaction, soumission, dissociation) pour survivre à la tyrannie. En raison de la tendance naturelle des enfants à être en contact avec le vivant auquel il appartient spontanément (une nature qui ne ment pas), tout est fait pour programmer fortement leur façon de penser et de voir le monde et pour les contrôler à distance. Pourquoi continuer à perpétuer le mensonge de Noël ou d’autres traditions absurdes et récompenser les enfants qui croient au mensonge et à la propagande servie à la petite cuillère ? Pourquoi participer volontairement à cette endoctrinement de la pensée critique des plus jeunes ? Les garçons et les filles seront traités et négligés différemment, ce qui entraînera la création de différents types de déficiences émotionnelles. La plupart d’entre nous auront peur de révéler leurs vraies couleurs, ayant été encouragés à se montrer petit et insignifiant. Le fait que ces besoins premiers ne soient pas été honorés mène à une confusion entre ce que cela signifie d’être vus, ce que cela signifie d’être entendus et ce que cela signifie d’être reconnus. Nous sommes en général grandement déconnectés de la nature avant même de quitter l’école primaire et il faut souvent un énorme travail de déprogrammation pour pouvoir percevoir à nouveau les feuilles des arbres de loin en mouvement ou pouvoir être capable de repérer des mûres sauvages.
En fin de compte, le même genre de logique peut s’appliquer à nos animaux domestiques et bien aimés : dès que les humains les forcent à adopter un certain comportement ou les punissent, il ne s’agit pas d’une relation saine basée sur le respect mutuel. Une éducation alignée consiste à être en accord avec le message qui est transmis : il ne sert à rien d’interdire un comportement que les parents adoptent car le modèle adopté a beaucoup plus d’impact que les mots employés. Il est nécessaire de se rappeler que les enfants auront naturellement tendance à apprendre comme tous les humains. Et que l’expérimentation est un processus de longue durée qui ne s’arrête jamais. Ce dont les enfants ont besoin autour d’eux, ce sont des gardiens d’espace compétents qui leur permettent de naviguer chaque jour qui leur est offert et d’être protégés le plus possible du contrôle mental au fil de leurs explorations.
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